EL CAKR

Tandis que Jonathan Hawk, le successeur de Desmond Miles, démasque le traître qui s’est infiltré dans sa cellule, son rétrosujet El Cakr livre une lutte acharnée aux Templiers pour la possession du Sceptre d’Aset. Dans une Égypte troublée par l’assassinat du sultan An Nâsir Muhammed, le bâton de la déesse représente un enjeu primordial puisqu’il procure d’importants pouvoirs à celui qui le détient… et les autres !
Les personnages du célèbre jeu vidéo « Assassin’s Creed », vendu à plus de 57 millions d’exemplaires, prennent maintenant vie sous la plume du célèbre scénariste Corbeyran (« Le Chant des Stryges », « XIII Mystery »), et du dessinateur Djillali Defali (« Uchronies ») pour nous entraîner dans une aventure passionnante qui défie le temps et la science – une aventure totalement inédite, qui va surprendre les amateurs des jeux et les autres !


Chaminou et le Khrompire

Prépubliée en 1964 dans le journal Spirou, cette histoire animalière de Raymond Macherot est souvent considérée par la critique comme son chef-d’oeuvre, voire comme l’un des chefs d’oeuvre de la bande dessinée.

L’univers de « Chaminou et le Khrompire », est très marqué par les années soixante dont il fait une caricature parfois cynique. On y découvre une ville clinquante de néons où les publicités s’étalent partout et s’introduisent chez les gens par le biais de la télévision. La publicité pour les pâtes Délysse a, malgré les années, gardé toute son agaçante modernité. Macherot s’attaque aussi au mythe de l’agent secret, singeant les aventures de James Bond qui envahissent alors les écrans de cinéma. Chaminou, le héros, agent de la Police Secrète du Roi, est complètement dépassé par les événements d’une histoire où cannibalisme et chirurgie esthétique servent d’ingrédients à une oeuvre beaucoup trop adulte pour les lecteurs de Spirou de l’époque.


La guerre des 7 fontaines (1960)

Perdus dans une région aride et inhospitalière, Johan et Pirlouit passent la nuit dans un château abandonné. À minuit, résonne un son de cloche et apparaît devant eux le fantôme du seigneur du château mort depuis 100 ans, le Sire Aldebert de Baufort.

Après « La voiture immergée » et « La villa du Long-Cri », c’est au tour de « La guerre des 7 fontaines », une aventure de « Johan et Pirlouit » de Peyo, de faire son entrée dans cette collection commentée par Hugues Dayez, aux airs de « Pléiade » de la bande dessinée.


Le Sursis tome 1

Juin 1943. Julien Sarlat saute du train qui le conduit en Allemagne et gagne le petit village de Cambeyrac, dans l’Aveyron, pour s’y cacher à l’insu des villageois en attendant la fin des hostilités. Étonnante intervention du destin : le train qui devait l’emmener est bombardé et, parmi les victimes, un corps a été identifié comme étant le sien. Le voilà mort aux yeux du monde. Profitant de cette situation inattendue, il s’enferme dans le grenier de l’instituteur, arrêté par la Gestapo française et dont la maison a été mise sous scellés. Dès lors, depuis ce poste d’observation donnant sur la place du village, le mort vivant va assister à ce théâtre permanent qu’offrent les gens dans le déroulement des jours. Amours, haines, jalousies, lâchetés, mouvements du coeur, actes d’héroïsme, rien n’échappera à l’observateur. Jusqu’au moment où, de spectateur qu’il était, il sera lui-même acteur et rencontrera à nouveau son destin, cruel et moqueur, toujours inattendu, qui lui aura juste accordé un sursis.


Missié Vandisandi

Karl Vandesande, ingénieur agronome à la retraite, vit tranquillement à Bruxelles. Passionné d’art africain, il a même commis un livre sur le sujet. Et voilà qu’un mécène lui propose de retourner au Congo, maintenant état indépendant, pour pouvoir écrire la suite. Karl Vandesande n’hésite pas : retourner là-bas, n’est-ce pas retrouver l’Afrique, ses amis, sa jeunesse ? Pourtant, depuis quinze ans, bien des choses ont changé. Les trafics louches, la corruption, la dictature battent maintenant leur plein. Et « Missié Vandisandi » découvre bientôt qu’il est mêlé à des histoires qui le dépassent. Et, dès lors, un sentiment diffus de peur l’étreint…