Les trois tomes d’O’Boys enfin en intégrale ! Philippe Thirault, Stephan Colman et Steve Cuzor signent avec cette série une magnifique évocation de l’Amérique des années 1930, sur fond de racisme et de blues…
Cette intégrale d’O’Boys réunit les trois épisodes de l’histoire deux jeunes gens qui, ensemble, vont accomplir un fabuleux périple qui deviendra un véritable apprentissage de la vie… Un récit puissant qui restitue l’ambiance dans le sud des États-Unis des années 1930 : l’univers de Mark Twain, John Steinbeck ou Jack London. Une Amérique sur fond de blues et de racisme…
L’intégrale d’O’Boys présente les trois albums de la série ; une BD d’aventures au son du blues et du racisme qui paraît en noir et blanc, dans une version luxe au tirage limité.
Dans ce troisième tome d’« Undertaker », Jonas Crow n’est plus ce pauvre croque-mort solitaire… même si, lui, aurait bien voulu le rester ! Dorison et Meyer lui ont associé mademoiselle Lin et Rose, la belle Anglaise. De la douceur dans son monde de brutes ? Pas pour très longtemps… Un ancien colonel lui apprend que « l’Ogre de Sutter Camp est vivant » ! Son passé trouble pendant la guerre de Sécession ressurgit, et Jonas engage alors sa « troupe » dans une chasse à l’homme et à ses propres regrets…
Nos héros les plus british mènent l’enquête sur le plus british des dramaturges : William Shakespeare of course ! Mais qui est-il vraiment ? Entre l’Angleterre et l’Italie, Philip Mortimer et Elizabeth, la fille de Sarah Summertown, résolvent des énigmes plus ardues les unes que les autres. Entre-temps, Francis Blake enquête sur une bande organisée de Hyde Park. Une course contre la montre et des révélations en série : un très grand Blake et Mortimer signé Yves Sente et André Juillard !
Cette intégrale de La Mort de Staline regroupe les deux tomes de ce vrai faux récit historique signé par deux grands noms de la nouvelle BD française : Fabien Nury et Thierry Robin.
Le 2 mars 1953, en pleine nuit, Joseph Staline, le Petit Père des peuples, l’homme qui régna en maître absolu sur toutes les Russies, fait une attaque cérébrale. Il est déclaré mort deux jours plus tard. Commence alors une lutte acharnée pour le pouvoir suprême, lutte qui concentrera toute la démence, la perversité et l’inhumanité du totalitarisme. Qui succédera à Staline ? Une histoire vraie soviétique, à l’humour ravageur et cruel, portrait saisissant d’une dictature plongée dans la folie.
La Mort de Staline, une bande dessinée historique réaliste et documentée qui dépeint le tableau terrifiant et absurde d’un système totalitaire en pleine folie.
Galaxity, capitale de l’empire galactique terrien, an 2720. L’agent spatio-temporel Valérian est envoyé au Moyen-Age pour contrer les agissements de Xombul, un technocrate qui se rêve en maître du monde. Il rencontre une jolie terrienne nommée Laureline puis la ramène à Galaxity une fois sa mission accomplie. Le décor est en place, la pièce peut commencer.
Des conflits ethniques, des manipulations génétiques, un seigneur de la guerre qui prétend justement « faire la guerre à la guerre » (« un concept sophistiqué mais intéressant », selon monsieur Albert) : il faut de tout pour réussir un album de Valérian. Et même un Schniarfeur de Bromn, espèce inconnue jusqu’alors, quelque peu insupportable mais parfois bien utile…
Entre la Terre et la planète Zomuk, Valérian et Laureline cherchent respectivement à comprendre les raisons d’apparitions anormales dans toute la galaxy. Initialement déconnectées, leurs deux affaires semblent se rejoindre.
Valérian et Laureline aident un peuple d’esclaves à résister à la dictature du « Maître » relayée par les Oiseaux-Folie. Réflexion sur l’oppression et la résistance, cet album aux résonances très politiques ne sombre jamais dans le prêchi-prêcha grâce à l’humour de Christin, qui rejette dos à dos les deux personnages – savoureux ! – du marxiste et du philosophe.
Après un voyage de 4000 ans, les habitants d’Alflolol découvrent que leur planète, rebaptisée Technorog par Galaxity, est soumise à une exploitation industrielle intensive. Christin et Mézières sensibilisent leurs lecteurs à une idée neuve : l’écologie politique. Et Laureline s’impose comme la figure de proue de la série tandis que le pauvre Valérian traîne son blues existentiel.
Et revoilà Dieu, qui commence à en avoir par-dessus la tête de ces Terriens. En particulier de la clique de dirigeants de Vivaxis, une multinationale spécialisée en biotechnologies et en recherche génétique. Dieu n’hésite pas à mouiller sa chemise et venir sur terre leur dire leurs quatre vérités : qu’ils arrêtent de se prendre pour les maîtres du monde, nom de… Enfin, nom de lui ! Un album en forme de dénonciation des dérives et autres méfaits du capitalisme et du pouvoir des actionnaires.