13 jours

La famille Vaillant se remet à peine du vide laissé par la disparition de Jean-Pierre. Finalement innocenté, Michel reprend la tête de l’écurie et compte bien la mener au rang qu’elle a connu par le passé. Il contacte Renault pour équiper les futures Vaillante d’un moteur français mais, en pleine réunion, le directeur général de Renault F1 apprend qu’un de ses pilotes lui fait faux-bond pour le Grand Prix de France de Formule 1. Il propose alors à Michel de prendre part à la course et de renouer avec le monde de la F1. Prenant peur devant l’ampleur de la tâche, d’autant qu’il ne dispose que de treize jours pour se préparer physiquement et mentalement, Michel refuse… avant de se laisser convaincre par Françoise et de démarrer un entraînement intensif. Entre deux séances dans le simulateur F1, Michel va devoir battre des records d’apnée, nager des kilomètres, s’exercer à contrôler sa peur et ses émotions. Car c’est sur ce Grand Prix que l’avenir de l’écurie Vaillante se jouera. En cas de victoire, le retour sera légitime et la revanche éclatante, mais en cas de défaite…


Est-ce qu’on ment aux gens qu’on aime ?

Dans son village, Ralph Azham est considéré comme un bon à rien indiscipliné et insolent. Doté d’étranges pouvoirs (il voit les naissances et les morts), Ralph se met à dos tout le village très régulièrement. Pressenti, lorsqu’il était enfant, pour être l’Élu que tout le village attendait, Ralph Azham n’a pas été reconnu par l’oracle… Depuis, il traîne une réputation de paria, jusqu’au jour où il tient tête à La Horde, une poignée de soldats craints comme la peste par les villageois. Commence alors pour lui et pour Raoul, le petit garçon qu’il a pris sous son aile, une vie d’aventures et de dangers pour échapper à la vengeance de La Horde…


La mort au début du chemin

Après avoir mis en déroute la horde de Vom Syrus, Ralph fuit le village, flanqué de Raoul et de Claire. Arrivés à Astolia, où sont regroupés les Élus avant d’être présenté à l’oracle, ils réalisent que le Maître des lieux a une bien étrange conception de l’hospitalité… Une fois encore, le salut est dans la fuite, Ralph poursuit sa quête en compagnie d’un improbable magicien et d’un fylphe.

Le deuxième tome plein de surprises de la nouvelle saga de Lewis Trondheim, dont on retrouve la fantaisie débridée, l’humour décalé et le goût de l’aventure chevaleresque.


Noires sont les étoiles

Ralph, toujours accompagné par les magiciens Yassou et maître Migachi, a décidé de voler la couronne de Tanghor, dont le pouvoir pourrait rendre la mémoire à sa soeur. Il s’associe à trois voleurs rencontrés sur le bord de la route et se rend à Onophalae, où la couronne magique est conservée en haut d’un pic particulièrement bien protégé. Du moins pour le commun des mortels, car rien ne résiste aux méthodes non- conventionnelles de Ralph. De son côté, le père de Ralph, qui a survécu à l’effondrement du barrage, s’installe à Astolia, où il ouvre une boutique de gâteaux-surprises, dans l’espoir que son fils l’y rejoindra. Mais il n’est pas le seul à l’y attendre : nombreux sont ceux qui aimeraient toucher la prime promise pour sa capture !

Les aventures débridées de Ralph Azham et de ses compagnons se poursuivent sous la plume d’un Lewis Trondheim en grande forme.


LES IDEES NOIRES

La collection  » V.0.  » (Version Originale) a pour objectif de publier, à un format proche de celui des planches originales, les oeuvres maîtresses d’André Franquin. A ce format agrandi, des détails inattendus apparaissent pour faire encore mieux vibrer la planche. Tout en veillant à ce que la planche soit lisible, l’artiste aimait en effet offrir à ses lecteurs des détails savoureux pour la seconde ou la troisième lecture. A cette taille, le trait prend une nouvelle vigueur et les espaces blancs s’érigent en autant de respirations majestueuses. La magie du dessin franquinien vit une nouvelle vie.
Pour l’ensemble des titres de la collection  » V.O. « , les planches originales seront rescannées. Ainsi, pour les « Idées Noires », une technologie de scannage avancée a été nécessaire pour capter toutes les subtilités du travail de miniaturiste qu’était alors André Franquin. En effet, à certains endroits, il convenait de garder la force des aplats noirs au risque de perdre certaines subtilités. A d’autres, la chasse aux détails risquait d’amoindrir la puissance des contrastes noir/blanc de ce chef d’oeuvre.
Pour cette première « intégrale » digne du génie d’André Franquin, l’éditeur a opté pour choix de matériaux haut de gamme. Un papier couleur couleur crème d’un grammage de 170 g a été choisi. Afin de résister aux affres du temps, et d’offrir à l’acheteur une qualité digne d’un livre d’art, la reliure est cousue fil de lin et le dos toilé rappelle les premiers albums de la mythique « Collection du Lombard ».