Denis Rodier est alors régulièrement sollicité par les éditeurs américains, dont Marvel. Il signe de nombreuses couvertures avant d’être publié en France, où en 2008, il sort, avec le scénariste Jean-Luc Istin, “L’ordre des dragons” (Delcourt).
Artiste complet, il est également musicien (batteur du groupe Specimen 13) et peintre, ses oeuvres ont été exposées dans des galeries à Québec, New York, Rome, etc.
Il signe, avec Tristan Roulot, “Arale” (Dargaud, 2018), récit uchronique qui se déroule dans une Russie où la Révolution n’a pas eu lieu et où Raspoutine est encore en vie…