Séparés des autres membres de leur famille par une tempête, Thorgal et sa fille abordent dans une île de rêve.
Isolée du reste du monde par les Brumes du Néant, cette île paradisiaque est sous la dépendance totale de son immortelle et suprême maîtresse : Arachnéa. En échange des bienfaits dont elle les gratifie, cette redoutable déesse exige que deux fois par an, aux équinoxes d’automne et de printemps, les habitants lui fournissent un jeune homme capable de la féconder et de lui insuffler ainsi l’énergie indispensable pour survivre dans l’éternité…
Uchronique ou pas, steampunk ou non, la Russie du «cycle d’Ostruce» vient de connaître sa révolution prolétarienne ! A croire que certaines choses ne changent jamais… Empereur depuis des siècles, le grand dragon a progressivement sombré dans la folie, jusqu’à devenir un tyran à la violence aveugle. Cette ère vient de s’achever dans le sang mais des questions subsistent : qu’adviendra-t-il du pays ? Qui donc a eu la force de tuer le vieux tsar ? Et surtout, tous ses œufs ont-ils été détruits… ? Ajjer, une mystérieuse guerrière écarlate, possède sans doute quelques réponses…
La collection Portail s’ouvre encore un peu plus avec l’arrivée de ce conte qui mélange allègrement heroic-fantasy et Révolution d’Octobre !
Kate Walker, a lawyer from New York, was only supposed to spend a few hours in the village of Valadilène in the French Alps. She goes there to finalize the purchase of the Voralberg automation factory on behalf of her client, Universal Toys. But she soon finds out that while the director of the company, Anna Voralberg, has just died, Anna’s younger brother is still alive and is the heir to the family business. To find him, she has no choice but to begin a journey through the history of the 20th century. Little by little, she uncovers the story of Hans Voralberg, a genius inventor of complex automatons who has been in exile in Eastern Europe since childhood. For the first comics adaptation of his cult game, Benoît Sokal has chosen to revisit “Syberia” and propose an alternative version to the reader. The result is a perfect prelude to the third installment of the game and an ideal opportunity for the young illustrator Johann Blais, chosen by Sokal himself.
En 1962, lorsqu’il décide de se reconvertir dans la BD et propose ses services au journal «Tintin», William Vance a déjà à son actif une brillante carrière d’illustrateur en publicité. Comme tout nouveau venu, c’est en dessinant de courtes histoires complètes qu’il s’y affirmera cependant…
A l’aube des années 1960, la vocation des hebdomadaires de BD n’est pas seulement de distraire les jeunes bédéphiles, elle est aussi de les cultiver. Comme son concurrent «Spirou» a ses «Belles histoires de l’Oncle Paul», le journal «Tintin» du Lombard a lui ses fameuses «Histoires authentiques». En quatre planches, elles racontent et illustrent de grands événements de l’Histoire du monde ou la vie de personnages célèbres. Yves Duval en est alors le prolifique et très imaginatif conteur. Abordant les sujets les plus divers, ces «Histoires authentiques» révèleront bon nombre des grands noms actuels de la BD. C’est le cas de Vance, qui de 1962 à 1967, se soumettra à cet exercice.
L’élève Ducobu est de ceux qui s’épanouissent au fond de la classe et qui multiplie les astuces pour échapper à l’index interrogateur des profs.
Pour éviter d’être tout à fait nul, Ducobu copie sans vergogne sur sa très studieuse voisine Léonie Gratin. Et là c’est un vrai génie. Hélas, Léonie déteste les copieurs !
Nord de la France, 1297. Mechtilde d’Arras, jeune mystique, habitée par des «visions», meurt sur le bûcher. Mais son manuscrit sulfureux «Visio veritatis» échappe aux flammes des inquisiteurs. Anvers, 1576. La ville, assiégée par les troupes mutinées de Philippe II, Roi d’Espagne est mise à sac par des mercenaires qui sèment la mort et la désolation. Une jeune fille, Leonora, pleure sa mère, emportée par l’intolérance des hommes. Neuf ans plus tard, toujours déchirée par le chagrin et la colère, elle imprime en mémoire de sa mère l’étrange manuscrit qu’elle lui a légué : «Visio veritatis».
Paris, aujourd’hui. Patrick Prada, auteur de romans historiques à succès, raconte, dans un livre à paraître, la fin tragique de Mechtilde. Sa femme, Virginia, conseillère au Cabinet des Affaires Economiques à Bruxelles, est en charge d’un dossier délicat de demande d’autorisation de matériel nucléaire vers l’Inde. Leur destin bascule de façon cruelle lorsque Virginia, en quête d’un cadeau pour Patrick, achète chez un bouquiniste un ouvrage du seizième siècle, scellé par un fermoir, qui s’avère être une édition rare de… «Visio veritatis» de Mechtilde.
C’est au littoral belge que les “messagers du trépas” ont fixé rendez-vous à Ric Hochet. Au cours d’une promenade dans la réserve naturelle du Zwin près de Knokke-le-Zoute, il a recueilli une adolescente victime d’une mystérieuse agression et qui semble possédée par l’esprit d’un défunt plutôt vindicatif…
Alors que s’est résolue l’énigme des origines du «Concept», un nouveau cycle de péripéties débute pour Capricorne qui s’interroge sur lui-même… Quelque part en Europe, l’astrologue a maintenant entamé son long voyage de retour vers New York. A la recherche d’un abri pour la nuit, il a atterri dans un petit hameau en pleine campagne. L’endroit a l’air paisible, mais il y est néanmoins accueilli par des coups de feu tirés par un vieux fermier obsédé par le péril jaune et qui se croit assiégé par des Chinois !