Avec « Ian Kaledine », Jean-Luc Vernal lui permet de se frotter à ce mélange de réalisme académique et d’imaginaire scénaristique, au fil des aventures étranges de cet aristocrate russe du début du XXe siècle. Une tendance que l’on retrouve dans « Les Chroniques de Panchrysia », dont le premier tome permet à Ferry de s’essayer au scénario. Une brèche ouverte, dans laquelle il s’engouffre pour la collection Loge Noire de Glénat, où il signe deux histoires, « Les chasseurs de rêves » et « Le gardien de la lance ».
Mais Ferry n’a pas abandonné le dessin pour autant. Son réalisme fait toujours recette, au point que Jacques Martin lui confie le dessin d’Alix, défi qu’il relève haut la plume.