S’ils ont fini par se faire une raison, les parents d’Angèle n’en continuent pas moins de s’étonner des réflexions hardies de leur fille et de son attachement pour René, son copain cochon. Les amis de la famille, la maîtresse d’école et le voisinage ne savent pas toujours quelle contenance prendre. Les questions de la fillette sont souvent fort embarrassantes. Quant à ses remarques intempestives ! Les vérités, même les moins avouables, ne sortent-elles pas de la bouche des enfants ? Les choses de la vie qu’elle découvre, Angèle les expérimente avec son amoureux Giovanni un peu ébahi par ces étranges élans d’affection. Entre deux caprices et maintes facéties, René observe la drôlerie des comportements humains
Phoenix
« Je veux arrêter mes études ! J’abandonne le collège… »
Phoenix n’en démord pas, elle veut concurrencer Cindy Crawford et devenir top-modèle. Tous ses copains en sont ébahis. Phoenix est ambitieuse, mais d’ordinaire, elle fait preuve de bon sens.
Les parents de la jeune fille sont également abasourdis. Sa décision est néanmoins irrévocable : elle quitte le collège et la maison, bien résolue à prouver qu’elle peut vivre sa vie comme elle l’entend. A 18 ans, on a tout l’avenir devant soi…
Son amie Cherryl, une vraie pro, va l’introduire dans cet univers magique et merveilleux de la mode en la présentant à son agent qui cherche de nouveaux talents.
L’apprentissage est cependant très dur et décourageant. D’autant que la prof de maintien a fait de cette débutante sa tête de Turc.
A force de travail et d’obstination, Phoenix décroche un contrat. Elle ira défiler à Paris et elle y présentera des collections pour de riches acheteurs.
Mais qu’achètent réellement ces clients ?
Phoenix se rend compte que ses rêves se transforment en cauchemars et que les murs sur lesquels elle espère parfois se reposer ne sont pas toujours scellés avec le ciment de la sincérité…
Avec ce troisième vollet de sa série « Génération Collège », Denayer explore les coulisses du monde très en vogue des tops-models.
Mic Mac Adam – Fantômes en folie
Les « Classiques du rire » vous proposent des séries qui ont fait les beaux jours de Tintin, Pilote, Spirou ou Vaillant dans les années 60-70, parfois introuvables depuis vingt ans.
Désert sans lumière (Le)
Vingt mois après son arrestation et grâce aux efforts de ses amis, Red Dust est libéré. De retour au pays, il n’est plus que l’ombre de lui-même, la prison l’a durement marqué, de plus il est constamment surveillé par l’adjoint du nouveau shérif. Alors qu’il reprend peu à peu ses marques, Shortgun Marlowe, un bandit qui a déjà semé la terreur dans le Nevada, annonce sa venue dans la région. La ville est sous l’emprise de la panique car l’armée est loin de la ville et il n’y a pas assez d’hommes pour la défendre…
Histoires complètes 1962-63
En 1962, lorsqu’il décide de se reconvertir dans la bande dessinée et propose ses services à la rédaction du journal « Tintin », William Vance a déjà à son actif une brillante carrière d’illustrateur en publicité. Comme tout nouveau venu, c’est en dessinant de courtes histoires complètes qu’il s’y affirmera cependant..
A l’aube des années 1960, la vocation des hebdomadaires de bandes dessinées n’est pas seulement de distraire les jeunes bédéphiles, elle est aussi de les cultiver. Comme son concurrent « Spirou » publié par les Editions Dupuis a ses fameuses courtes mais « Belles Histoires de l’Oncle Paul », le journal « Tintin » des Editions du Lombard a ses non moins fameuses « Histoires authentiques ». En quatre planches, elles racontent et illustrent de grands événements de l’Histoire du monde ou la vie de personnages célèbres. « L’Oncle Paul » de l’hebdomadaire des 7 à 77 ans est alors le prolifique et très imaginatif conteur et scénariste Yves Duval. Depuis ses 17 ans, outre des séries mises en images par les dessinateurs vedettes de l’époque, il scénarise chaque semaine de courtes histoires documentaires. Abordant les sujets les plus divers, celles-ci servent surtout de bancs d’essai pour les aspirants à une carrière dans la BD. De 1950 à 1990, Yves Duval en produira plus de 1.500 ! Elles révèleront bon nombre des grands noms actuels de la BD. Comme tout débutant, le désormais célèbre dessinateur de « XIII », « Bruno Brazil » et « Bruce J. Hawker » devra se soumettre à cet exercice. De 1962 à 1967, il mettra en images plus de soixante de ces « Histoires authentiques » écrites par Duval.
Intégrale Ringo T2
1867. Les attelages de la Wells-Fargo assurent le transport des voyageurs, mais aussi de l’or extrait des gisements de l’Arizona. Ray Ringo, cavalier aussi secret que téméraire, est chargé de veiller à ce que la livraison du précieux métal s’effectue sans encombres. Il doit donc partir en éclaireur sur les itinéraires qu’emprunteront les transporteurs afin d’éviter que les convois soient victimes de mauvaises rencontres…
Intégrale Ray Ringo en 2 tomes.
Toupet martyrise les tympans
Le meilleur des doubles vitrages, les boules Quiès™® les plus efficaces, rien n’y fait : quand Toupet a décidé de jouer avec les décibels, c’est l’escalade de la violence sonore. Faisant d’une pierre deux coups (de marteau), il parvient en même temps à casser les pieds et les tympans de ses pauvres parents, déjà débordés une baby-sitter trop sentimentale, ses prétendants énamourés, un aïeul capricieux, des voisins pénibles et une chienne dépressive !