Dans un récit profondément intime et émouvant, Alix Garin nous raconte son voyage libérateur à travers les méandres des troubles de la sexualité. Comment le combat pour reprendre possession de son corps, de son désir et sauver son couple se transforme en une quête émouvante de guérison, d’émancipation et d’amour.
À travers des hauts et des bas, des échecs et des victoires, elle explore les profondeurs de sa psyché, les liens entre le physique et le mental et la complexité de la sexualité. Avec courage et honnêteté, Alix livre un témoignage sincère, beau et bouleversant sur les difficultés liées à la sexualité, encore trop méconnues et souvent taboues.
C’est avec un délicat plaisir que nous retrouvons les bancs de l’école Belle Épine et la classe de Monsieur Perrault. Au village, si les devantures des boutiques parées de leurs plus beaux atours réchauffent le coeur des élèves, le froid glacial annonce, lui, un hiver plus rude que les précédents. Qu’à cela ne tienne, il est grand temps d’écrire sa lettre au Père Noël ! Greta aimerait que sa maman retrouve un amoureux ; Tartarin en a assez des jouets en bois, il veut du plomb, Hansel et Bretzelle leur poids en bonbons ; Narcolette un pyjama licorne … Monsieur Perrault semble quant à lui bien songeur à la veille des vacances…
En filigrane de la vie à Belle Épine et des nombreuses allusions aux contes que le lecteur découvrira avec délectation, le professeur dévoile dans ce tome un nouveau pan de son histoire, celle sombre et triste des années de guerre. Car dans « Les racontages de M’sieu Perrault », les scènes légères de bataille de boules de neige ou de balades en forêt côtoient des séquences plus réflexives, voire difficiles, à l’image des contes dont elles s’inspirent. Ode à l’amitié et à la bienveillance, ce tome 2 offre une nouvelle parenthèse à la fois poétique et d’une douceur infinie.
Capucine et Emma semblent plus épanouies que jamais et continuent de tracer leur chemin dans la danse. Mais l’année scolaire touche bientôt à sa fin et les soeurs doivent faire face à de nouveaux défis.
Emma et Jake commencent tous deux un stage, elle dans un magasin vendant des articles de danse, lui dans une société de production. Le stage de Jake le passionne mais il est frustré de ne pas pouvoir toucher au matériel mis à sa disposition et montrer de quoi il est capable. Toute la bande décide donc de réaliser un nouveau clip. Mais Jake n’étant pas satisfait du résultat, Emma propose de l’aider en se chargeant de la chorégraphie. Et si c’était l’occasion pour Emma de se découvrir un nouveau talent ?
Capucine, quant à elle vit son rêve et danse à l’Opera Bastille entourée de ses meilleures amies et des danseurs qu’elle admire. Mais son trio est mis en péril par le départ de Manon, qui part à New York l’année prochaine. Capucine accuse le coup mais elle peut compter sur le soutien de Maël et de sa soeur, prêts à tout pour l’aider.
En piégeant Lady Darksee, Raven fait preuve d’une audace folle. Non seulement, il avait déjà récupéré les émeraudes, mais en plus, il isole la capitaine pirate de son équipage resté au camp.
Malheureusement, pour les rescapés du naufrage, la situation est critique : le comte est assassiné par Drago, le second de Darksee, et le « Capricorne » qui devait permettre à tout ce petit monde de s’enfuir de cet enfer, est échoué sur la plage.
La menace des cannibales est plus que jamais présente et amis et ennemis d’autrefois devront s’entendre pour faire face à cette menace mortelle. Mais gare aux coups bas !
La conclusion de la grande saga de pirates de ces dernières années !
Novembre 1935. Pessoa vit ses derniers jours. Simão Cerdeira, jeune pigiste au Díario de Lisboa, est chargé de rédiger la nécrologie de cet écrivain dont il ignore tout. L’apprenti journaliste va méticuleusement remonter la piste, interrogeant les principaux témoins de l’existence de ce personnage énigmatique. En parallèle, Pessoa prépare sa sortie. Aura-t-il le temps d’achever ce « Livre de l’inquiétude », basé sur les confidences de son ami Bernardo Soares et qui lui tient tant à coeur ?
Révolté par le sort qui leur est réservé, Baba quitte soudainement le Faucon-Noir pour vivre auprès d’esclaves en fuite. C’est alors que Peet le Bordelais propose un marché abject à Barbe-Rouge : l’aider à retrouver l’île où Baba s’est rendu, et à capturer les Negmarrons qui s’y trouvent. En échange, il libérera indemne la fille d’Éric et Concha, qu’il vient de kidnapper. Obligés d’accepter, Barbe-Rouge et Éric jouent un double-jeu particulièrement risqué… Une histoire en deux tomes sur fonds de commerce triangulaire, narrée avec talent par Jean-Charles Kraehn et dessiné avec virtuosité par Stefano Carloni.
Blandine et Marco continuent d’explorer le monde virtuel fascinant d’Arven, et le monde réel via un voyage scolaire qui va les mener en Auvergne et en Alsace. L’occasion pour Blandine d’essayer de comprendre pourquoi son jeu vidéo semble être devenu autonome, avec notamment l’apparition d’une ville, Nauséa le double maléfique de la magnifique Arven-Dhor, tout en apprenant les fonctionnements, et bénéfices, de la géothermie, une énergie renouvelable d’avenir…
Dans le Londres victorien de la bonne société, la jeune Eden Glitter porte bien son nom. En effet, elle brille par sa persévérance et sa personnalité lumineuse. Car dans les bureaux de la Royal Society, organisme pour la prévention de la cruauté animale, la jeune anglaise aimerait faire entendre raison à Berenice, sa patronne : si les combats d’animaux sont prohibés depuis 1835, un réseau clandestin continue d’exister dans les bas-fonds secrets de la ville. Il est urgent d’agir !
Quelque temps plus tard, alertée par une passante, Eden découvre un malheureux bouledogue blessé à la dérive dans la Tamise, qu’elle s’empresse de recueillir. « Encore un nouveau pensionnaire ? », sourit son époux policier, Gareth, en rentrant à la maison, transformée en une improbable arche de Noé.
Tous deux ne savent pas encore que le nouveau venu est le point de départ d’une enquête des plus mouvementées. Assistée par deux gamins des rues, Kessy et Irwin, indics aussi discrets qu’efficaces, Eden s’engage dans une aventure qui la mènera au malfaiteur le plus abject et sans scrupule de la capitale : Flynn Hellwood.
La nuit, rien n’est pareil. La réalité s’efface pour laisser place à l’imagination. En journée, les jardins de Kensington, à Londres, sont envahis par les humains. À la nuit tombée, ils deviennent le territoire du merveilleux…
La petite Maimie Mannering, six ans, s’est perdue dans ce parc immense après la fermeture des portes. Elle croise la route de fées qui menacent de « manger ses petits doigts », puis elle fait la connaissance d’un certain Peter Pan. Un drôle de garçon, ce Peter. Capable de voler, il parle à Maimie d’un « pays imaginaire, une île où les enfants ne grandissent pas ».
Maimie voudrait bien rentrer chez elle. Mais Peter aimerait qu’elle reste avec lui pour s’amuser. Ensemble, ils vont rencontrer la Reine des fées et tenter de résoudre une énigme improbable qui permettra à Maimie de trouver la sortie du parc, avant que le jour ne se lève et qu’elle ne reste coincée dans le parc… à jamais !
Avant de mettre en scène Peter Pan dans une pièce de théâtre, en 1904, puis dans le roman Peter and Wendy paru en 1911, James Matthew Barrie lui a donné naissance en 1902 dans un autre roman, Le Petit Oiseau Blanc. José-Luis Munuera adapte ce texte jusqu’alors oublié, en proposant une vision du personnage à la fois personnelle et fidèle à l’oeuvre de l’écrivain.
Inspirée de la vie de Otama Kiyohara (1861~1939), Keiko Ichiguchi nous fait découvrir une histoire qui n’est pas sans rappeler son propre parcours entre deux mondes lointains : le Japon et l’Italie.
Première femme peintre japonaise de style occidental et la première femme japonaise à avoir posé comme modèle pour un artiste occidental, Otama a vécu la « Belle Époque » à Palerme vers la fin du 19ème siècle. Puis, complètement oubliée par les Japonais pendant plus de 50 ans, Otama rentre au Japon en 1933 à l’âge de 73 ans. Son pays natal a bien changé.
Nous sommes au début février 1936, un coup d’Etat se prépare…