La Vallée des eaux troubles

Gravement blessée, Ajjer doit être soignée de toute urgence. Entre la vie et la mort, son esprit erre dans les limbes du souvenir. Souvenir d’une époque où sa foi en l’Empereur Dragon était absolue, au point de lui sacrifier les siens sans hésiter. Hospitalisée au coeur d’un sanatorium dont les profondeurs recèlent les pires égarements de l’Ancien Régime, la dormeuse ne va pas tarder à ouvrir les yeux. Et une femme trompée ne pardonne jamais Toute la sensibilité du scénariste N. Pona s’exprime ici, tandis que le dessinateur C. Dubois continue de nous régaler de ses aquarelles vives et contrastées.

C’est quand on se dit que ça ne pourrait pas être pire que débarque Edmond Simplon, le Dr. Bonheur. Un problème de malédiction gitane ou une formation accélérée de super-héros ? Notre homme est sur tous les fronts, n’hésitant pas à y envoyer son assistante Audrey si nécessaire ! Toujours aussi trashs et décalés, Clarke et Turk se décident enfin à lever le voile sur la rencontre entre le bon docteur et Audrey réponse à une interrogation fondamentale qui devrait nous permettre de retrouver le sommeil. Sinon, le Dr. Bonheur a sûrement une solution, à vos risques et périls !

Faites vrombir les moteurs et rutiler les chromes, il est de retour ! Six ans après sa dernière apparition, Litteul Kevin investit le Lombard ! D’ailleurs, il cherche un nouveau mot de passe. Ca ne devrait pas poser trop de problèmes car le mini-motard n’a rien perdu de son franc-parler, si utile pour défier son père au « scrabble-trash ». Car – c’est bien connu – ce que le singe voit, le singe fait. Et, avec des modèles pareils, Litteul Kevin n’a pas fini de nous amuser. Coyote et lui nous reviennent en grande forme, et en couleurs !

Nous avons le plaisir d’éditer une version collector en noir et blanc de ce tome 8 de Litteul Kévin. Pour les fans de la première heure !

« Nous sommes tous des faiseurs. Mais vous, c’est différent », avait dit Hergé à Paul Cuvelier, jeune illustrateur d’à peine 19 ans venu lui soumettre quelques dessins. De l’histoire que ce véritable prodige imaginait et mettait en images pour ses petits frères en 1943 à l’épisode inachevé de « Corentin et l’Ogre rouge » qu’avait scénarisé pour lui Jacques Martin, le créateur d' »Alix » en 1973, le biographe Philippe Goddin qui fut l’un de ses proches durant les dernières années de sa pathétique et trop courte vie, nous invite à (re)découvrir l’itinéraire original du « père » du célèbre petit héros de BD aux cheveux blonds, Corentin Feldoë. Figure emblématique du journal « Tintin » dont il fut l’un des initiateurs avec Hergé, J.laudy, E.P.Jacobs et l’éditeur R.Leblanc, P.Cuvelier a suivi un parcours varié, comme peut le justifier une vie d’artiste authentique : des chemins de la BD à ceux de ma peinture, tour à tour enthousiastes, douloureux ou résignés. Pour les admirateurs de « L’extraordinaire Odyssée de Corentin Feldoë », mais aussi de « Wapi », « Flamme d’Argent », « Line » et de l’érotique « Epoxy », ce parcours est passionnant qui retrace toute l’oeuvre de Cuvelier et propose des repères chronologiques, anecdotes curieuses et témoignages significatifs. Dans ce bel ouvrage, par le biais de nombreux extraits de lettres adressées à une amie intime, l’artiste lui-même livre ses réflexions, ses difficultés, ses espoirs. Livre d’images avant tout, ce volume de la collection « Auteurs Lombard » dévoile les archives exceptionnelles de Cuvelier à tous les passionnés de BD. Mieux qu’un panégyrique, les nombreux croquis, esquisses, documents de travail, bandes dessinées inédites, tableaux restés dans l’ombre et vrais chefs-d’oeuvre assurent à ce créateur une place unique au panthéon des géants du 9ème Art.

Dans un élan d’altruisme, Mister President a décidé d’apporter la démocratie au peuple irakien: à eux les joies du Pepsi, du McDonalds et des grandes compagnies pétrolières ! Mais, à peine débarqué, voilà qu’il se fait kidnapper ! Et, tandis qu’il découvre la réalité du terrain, son état-major se démène. Mieux, Mister President Senior, dont chacun connaît le côté un peu rude, décide d’entrer dans la danse…

Sans se départir de son cynisme habituel, malheureusement des plus objectifs, Clarke nous livre ici la première «histoire complète» en 46 pages de sa série.

Tadashi, membre de l’équipage de l’arcadia, se fait enlever par des vaisseaux de Tokâga, une planète asservie par les Sylvidres. Bravant l’embuscade tendue par leurs ennemies, Albator et l’Arcadia plongent dans les profondeurs sous-marines de Tokâga, et détectent un signal d’urgence émis par Tadashi.

Devant eux, les fonds marins sont entièrement couverts d’une infinité de pyramides sylvidres. Dans l’une d’elle, un trou béant aspire l’Arcadia..

Le capitaine Albator et son équipage décident de se rendre sur les terres mêmes des Sylvidres pour tenter d’élucider le mystère qui entoure ce peuple. Albator est alors accueilli par la reine en personne et se voit proposer un marché… L’incorruptible pirate va-t-il céder ?