Je voudrais me suicider mais j’ai pas le temps

Une épouse et son mari voulaient une jolie petite fille à cajoler, ils ont eu un garçon tout vilain et cassé. L’enfant a grandi, cabossé, pour devenir Charlie Schlingo – improbable auteur de bande dessinée décérébrée, de blagues foireuses et de chansons branques, mort à 49 ans en 2005. Florence Cestac et Jean Teulé, qui l’ont bien connu, ont décidé de réaliser sa bio – le portrait d’un poète déglingué, une vie incroyable entre tragédie et farce énorme, et surtout un époustouflant destin d’homme.

En 70 pages au format unique, le meilleur du pire des chats ! Ce best-of des aventures drôlissimes du chat glouton, démontrera encore une fois que, même à l’approche des fêtes de fin d’année, Garfield n’est pas un cadeau ! Cet album qui est un magnifique objet est à ne rater sous aucun prétexte.

Paru en décembre 2006, cet album a fait l’objet d’un tirage limité : dépêchez-vous !

Pendant que Laureline poursuit une quête mystérieuse dans la constellation de Cassiopée, Valérian attends Monsieur Albert, représentant à Paris de Galaxy, capitale terrienne du futur, pour s’entretenir d’étranges phénomènes.

Un récit original influencé par l’écrivain de science-fiction Philip K. Dick et qui voit Valérian – ou plutôt ses doubles, puisqu’il est multiplié à l’infini pour les besoins de sa mission – sillonner l’espace et le temps dans un maelström vertigineux. Mézières est dans une forme graphique plus étincelante que jamais, et la dernière case de l’album rend un hommage inattendu à Auguste Renoir.

Dans Garfield s’emballe, un hors-série des aventures du chat le plus gourmand de la BD, Jim Davis nous raconte de drôles d’histoires de Noël ! Retrouvez la joyeuse équipe pour des fêtes de fin d’année délirantes !
Garfield s’emballe nous rappelle que, pour Jon, Noël est une drôle d’histoire… Certes, les guirlandes sont sorties, la neige est là et la famille est réunie, mais décorer le sapin devient une épreuve héroïque, gagner une bataille de boules de neige est une question d’honneur et empêcher Garfield de trouver les paquets, un combat de chaque instant ! Qui a dit que Garfield n’était pas un cadeau ?

Garfield s’emballe est un album spécial Noël, présenté sous couverture cartonnée avec découpe originale et pelliculage miroir ; 72 pages de gags pour rire en famille.

Paris, 1963. Alexis est musicien. Il a encore fait la fête toute la nuit après un concert. Quand il rentre chez lui au petit matin, c’est pour découvrir que Mary, la femme de sa vie, est partie. Alexis ne sait pas grand-chose d’elle. Il veut, il doit la retrouver. Avec comme seuls indices un numéro de téléphone – qui sonne dans le vide – et le fait que la famille anglaise de Mary possède une maison à Dinard, Alexis saute dans sa 203, et prend la route vers l’Ouest, une route pleine de détours et de rencontres étonnantes.

Odie ? Un album dont Odie serait le héros ? Ça jamais ! Garfield ne va pas laisser sa place sans combattre ! Un 5e album explosif !

Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Les lecteurs ne cessent de réclamer un récit entièrement consacré à Odie ? ! Lui, star d’un album de Garfield ? Rien ne va plus ! Alors, quand, en plus, nos supehéros se trouvent pris au piège de la terrible Vetvix, Garfield ne sait plus où donner de la tête. Heureusement qu’il y a les lasagnes ! Encore et toujours des lasagnes, c’est tellement bon ! Et « on peut toujours compter sur les lasagnes », enfin… c’est ce qu’on dit, non ?

Une nouvelle histoire du célèbre chat le plus glouton de la bande dessinée : un héros à l’état pur !

L’Horizon, paquebot de luxe chargé de rouvrir la ligne française d’Extrême-Orient après la Seconde Guerre Mondiale, quitte Marseille pour Saigon avec, à son bord, une clientèle dorée sur tranche : Géraldine Moustier-Loÿs, écrivain mondain ; Sybille de Liedekerke, femme d’ambassadeur et insupportable mijaurée ; Deborah Silverhell, jeune et richissime Américaine ; Don Manuel Orozco de la Peña, hispanique très pointilleux sur les mélanges de darjeeling et de lapsang ; un cheikh, son harem et ses chameaux, etc. Sans oublier un aviateur en quête d’héroïsme, un passager clandestin, une crapule à identité variable, un chef mécanicien CGT qui croit dur comme fer à la lutte des classes et un larbin qui y croit beaucoup moins.

Tout le monde, armé du plan du paquebot (également fourni au lecteur) semble chercher quelque chose. Et au fil du voyage, il s’avère que personne n’est vraiment ce qu’il prétend être. Même pas l’Horizon, qui s’appelait jadis le Parsifal, et devait emmener Hitler à New York en cas de victoire du Troisième Reich.

Porté par un dessin lumineux, nostalgique d’un monde ancien et raffiné, Paquebot (mis en chantier bien avant la sortie du Titanic de Cameron) a le charme irrésistible des grandes traversées – sans le naufrage. Réunissant la satire sociale, le roman policier à énigme, la comédie mondaine et le jeu amoureux, cet album s’inscrit dans la tradition des récits de Cendrars, Evelyn Waugh ou Eric Ambler. Mais il est surtout une nouvelle manifestation de l’entente parfaite Christin-Goetzinger.

Ce tome 11 de l’intégrale Barbe-Rouge regroupe les albums À nous la Tortue, L’Or et la gloire, et La Guerre des pirates, soit les trois dernières histoires scénarisées par Jean Ollivier et dessinées par Christian Gaty. Éric, Barbe-Rouge, Baba et Triple-Pattes y retrouvent la mer des Caraïbes pour des aventures tumultueuses et palpitantes. Une intégrale devenue une référence avec un excellent cahier de Brieg Haslé-Le Gall.

Dans Le Cinquième Beatles, un roman graphique, Vivek J. Tiwary et Andrew Robinson racontent l’histoire incroyable de celui sans qui les Fab Four, le plus grand groupe de pop-rock de tous les temps, n’auraient jamais vu le jour…

Le Cinquième Beatles, pour la première fois en bande dessinée, met en scène l’histoire de Brian Epstein, ce brillant visionnaire qui découvrit les Beatles dans une cave de Liverpool et les mena au sommet. Scénarisé par Vivek J. Tiwary – producteur de vidéoclips, notamment pour Bruce Springsteen et Oasis, mais aussi de spectacles à Broadway –, cet album est magnifiquement illustré par Andrew Robinson, avec la participation de Kyle Baker. Sir Paul McCartney a loué l’exactitude historique de l’ouvrage. Sa traduction en français est l’oeuvre d’Hugo Cassavetti, l’un des meilleurs spécialistes français de la pop.

Le Cinquième Beatles est un one shot ; un roman graphique indispensable pour les amateurs du groupe, de la pop, du rock, de la BD… et les autres !