Os courent
La perle a disparu
Vingt-cinq bâtiments participent à un impressionnant exercice de l’Otan dans le détroit de Gibraltar. Parmi eux, un des fleurons de la Marine nationale, le sous-marin d’attaque nucléaire « La Perle » doit apporter son aide dans cette simulation de blocus.
Le problème, c’est qu’à peine l’exercice commencé, la Perle ne répond plus…
Il faut dire qu’à bord, on vient de recevoir des ordres très précis de l’état-major : abandon immédiat des manoeuvres de l’Otan et départ en mode furtif pour une destination inconnue en Méditerranée.
Ce que l’équipage de La Perle ignore, c’est que l’état-major n’est pour rien dans ces ordres. Au ministère de la Défense, c’est le branle-bas de combat. On vient de perdre un bâtiment armé d’ogives nucléaires. Une telle information pourrait avoir des retombées catastrophiques sur le plan international, on demande donc à l’unité secrète d’investigation de la Marine nationale d’intervenir. Nathalie Mercier, Stéphane Bergam et Kamel Khoun se lancent à la recherche d’un des bâtiments les plus secrets de notre armada.
La Section Trident est en chasse…
L’Amérique en guerre
L’opération Coup de timbale s’est avérée un tel succès que la Kriegsmarine ne rêve que de prolonger ses victoires. Seul l’équipage de l’U-47, cantonné à des missions secrètes, ne se réjouit pas et trépigne d’impatience, avide d’aller prendre part à cette traque sur les navires américains, vulnérables et sans défense. De leur côté, les Britanniques s’inquiètent de l’inefficacité américaine et envoient leur meilleur chasseur, le commandant Walters, pour redresser la situation là-bas. Une fois de plus, Prien, à bord du l’U-47, va se retrouver face à sa némésis pour un combat qui pourrait bien sonner le glas de son sous-marin comme de son équipage.
Pluie de sang
Les naufragés de Malpasset
Hubert Granville, ancien flic d’élite de la Brigade criminelle aux méthodes parfois musclées, décide en cette fin d’année 1959 de quitter le 36 quai des Orfèvres pour rejoindre la Surveillance générale. La «SUGE», c’est ainsi qu’on surnomme la très méconnue et secrète police des chemins de fer. Mais notre héros, craignant une préretraite, va vite découvrir que l’univers du rail est loin d’être de tout repos entre trafics en tous genres, braquages, flingages entre espions, vols, meurtres… Granville va rapidement reprendre du poil de la bête en constatant que ses nouvelles fonctions sont loin d’être une sinécure et que les macchabées s’amoncèlent le long des voies ferrées avec autant d’abnégation que dans les ruelles sordides de la capitale. Bienvenue dans cette série noire, mais non dénuée d’humour, véritable immersion dans l’univers du polar des années 50 dans une ambiance digne des grands auteurs de cette époque : Simenon, Jeanson, Steeman, Simonin, Audiard… Alors, calez-vous confortablement dans votre banquette de moleskine ou de tissu, à bord des trains mythiques de cette époque où les machines à vapeur cohabitaient avec les locomotives électriques, et laissez-vous emporter en pacific 141, en 232 U et autres merveilles de technologie et d’esthétisme de cette époque…
Donjons et Dragons
Manfred von Richthofen et son ami Willy aiment la guerre. Ils ont été formés pour cela. Le front russe leur donne la possibilité de s’amuser, en faisant un maximum de dégâts et de victimes.
Ils rejoignent ensuite une escadrille de chasse basée dans le nord de la France. Manfred y retrouve Friederich, son ennemi mortel, pilote dans la même escadrille.
Grâce à un appareil performant, l’Albatros, Manfred fait des ravages parmi les pilotes anglais.
Il parvient même à stopper des offensives terrestres en détruisant les monstrueux chars alliés.
Mais pour le Baron, le véritable danger vient de son camp : Friederich va tout faire pour le détruire.
Le tueur du Lyon-Genève
A la fin des années 1950, l’inspecteur Hubert Granville, ancien grand résistant et policier de choc de la brigade criminelle à Paris, intègre la très secrète police des chemins de fer, la SUGE (Surveillance Générale), afin d’y apporter ses compétences. A peine est-il nommé dans ses nouvelles fonctions qu’il est conduit à enquêter sur le décès mystérieux d’un truand fraichement libéré, dont le corps a été découvert le long de la voix ferrée, près de Bellegarde-sur-Valserine. Toutefois, quand Granville et son nouvel équipier Pigagniole, débarquent dans l’Ain, c’est pour découvrir une région hantée par les fantômes d’un passé sordide où le silence et le non-dit règnent en maître. Car ce qui ne semblait n’être qu’un règlement de comptes entre truands se transforme vite en une série de meurtres étranges. Vingt ans après un tragique et effroyable fait divers, en ce début d’hiver 59, un mystérieux tueur sème l’effroi et les cadavres dans le Pays de Gex le long de la ligne Lyon-Perrache/Genève…
Black sheep à la rescousse
Après avoir été blessés chez les Tigres Volants, Frank et Steve sont renvoyés aux USA.
Ils y restent plusieurs mois en convalescence et reviennent sur le front en 43.
Ils se retrouvent alors basés à Espiritu parmi d’autres pilotes de réserve.
Un officier inconnu leur donne un mystérieux rendez-vous. Ils s’y rendent et retrouvent alors Boyington qui leur a fait une farce.
Celui-ci leur demande de le rejoindre pour fonder un nouvel escadron de chasse.
Ils acceptent, car ils ont un bon souvenir de lui et ils savent qu’il sera très efficace à la tête d’un escadron…
Boyington va devoir ensuite recruter des pilotes parmi ceux de la base. Ils vont y rester un moment pour s’entraîner, car la plupart ont très peu d’heures de vol. Heureusement, ils ont à leur disposition des Corsairs, ce qui va leur donner un avantage certain sur les Japonais.
Mais tout ceci va se révéler très compliqué car le colonel Lard va passer son temps à leur mettre des bâtons dans les roues.
Ils arrivent tout de même à partir pour les îles Russel. C’est un test pour Gramps et son équipe : s’ils ne font pas vite preuve de leur efficacité au combat, l’escadron sera rapidement dissous.
Leur première mission consiste à escorter des Avengers et des Dauntless avec une vingtaine de Corsairs. L’objectif est l’île de Ballale, aux mains des Japonais, qu’ils doivent bombarder.
Arrivés au-dessus de l’île, ils doivent protéger les bombardiers attaqués par une quarantaine de chasseurs nippons.
C’est une réussite : ils détruisent de nombreux avions ennemis avec une seule perte.
Mais cette première mission d’escorte est suivie de beaucoup d’autres où ils n’ont plus l’occasion de combattre. Et on risque toujours de dissoudre l’escadron s’il n’affiche pas un palmarès conséquent.
Une autre bataille avec les Japonais finit par arriver et Boyington et ses hommes descendent de nouveau des chasseurs. Leur position est donc consolidée et la 214 est assurée de continuer.
Affrontement final
L’enquête pour retrouver les drones Black Shark, entraine nos héros en Irlande, où les activistes d’Anarchy, aidés par des membres de l’IRA, leur tendent un piège mortel.
Pendant ce temps, les dirigeants du G8, tous rapatriés sur la base aérienne écossaise de Leuchars, se préparent à rentrer chez eux sans même attendre la fin de l’enquête.
Mais c’est une très mauvaise idée, car Klaus Unger et son équipe, retranchés dans leur plate-forme pétrolière perdue en mer du Nord, piratent un câble sous-marin et préparent la dernière partie de leur plan en vue de l’affrontement final…