Loïc, bien qu’il n’ait pas encore trente ans lui non plus, est déjà un vieux complice de Maximilien Le Roy. C’est en effet en 2008 qu’il entame sa carrière en participant à l’ouvrage collectif « Gaza » cornaqué par Maximilien Le Roy aux éditions La Boîte à bulles. En 2013 il signe deux oeuvres fortes, où son trait très personnel s’exprime pleinement : un très intime « Canis Majoris » (Vide Cocagne) et l’engagé « Ni Dieu ni Maître » (Casterman), sur le révolutionnaire français Auguste Blanqui, avec Maximilien Le Roy au scénario. Une connivence et une modernité qui prennent une nouvelle ampleur avec ce « Vaincus mais vivants ».