Lady X va intriguer pour déclencher une guerre entre les États-Unis et la Chine en attaquant à la fois le porte-avions Ronald Reagan, sur lequel notre héros est affecté, et le porte-avions chinois Liaoning.
Pour cela, elle a trouvé le partenaire idéal en la personne de Junichiro Yamasaki, un capitaine d’industrie allié aux yakusas et membre éminent du Kokuryu-Kai, un groupe ultranationaliste qui rêve de prendre le pouvoir au Japon. Ce dernier lui offre les moyens de ses ambitions avec, outre le chasseur furtif Spectre vu dans l’album précédent, un prototype secret de sous-marin furtif qu’elle va utiliser pour déclencher la guerre entre la Chine et les États-Unis.
Buck Danny et ses amis devront agir en électrons libres pour déjouer les plans de leurs machiavéliques adversaires…
Six ans plus tôt : Harmony est une jeune orpheline qui, parce qu’elle présentait des symptômes de dégénérescence neuronale, a été intégrée dans le programme de recherche du docteur Torres. Aujourd’hui saine et sauve, l’incroyable talent qu’elle a développé, la télékinésie, intéresse en revanche beaucoup une société militaire privée. Cette dernière évince rapidement William Torres du programme. Son objectif est clair : monter un camp d’entraînement afin de développer, pour son propre profit, les aptitudes d’Harmony ainsi que celles d’autres enfants potentiellement concernés.
Cette organisation arrivera-t-elle à faire de ces enfants des machines de guerre ? Mais surtout, William laissera-t-il Harmony courir un tel danger ?
La suite de la prometteuse série de Mathieu Reynès dénoue peu à peu les mystères du premier tome. Intrigues de pouvoir, secrets d’État et aptitudes extraordinaires, le tout est servi à merveille par un dessin dynamique, moderne et d’une grande précision. Une saga addictive !
Lorsque la jeune Harmony se réveille, amnésique, dans une cave inconnue, elle ne dispose que de peu d’informations pour comprendre sa situation : le nom de son logeur, de mystérieuses voix dans sa tête et un don nouveau pour la télékinésie.
Mais il va falloir que la mémoire de l’adolescente se débloque et que tout lui revienne enfin (ses pouvoirs, sa relation avec son hôte, l’existence des autres enfants, le camp d’entraînement) pour contrer les dangers qu’elle devra affronter.
Beaucoup de questions restent en suspens, et le combat ne fait que commencer…
1945. Les Alliés marchent sur les camps et le monde découvre l’horreur nazie. À Dessau, en Allemagne, une rescapée reconnaît sa délatrice et la gifle. Henri Cartier-Bresson, alors sur place, capture ce geste dans une image qui deviendra emblématique.
Avant d’accompagner les Américains dans la Libération, puis, plus tard, de cofonder l’agence Magnum, Henri Cartier-Bresson était déjà un photoreporter majeur du XXe siècle. Fait prisonnier en 1940, il parviendra à s’échapper en 1943 et reviendra témoigner en images avec une précision du geste, une science du moment, un talent du cadrage qui feront de lui, selon les mots de Pierre Assouline, « L’oeil du siècle ».
Tout à la fois roman graphique et biographie, Henri Cartier-Bresson, Allemagne 1945 raconte « l’homme libre », profondément humaniste, qu’était Cartier-Bresson. L’ouvrage est accompagné d’un portfolio et d’un dossier documentaire rédigé par Thomas Todd, spécialiste de l’oeuvre du photographe, sous l’égide de la fondation Cartier-Bresson.
Le format des albums de la collection « Aire Libre / Magnum Photos » a été entièrement repensé : format classique d’un roman graphique et plus de densité (90 pages de BD et plus de 40 pages de portfolio et de dossier).
Lorsque la jeune Harmony se réveille, amnésique, dans une cave inconnue, elle ne dispose que de peu d’informations pour comprendre sa situation : le nom de son logeur, de mystérieuses voix dans sa tête et un don nouveau pour la télékinésie.
Mais il va falloir que la mémoire de l’adolescente se débloque et que tout lui revienne enfin (ses pouvoirs, sa relation avec son hôte, l’existence des autres enfants, le camp d’entraînement) pour contrer les dangers qu’elle devra affronter.
Beaucoup de questions restent en suspens, et le combat ne fait que commencer…
Depuis leur création, les vignettes contenues dans les emballages entourant les chewing-gums Malabar ont fait l’objet d’un travail attentif de la part des publicitaires, soucieux de fidéliser au mieux leur jeune clientèle.
Après les décalcomanies, les créatifs s’investissent dans la bande dessinée en 1977, en faisant appel à Maurice Rosy, homme à idées du Journal de Spirou récemment débarqué à Paris pour débuter une nouvelle carrière d’illustrateur. Après lui, beaucoup d’artistes continueront à animer l’amusant Malabar, et parmi eux, certains des plus grands noms du 9e art tels François Avril ou Frank Margerin.
Baignées de nostalgie mais aussi témoins de l’histoire commune que partagent l’illustration et la publicité, ces rares bandes dessinées sont aujourd’hui réunies, agrémentées de croquis et d’inédits, dans cet ouvrage dense et ludique. Alain Lachartre, ancien directeur artistique de la marque et amateur éclairé de dessin, en retrace, vignette après vignette, la trajectoire.
Dans le grand théâtre des Autres Gens, il y a ceux qui vont, qui viennent, qui déménagent, qui disparaissent ou qui font leur grand retour, ceux qui errent d’amour en amour, ceux qui se battent et ceux qui tirent les ficelles (ou croient les tirer). Mais chacun, dans cette immense tragicomédie, a son rôle à jouer… On retrouve bien sûr le détestable Louis Hoffman, toujours aussi obsédé par le contrôle qu’il espère pouvoir exercer sur tous ceux qui croisent sa route, ainsi que Mathilde, Faustine, Kader, Camille, Emmanuel et tous les protagonistes de cette bédénovela, entrecoupée de 6 hilarants « contes de Noël ». Le Noël 2003 de Camille par Boulet, le Noël 1991 de Mathilde par Lommsek, le Noël 1985 de Louis par Terreur Graphique, le Noël 1980 de Henri par Pochep, le Noël 2005 de Emmanuel par Marion Montaigne, le Noël 2006 de Stéphane par AK.
L’oeuvre de Franquin a fait l’objet de nombreuses études et exégèses. On connaît moins son goût pour le design, qui traverse pourtant son univers graphique. De la maison de Spirou et Fantasio aux bureaux des Éditions Dupuis dans Gaston, Franquin prête une attention particulière aux décors, qu’il meuble de fauteuils et de luminaires inspirés des créateurs emblématiques de son époque, de Eames à Paulin en passant par Panton, Aarnio et bien d’autres. Passionné de design, il possédait en effet nombre d’objets et de meubles contemporains dont il s’inspirait de manière très directe pour les décors de ses albums.
Prenant appui sur cet angle jusque-là peu exploré de l’oeuvre de Franquin, cet ouvrage propose une visite stylistique inédite de l’univers du maître. Augustin David nous invite à redécouvrir avec lui dans le détail les décors de séries qui ont marqué leur époque, comme Spirou et Fantasio ou Gaston. Aux techniques et à l’inventivité des designers répond la maestria graphique de Franquin, qui sut restituer, en bande dessinée, le ton et l’esthétique propres à son époque. En parallèle des planches des albums de Franquin, ce beau livre présente des illustrations, recherches et croquis rares et inédits, ainsi que des photographies issues des archives de la famille de Franquin.
Même si Hélène accouche, si Louis reprend du poil de la bête (et quelle bête !), et si Henri le révolutionnaire se retrouve à partager son appartement avec un suppôt du pape, l’évènement, c’est bien le retour de Mathilde à Paris. Un retour en forme de bilan pour celle qui, contrairement à son frère, se sent finalement un peu trop libre de ses mouvements. Action, conspiration et émotions sont donc au menu de cet incroyable roman-feuilleton, servi avec style par les meilleurs auteurs du moment !
Louison est un enfant amnésique, Étienne un soldat français séduit un temps par les mythologies aryennes et Yin-Tsu une photographe japonaise chargée d’espionner Himmler. Tous trois cherchent à survivre à la guerre et à ses événements les plus terribles : la Shoah par balles, les camps de concentration, les sinistres recherches des « docteurs » de l’Ahnenerbe…
Wotan est le vent furieux des mythologies nordiques. À travers cette fresque sans concession et très documentée, Éric Liberge plonge dans les méandres les plus diaboliques du nazisme et de l’âme humaine, tout en développant une réflexion philosophique sur les thèmes du choix, de l’engagement et du courage. Explorant les zones d’ombre de chacun de ses personnages, il les confronte à l’innommable. Loin de tout manichéisme, Éric Liberge déroule la mécanique implacable d’un récit dont nul ne sortira indemne, et qui se déploie en trois grands volets, de la « drôle de guerre » à l’armistice du 8 mai 1945.
Les 162 pages de bande dessinée sont complétées par un dossier graphique et historique, notamment les récits des parents de l’auteur pendant la « drôle de guerre » et la Libération.