Complètement Marto

La vie de Billie craint un max : faut faire ci, pas faire ça… Et en plus c’est la rentrée, et ses parents ne veulent pas qu’elle s’habille en cow-boy alors que, là-bas, c’est la guerre ! Les autres sont tous des idiots et les profs sont bien moins faciles à manipuler que des parents. Heureusement, Billie a un nouvel ami, et il est même pas imaginaire, celui-là ! « Marto est un monstre, et il est capable de dévorer les importuns. Les relous sont prévenus : il y a un nouveau shérif en ville et elle s’appelle Billie Bang Bang !


Adlivun


La Conférence

Un homme est invité à l’Académie des Sciences pour raconter son expérience, celle de sa fabuleuse métamorphose : en cinq années, il est passé de la condition de singe à celle d’homme, jusqu’à en perdre une partie de son apparence simiesque…
Capturé en Afrique, il est envoyé en Europe à bord d’un navire.  Il comprend que sa seule issue pour échapper à l’enfermement sera de renoncer à sa nature de singe et de s’adapter au monde des hommes. La condition de sa survie : courber l’échine, consentir à tout et observer l’homme pour mieux l’imiter, il devra le singer en tous points, jusqu’aux moindres défauts et perversions… Jusqu’à devenir humain pour autant ?


1966-1968

Ce volume reprend les épisodes suivants publiés entre 1968 et 1969 : « Le Réveil de Toar » , « Le Grand Combat », « La Matière verte » et « Tif rebondit », ainsi qu’un récit complet de six pages, « La Boîte à Tondu », publié précédemment dans la collection « Péché de jeunesse ».

Ce cinquième volume des intégrales de Tif et Tondu marque la fin de la collaboration entre Rosy et Will, après presque quinze années pendant lesquelles ils auront réalisé des épisodes mythiques. Rosy aura élevé très haut la série, qui peinait avant son arrivée à trouver sa place dans le cœur des lecteurs du Journal de Spirou. On lui doit la création de M. Choc, avec son masque et sa queue-de-pie, un méchant mythique de la bande dessinée franco-belge.

Seulement, à travers ces dernières histoires datées de 1968 et 1969, le scénariste évolue vers un humour plus anglais, basé sur l’absurde, qui convient mal à l’esprit de la série, tout du moins aux yeux de l’éditeur. Le diptyque La Matière verte et Tif rebondit, qui clôt ce volume, est aussi celui qui symbolise la scission. On est dans le fantastique le plus absurde, un ton qui symbolisera aussi l’humour de Maurice Rosy, de plus en plus décalé par rapport au reste de l’équipe du Journal de Spirou. Il passera ensuite la main à Maurice Tillieux qui marquera à son tour la série dans les années 1970.


Au-delà de la piste

Les cadavres continuent de s’accumuler dans le sillage de Duke, et des cent mille dollars qu’il doit maintenant apporter à King s’il veut sauver Peg. Pour cela, il doit traverser un désert presque aussi impitoyable que ses divers poursuivants : les renégats de l’armée qui veulent s’emparer du magot ; Oakley, qui a juré de venger son fils ; Manolito, son « ange gardien » en service commandé des enfers. Duke survivra-t-il pour tenir ses promesses ? Il en va du salut de son âme damnée…


L’Histoire de Ruth Jacob

Avez-vous déjà connu le grand amour ? Celui qui compte pour toute une vie, celui pour qui vous seriez prêt à tout, même au pire ?

Paul Rivest l’a connu. C’était durant un été à Melvile, il avait 14 ans, il est tombé amoureux de Ruth, la fille du pasteur. La passion s’est terminée dans une tragédie brûlante et Paul ne s’en est jamais remis.

Aujourd’hui, il est obligé d’y revenir après plus de vingt-cinq années d’absence. Mais Melvile a de la mémoire et ses habitants aussi…


Les Chroniques de Melvile

Engoncée dans la vallée, entourée de pins et de sycomores, la ville de Melvile comptait, avant la fermeture des scieries Tréjean, plus d’un millier d’habitants. Implantés depuis la fin du siècle dernier, les Tréjean possédaient la moitié de la ville et il était de tradition qu’ils en soient maires de père en fils.
Un accident de chasse arrêta brutalement la lignée, emportant avec elle l’industrie locale. C’était une ville tranquille et on ne lui connaissait jusqu’alors pas de grands crimes ni d’événements marquants.
À quelques exceptions près…


Victor Hubinon

Victor Hubinon est le fondateur du style réaliste du journal Spirou qui a fait entrer Buck Danny dans la légende de la bande dessinée franco-belge. Dès la création de Pilote, Hubinon fait de Barbe-Rouge une référence absolue pour la bande dessinée maritime. Pour tous ces récits, il forme un duo de choc avec Jean-Michel Charlier, un géant du scénario. Plus qu’un simple dessinateur, Hubinon est un authentique auteur développant une écriture personnelle à bien des égards innovante. La notoriété transgénérationnelle de Buck Danny masque souvent les trouvailles stylistiques de son génial auteur. Victor Hubinon – Une Vie en dessins offre enfin une formidable redécouverte du génie d’un dessinateur trop souvent resté à l’ombre de la légende Buck Danny !