Kurts, le pirate, est venu libérer, in extremis, le glaciologue Lien de la cloche de glace sous laquelle il était condamné à mourir lentement de froid. C’est Skoll, l’ancien lieutenant de la sécurité de la TransEuropéenne avec lequel Lien a percé le mystère de F-Station, qui le lui a demandé. Skoll a en effet besoin du glaciologue. Il veut l’envoyer en mission en PanAméricaine. Pour rejoindre la Zone occidentale, la locomotive à tête de mort doit franchir les frontières et son capitaine a recours aux vieilles techniques de la piraterie: prendre par surprise, avec rapidité et avec force. Pendant ce temps, au Miki, les Sibériens règnent en maîtres. Le colonel Sofi, chef des soldats d’élite mogols, y a jeté son dévolu sur la danseuse Yeuse.
Toujours caché au sein du cabaret, Jdrien, le fils mi-roux mi-humain de Lien, affirme ses pouvoirs de télépathe.
Une bande de chasseurs esclavagistes a capturé Jdrou, la jeune Rousse dont le glaciologue Lien Rag s’est épris. Le bûcheron Pietr, qui avait recueilli le couple, a tué un des assaillants et dans la confusion, Lien est arrêté et jeté en prison.
Le 7e tome et dernier du 1er cycle « Jdrien? d’une saga futuriste exceptionnelle et d’un cycle romanesque hors du commun.
Dans le cinquième tome de La Compagnie des glaces, le glaciologue Lien Rag tombait amoureux de Jdrou, une femme du peuple des Roux. Avec elle, il se réfugie dans une exploitation forestière tenue par Pietr et Lena Hansen. Parti vendre du bois en compagnie de Pietr, Lien apprend alors de la bouche de Yeuse, la danseuse de cabaret qui lui a gardé son affection, que des groupes de Roux sauvages sont capturés et vendus à la Compagnie avant d’être enfermés dans des cages. Lien craint le pire pour Jdrou. Il décide de se lancer à sa recherche.
Qui est sauvage, qui est civilisé ? Au fur et à mesure de l’adaptation en bande dessinée de l’oeuvre de G.-J. Arnaud, le peuple des Roux est confronté à la bestialité et à la cupidité des humains, fragiles créatures réfugiées sous leurs dômes de verre. Face à la chasse aux Roux menée par des groupes de chasseurs pour le compte de la Compagnie, Lien Rag apparaît comme l’un des derniers défenseurs des opprimés et de la liberté. Cette saga futuriste, où se mêlent aventure et réflexion sur l’avenir de l’humanité, révèle au fil des albums sa dimension prophétique.
Ce premier cycle de la Compagnie des glaces s’achèvera en octobre 2005 avec la parution du tome 7.
Enrôlé de force dans l’armée de la TransEuropéenne, le glaciologue Lien Rag a été le témoin de farouches combats et s’est retrouvé confronté à des Roux armés. Mais il s’est aussi épris de l’une d’entre eux…
Le glaciologue Lien Rag ne garde plus qu’un vague souvenir de Floa Sadon, la fille du gouverneur de la TransEuropéenne qu’il a libérée en remettant une forte rançon à son ravisseur, un pirate du rail. Enrôlé de force dans une unité de l’armée de la TransEuropéenne, il a été envoyé sur la frontière PanAméricaine pour sonder la glace. Il y a été le témoin de farouches combats et, dans une station dévastée, il a surtout découvert ce que personne n’aurait jamais pu imaginer au sein de la Compagnie : des Roux fortement armés ! Cette vision extraordinaire l’a profondément perturbé. Lien a dès lors accepté de faire partie d’une mission de l’armée afin d’étudier le danger potentiel que représente cette nouvelle donne dans la relation entre les hommes du chaud et ces mi-hommes mi-singes issus d’une manipulation génétique, seuls capables de survivre à -50°. Au cours d’une rencontre avec un clan de Roux, le glaciologue fait la connaissance de Jdrou, l’une des membres du groupe.
La Rousse le séduit, le trouble et l’obsède. Il ne cesse jamais de penser à elle…
Sioban, princesse des Sudenne, affronte un terrible mage et tente de reconquérir l’honneur de sa famille.
Nouvelle édition de cette intégrale qui nous conte l’ascension d’une jeune guerrière vertueuse. Le trait vigoureux de Rosinski nous procure des décors magnifiques, où les combats s’avèrent d’une violence impitoyable.
Une saga scénarisée par Jean Dufaux, qui fait s’affronter la vertu d’une adolescente et les maléfices d’êtres machiavéliques. Un classique confirmé de l’heroïc-fantasy.
Cette nouvelle édition de l’intégrale comprend une vingtaine de pages de croquis originaux inédits et une nouvelle maquette de couverture
Depuis quelque temps, le gibier que ramènent les chasseurs d’un village de l’Est semble contaminé. L’étrange maladie se répand, et le phénomène inquiète. Equani, habile chasseur et valeureux guerrier, décide de partir à l’Ouest pour y déceler la cause du mal. Mais Equani souhaite aussi y rencontrer la mystérieuse et obsédante Washita qui hante ses rêves. Au risque de provoquer la colère des esprits.
Fin des années 1930. Dans le bled vaseux de Soporificahontas, la jeune Miss Swampy est à mille lieues de se douter qu’une guerre mondiale se prépare. Entre la pêche aux poissons-chats et les courses de crapauds, elle mène une vie tranquille et insouciante. À cette époque, elle peut encore se promener torse nu dans son short troué sans qu’aucun mâle ne s’en émeuve. Mais le vent va rapidement tourner. Piégée par des espions japonais, Swampy est empoisonnée par des baies de poison ivy qui lui confèrent, outre un physique plus avantageux, un superpouvoir redoutable: d’un simple baiser, elle fait tomber les hommes comme des mouches.
Très vite, les services secrets voudront mettre la main sur cette jeune bombe humaine. Grands amateurs de comic strips, les auteurs, Yann et Berthet, s’en donnent à coeur joie. Ainsi la jeune Swampy se trouve transformée du jour au lendemain en véritable jeune fille.
« Notre propos n’est pas de raconter l’histoire d’une héroïne en culottes courtes ! », soutient Berthet. Clins d’oeil caustiques, petits délires parodiques et gags rocambolesques abondent dans ce premier tome. Côté graphique aussi, la série joue la carte de la légèreté. Sans pour autant tomber dans un style « gros nez », Berthet arrondit les angles, pousse moins loin le réalisme que dans d’autres séries et travaille les expressions comiques de ses personnages. « Je n’ai pas cherché à faire du comic à tout prix, ni une resucée de ce qui se faisait aux États-Unis dans les années 1950, mais j’ai adopté volontairement un dessin un peu moins rigoureux », explique-t-il.
Dans « Retour en Louisiane », 3e tome des Enquêtes d’Andrew Barrymore, Valambois et Delestret envoient le shérif adjoint d’Old Creek Town au fond d’une geôle de La Nouvelle-Orléans !
C’est en prison et accusé de meurtre qu’Andrew Barrymore commence le 3e épisode de ses enquêtes ! Tout a commencé avec un télégramme de la charmante Brendy – une jeune femme qu’Andrew a aidée par le passé – le pressant de la rejoindre à La Nouvelle-Orléans, la ville où Andrew a grandi. Là-bas, il apprend la raison de cet appel : il faut sauver un innocent de la pendaison ! Bah ! Une affaire banale pour notre fin limier… mais, sur place, Andrew est confronté aux pires adversaires : ses souvenirs et les démons qui l’ont poussé à fuir sa ville natale…
Troisième épisode des Enquêtes d’Andrew Barrymore, une B.D. originale et pleine d’humour, façon « western policier » qui a été nominée au Prix Polar SNCF 2012. Ceux qui l’ont lu ont adoré !
Tout en dissimulant sa véritable identité, le roi bleu Asagi tente d’amener Shuri et Sarasa à une confrontation. Pendant ce temps, la mère de Sarasa a été capturée par Shuri et conduite à Kumano. Sarasa s’y rend à son tour…
