LE TESTAMENT
L’IMPOSSIBLE SECRET
LE MESSAGE
LA PROPHETIE
PREMIERS SIGNES
EMERGENCY
Gags en rafale
Pat Masdair est pilote de chasse sur porte-avions et toutes les missions, de la reconnaissance au combat, sont sa spécialité. Jean-Guy Rouki est lui aussi pilote de chasse sur ce même porte-avions, mais sa spécialité à lui ce sont les gaffes en tout genre.
Du Pacha au Bosco en passant par le Bidel, les chiens jaunes, ou encore la charmante quartier-maître chargée de la météo, tous se sont demandés un jour pourquoi Rouki était encore là ?
Tout simplement parce que lorsque sa verrière se referme sur lui, que les moteurs sont lancés et que son avion est catapulté dans les airs, Rouki n’est plus le même homme et devient un as du pilotage.
Laissons nos deux héros nous immerger dans l’univers d’un porte-avions nucléaire unique en son genre, où chaque marin est passionné par sa tâche et met tout en oeuvre pour que les missions de nos pilotes se déroulent dans les meilleures conditions.
Avec les Héros Navals, vivez des gags en rafale !!!
La bombe à Tomik
Le baron Friedrich Hieronymus von Münchhausen, alias, le Baron Epileptik.
Digne descendant de la lignée des von Münchhausen, sorte de Don Quichotte moderne, c’est un aristocrate haut en couleurs, emprunt de droiture et qui a érigé l’honneur en mode de vie. Il n’a peur de rien et son inconscience du danger, associée à un besoin pathologique de panache et un sens très pointilleux de l’honneur, le lance régulièrement dans des entreprises très téméraires. Mais la chance proverbiale dont il jouit (un don familial) lui permet de s’en sortir toujours vivant.
Adolf Junior H. von Rot, alias le Baron Rouge Junior (ou plus simplement Junior), est un gamin sympathique, attachant et gaffeur qui porte une lourde hérédité…
En effet, il est… le fils caché d’Hitler, que le chancelier a eu d’une torride liaison avec la baronne Ulrika von Rot (qui est elle, la petite fille du célèbre Baron Rouge).
La baronne, cantatrice de renom, ne rêve que d’une chose : faire de son fils adoré le plus grand as de la Luftwaffe, en hommage à son ancêtre. Malheureusement, Junior n’est absolument pas doué pour le pilotage !
U-Boote : Peter Cremer commandant du U-333 : le survivant
L’aventure humaine vécue par le Lorrain Peter Cremer comme commandant du U-333 mérite d’être racontée. Au fur et à mesure de ses missions durant lesquelles le sous-marin aurait pu être coulé plus de dix fois, celui qui avait été surnommé « Ali » à l’école navale obtiendra d’autres surnoms : « Ali l’épave » puis « Ali l’incoulable »… Pendant sa première mission dans l’Atlantique Nord, le U-333 coule trois bateaux. Problème, sa troisième victime était en réalité un briseur de blocus allemand rempli d’une cargaison précieuse… Peter Cremer convoqué par Doenitz évite, en s’expliquant, une condamnation par la cour martiale. Lors de sa seconde mission, le U-333 est éperonné par un pétrolier avant d’atteindre les côtes américaines ; malgré des dommages considérables, le sous-marin parviendra à torpiller quatre bateaux avant son retour à La Rochelle. Le commandant Cremer reçoit la Croix de Chevalier… Ses autres missions seront toutes aussi incroyables, chacune aurait pu faire l’objet d’un film. Ce U-Boot sera éperonné encore deux fois par des bâtiments de guerre britanniques, grenadé des dizaines d’heures, bombardé presque à chaque mission par des avions dont trois seront abattus par la DCA de bord… Mais il s’agit bien là de faits réels, entièrement basés sur le journal de bord d’époque du U-333. La récupération par l’auteur, spécialiste des U-Boote, de l’album photo du chef mécanicien du U-333 Gerhard Heber, complété par des images issues du U-Boot-Archiv de Cuxhaven, permet d’illustrer avec plus de 200 photos inédites l’aventure de ce sous-marin et de son commandant Ali Cremer. Le destin étonnant de ce Lorrain à la fin de la guerre vous réservera également bien des surprises…L’aventure humaine vécue par le Lorrain Peter Cremer comme commandant du U-333 mérite d’être racontée. Au fur et à mesure de ses missions durant lesquelles le sous-marin aurait pu être coulé plus de dix fois, celui qui avait été surnommé « Ali » à l’école navale obtiendra d’autres surnoms : « Ali l’épave » puis « Ali l’incoulable »… Pendant sa première mission dans l’Atlantique Nord, le U-333 coule trois bateaux. Problème, sa troisième victime était en réalité un briseur de blocus allemand rempli d’une cargaison précieuse… Peter Cremer convoqué par Doenitz évite, en s’expliquant, une condamnation par la cour martiale. Lors de sa seconde mission, le U-333 est éperonné par un pétrolier avant d’atteindre les côtes américaines ; malgré des dommages considérables, le sous-marin parviendra à torpiller quatre bateaux avant son retour à La Rochelle. Le commandant Cremer reçoit la Croix de Chevalier… Ses autres missions seront toutes aussi incroyables, chacune aurait pu faire l’objet d’un film. Ce U-Boot sera éperonné encore deux fois par des bâtiments de guerre britanniques, grenadé des dizaines d’heures, bombardé presque à chaque mission par des avions dont trois seront abattus par la DCA de bord… Mais il s’agit bien là de faits réels, entièrement basés sur le journal de bord d’époque du U-333. La récupération par l’auteur, spécialiste des U-Boote, de l’album photo du chef mécanicien du U-333 Gerhard Heber, complété par des images issues du U-Boot-Archiv de Cuxhaven, permet d’illustrer avec plus de 200 photos inédites l’aventure de ce sous-marin et de son commandant Ali Cremer. Le destin étonnant de ce Lorrain à la fin de la guerre vous réservera également bien des surprises…