Le mystérieux «Club Osiris», auquel appartiennent Antioche et Niklos Koda, va devoir sortir de l’ombre !
En effet, il est la cible d’Arcane 16, un magicien qui s’est déjà attaqué à la Chambre des Replis, son sanctuaire. Il vise maintenant la Chambre des Oublis, celle où dorment les secrets du passé. S’ils venaient à se réveiller, les membres du Club n’y survivraient pas…
Le début d’un nouveau diptyque encore plus intense et magique que le précédent. Un envoûtant retour aux sources de la série.
Une certaine Agatha (Christie ?), auteur de polars, veut prendre Clifton pour modèle de son prochain roman. Le Colonel en est évidemment flatté et il est justement appelé à élucider une sombre affaire de trafic de pièces de voiture. Mais Agatha se révèle être hélas un peu trop envahissante !
Odilon Verjus et le jeune Père Laurent se retrouvent dans une autre jungle ! Suite à leurs exploits en Papouasie, nos vaillants soldats du Christ ont été convoqués à Rome. Monseigneur Golias les y a chargés d’une mission fort peu orthodoxe : se rendre à Pigalle afin de capturer une subtile voleuse qui a dérobé une mystérieuse boîte dans les caves du Vatican!
A Paris, les deux compères enquêtent énergiquement et interrogent les prostituées, les proxénètes, les bouchers, les artistes… Bref, tous ceux qui occupent un bout de trottoir du bas jusqu’en haut de la Butte Montmartre. La dévergondée doit être retrouvée avant qu’elle n’ait réussi à négocier son coupable, quoique pontifical larcin. Grâce à leur foi profondément chevillée au corps, les deux missionnaires triompheront bien sûr de la faune des recoins obscures de la Ville-Lumière. On découvrira par la même occasion, le passé très inattendu du Père Odilon avant qu’il ne rentre au petit séminaire…
En 1962, lorsqu’il décide de se reconvertir dans la BD et propose ses services au journal «Tintin», William Vance a déjà à son actif une brillante carrière d’illustrateur en publicité. Comme tout nouveau venu, c’est en dessinant de courtes histoires complètes qu’il s’y affirmera cependant…
A l’aube des années 1960, la vocation des hebdomadaires de BD n’est pas seulement de distraire les jeunes bédéphiles, elle est aussi de les cultiver. Comme son concurrent «Spirou» a ses «Belles histoires de l’Oncle Paul», le journal «Tintin» du Lombard a lui ses fameuses «Histoires authentiques». En quatre planches, elles racontent et illustrent de grands événements de l’Histoire du monde ou la vie de personnages célèbres. Yves Duval en est alors le prolifique et très imaginatif conteur. Abordant les sujets les plus divers, ces «Histoires authentiques» révèleront bon nombre des grands noms actuels de la BD. C’est le cas de Vance, qui de 1962 à 1967, se soumettra à cet exercice.
Vlad Zolkoff et Simon Elenstein ont retrouvé Igor et la mallette «boîte de Pandore» que celui-ci a volée à Moscou. Mais, faute de matériel, ils ne peuvent percer les secrets des disquettes qu’elle contient…
Seule certitude pour Vlad et Simon : leur véhicule ne les conduira pas loin sur les routes incertaines et glaciales de l’hiver sibérien. Le puissant groupe qui les traque ne tardera pas non plus à retrouver leur piste afin de récupérer la précieuse mallette et neutraliser les témoins compromettants qu’ils sont devenus. Le délégué de l’Organisation européenne pour la paix propose dès lors de tenter un ultime coup de dés. Il suggère à l’ex-capitaine de l’armée rouge de contacter le colonel Sokorov, l’officier qui les a extraits de la sinistre et mortelle «zone rouge»…
Fini le temps où Arc-Tendu, le chasseur enragé, collectionnait les fourrures couleur de neige pour en décorer son tipi ! Sa nouvelle obsession : la robe sombre comme la nuit et parsemée d’étoiles d’un étalon sauvage…
Appartenant à la fameuse race tachetée des appaloosas, un magnifique cheval sauvage fait l’objet d’âpres convoitises parmi les Indiens. Epris de liberté et en emmenant avec lui une petite harde également rebelle, il a fui les Nez-Percés qui essayaient de le domestiquer pour la chasse et la guerre. Arc-Tendu veut, lui, absolument capturer ce bel étalon dans le seul but d’aller se pavaner sur son dos de tribu en tribu ! Yakari va mettre tout en œuvre pour empêcher cette capture…
Le talent de Ric Hochet connaît décidément peu de limites ! Habitué des planches de bande dessinée, il s’offre un petit détour par celles du théâtre pour interpréter son propre rôle – dans une pièce policière, évidemment. Mais son vieil ennemi, le Bourreau, a décidé de modifier quelque peu le script et le casting en invitant Angel, un tueur psychopathe, dans la troupe.
La vie est une bouteille de vitriol à moitié vide et Nix se charge de nous en ingurgiter ce qui reste dans le gosier ! Pas besoin d’entonnoir, il a bien mieux que ça : Kinky et Cosy, les deux jumelles les plus corrosives de la bande dessinée ! Dans ce troisième tome, nous assisterons à la lente dégradation du système scolaire à l’ancienne, en butte aux néo-nazillons et au port du voile. Heureusement, la patience du professeur sera récompensée puisqu’il parviendra finalement à partir en croisière avec sa poupée gonflable ! Un concentré d’humour noir et de rire jaune qui fait mouche à tous les coups !
Le gros toutou le plus sympa de la BD a 30 ans ! Il n’en a pas pris une ride de plus pour autant…
Quand Cubitus entreprend quelque chose, on ne peut aller jusqu’à dire qu’il faut s’attendre au pire, mais au moins à une surprise… Ça oui ! Quand Sémaphore entreprend quelque chose, une maladresse n’est pas impossible, mais sa grosse moustache est tellement séduisante qu’on doit tout lui pardonner. Quand Sénéchal entreprend quelque chose, il y a inévitablement de la bagarre dans l’air, surtout si Cubitus est à moins d’un kilomètre à la ronde… «Tiens, constate Dupa, j’ai un chat noir et je n’ai pas pensé à le prénommer Sénéchal… Décidément, quand j’entreprends quelque chose !!!»
Au volant de sa MG, Clifton a heurté un piéton et le choc a rendu ce dernier amnésique. Depuis, le Colonel s’active à recoller les morceaux de cette mémoire brisée…