Trois Montres d’Argent

XIII, l’homme sans mémoire, a été accusé d’être le meurtrier du Président William Sheridan. Poursuivi par la terre entière, il se retrouve être l’une des seules personnes au monde à savoir que le véritable instigateur de l’attentat n’est autre que le propre frère du chef d’Etat assassiné, devenu à son tour président des Etats-Unis.

XIII a de sérieux problèmes.

XIII, l’homme sans attaches, apprend de qui il est réellement le fils et pourquoi Jonathan Mac Lane, celui qu’il croyait être son père, s’est fait passer pour tel en lui donnant son nom. Et il découvre par la même occasion l’histoire tragique de sa famille, modernes Atrides au mélange explosif de passions irlandaises et de vedette sicilienne.

XIII a de qui tenir.

XIII, l’homme sans identité, se demande qui l’a envoyé apprendre à tuer dans une école de guerilla cubains sous le nom de Kelly Brian, pour passer ensuite quatre ans dans les rangs de la rébellion santosiste au Costa Verde dont il a, en prime, épousé la future présidente.

XIII a de quoi se poser des questions.

XIII, l’homme sans passé, apprend comment son ancêtre, enrôlé de force dans la révolution mexicaine de 1910, s’est emparé du fabuleux trésor de l’empereur Maximilien et l’a caché quelque part entre la Sierra Madre et le Rio Bravo. Cent mille pesos-or enfouis depuis près d’un siècle dans un lieu dont trois montres d’argent sont la clé.

XIII va avoir de gros soucis.

Et le lecteur, lui, va comprendre que si beaucoup de choses s’éclaircissent en apparence dans cet onzième épisode de la saga de XIII, rien n’est vraiment simple dans la vie du plus célèbre amnésique de la bande dessinée actuelle.


El Cascador

Par la Minerco tout d’abord, une puissante et mystérieuse compagnie dont le plan était de le faire passer pour le Cascador, héros de la révolution costaverdienne officiellement exécuté trois ans auparavant. Par la belle Félicity ensuite, égérie en titre du dictateur Ortiz et maîtresse du chef de la police secrète, le colonel Peralta. Par ses propres alliés révolutionnaires enfin, qui l’ont livré à Peralta et fait enfermer dans la redoutable forteresse de Roca Negra. Bref, par tout le monde. Avec un amnésique, on le sait, tous les coups sont permis.

Et si, tout compte fait, XIII avait réellement été l’homme qu’on a essayé de lui faire croire qu’il était ? Une seule personne pourrait répondre avec certitude à cette question : Maria Isabel de Los Santos, fille de l’ancien président et veuve du Cascador, qui attend son excécution dans une cellule voisine de celle de XIII.


Lâchez les chiens !

Accusé d’être Seamus O’Neil, un terroriste de l’IRA réfugié aux USA,

 » XIII  » est sur le point d’être éliminé par la National Security Agency quand surgissent des membres de l’organisation criminelle Exécutor

qui l’enlèvent. Pour l’une comme pour l’autre, il est plus que jamais l’homme qu’il faut tuer !

Moteur ! La course folle de XIII reprend. À ses trousses, les tueurs d’Exécutor, la plus terrible organisation criminelle des Etats-Unis. A leur tête la belle Jessica, fauve parmi les fauves….

Avec ce quatorzième épisode, Jean Van Hamme au scénario et William Vance au dessin font une nouvelle fois la démonstration éblouissante de leur talent. Sur terre, dans les airs, dans les flots, l’action bouscule le lecteur avant de l’abandonner ravi et comblé, la tête pleine d’images plus fortes les unes que les autres.

Mais le quinzième tome de XIII ne se résume pas à une simple poursuite, si haletante soit-elle. Jessica sèmera de nouveaux doutes dans l’esprit de XIII sur sa véritable identité. Seul réconfort pour le héros amnésique : il retrouvera ses amis qu’il n’avait pas voulu suivre à l’issue du Jugement, préférant faire -le fou !- confiance à la justice de son pays. Parmi elle, la belle Jones…


Histoire d’une BD culte

Pour fêter les 25 ans de la BD culte, cet album tiré à 999 exemplaires réunit les confidences des auteurs de XIII sur les 19 albums de la série, ainsi qu’une version en noir et blanc du tome 1 : Le Jour du Soleil Noir.


Spads

Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays.

Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l’histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.

Après un bref passage dans l’hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d’un album par an. Cette série s’impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.


Pour Maria

Quand l’homme qui vous condamne ainsi est le chef de la nation la plus puissante du monde, mieux vaut prendre des vacances prolongées. XIII, en compagnie du major Jones, a donc accepté de grand coeur l’hospitalité que lui offrait Armand de Préseau dans sa plantation d’Amérique Centrale. Une occasion pour notre couple choc de retrouver l’ex-sergent chef, Betty Barnowsky, dans son nouveau rôle de marquise.

C’est là que XIII est contacté par le padre Jacinto, un prêtre-guerillero nettement plus proche de Che Guevarra que de l’archevêque de Canterbury. A la profonde perplexité de l’amnésique (et au grand déplaisir de Jones), le message du curé de combat tient en deux points : 1° – Vous êtes mariés ; 2° – Votre femme, Maria, va être exécutée au Costa Verde.

Fausse vraie intox ou vraie fausse vérité ? That is the question. En tout cas, mitraillette et curarachas, c’est parti pour une nouvelle machination musclée sur fond de jungle et de dictature tropicale.


Toutes les larmes de l’enfer

Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays.

Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l’histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.

Après un bref passage dans l’hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d’un album par an. Cette série s’impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.


L’ouvre temps

Après vingt-deux albums de vols spatio-temporels, Christin et Mézières ont décidé de clôturer la saga par un final époustouflant, une extraordinaire épopée à la recherche de la Terre disparue mais aussi une ultime surprise pour les deux héros. Valérian et Laureline, accompagnés comme toujours d’un éblouissant bestiaire extraterrestre, devront d’abord triompher des Wolochs, ces terribles blocs d’inhumanité, pour terminer en beauté l’une des plus belles aventures du 9ème art.