Travailleur du sexe dans une boîte huppée de Broadway, Jude se produit chaque soir lors de spectacles érotiques sous les yeux avides d’une population nantie. Une nuit, il se voit offrir par Megan, belle femme énigmatique, une proposition qui ne se refuse pas : un contrat pour un film, censé l’arracher à sa vie présente pour un fantasme qu’il n’aurait jamais espéré atteindre. Pour être embauché, il doit être accepté par l’Invisible Art Production, dont les membres se font plus secrets et dangereux les uns que les autres…
Parce que dans cette Amérique fantasmée où la violence et l’argent font la loi, les chances de tout plaquer pour refaire sa vie ailleurs sont minces…
Une grosse déception attend les auteurs des aventures du Marsupilami, de retour dans la jungle pour prendre des nouvelles de leur héros : le nid des marsupilamis est fermé, et toute la petite famille, partie pour une destination inconnue !
Heureusement, les retrouvailles avec les Chahutas sont comme toujours chaleureuses. Face à l’insistance des enfants, les deux auteurs se lancent dans des histoires de plus en plus merveilleuses sur le Marsupilcoatl, qui ravissent tout le village. Pendant ce temps, les marsupilamis arrivent, après un long périple, sur les rives du lac Harum-Bayac. Mais ils ne sont pas seuls au rendez-vous : de Mars le Noir au vieux marsupilami de Baby Prinz, la grande famille des marsupilamis s’est donné rendez-vous pour fêter un événement exceptionnel…
1926. Pour être libre, Sarane a épousé un jeune officier de la coloniale. Parce qu’elle était libre, Sarane s’est perdue dans le Sahara. Les Touaregs l’ont recueillie et Sarane est devenue prisonnière. Prisonnière de son amour pour Kheg, le seigneur du désert. Mais la capture, puis l’évasion d’un prisonnier blanc vont changer sa fragile position.
Des années plus tard, au crépuscule de sa vie, Sarane se souvient et s’interroge: qui est ce vieillard assis sur son banc : son mari ? son amant ? le prisonnier ? aucun des trois ?
Christian Lax aime l’Afrique du Nord. Ses décors somptueux, son sable mordoré, ses lumières blanches ne font pas peur au dessinateur. Scénariste, il aime avant tout les aventures humaines aux couleurs aujourd’hui surannées.
En 1993, bien avant son « Aigle sans orteil », Lax avait déjà parlé du début du XXe siècle, grâce à une femme farouche et révoltée, une femme indépendante avant l’heure, mais pas libre pour autant.
Si pour vous, un temps plein correspond à 35 heures par semaine, il en est tout autrement pour Nelson, ce diablotin venu sur terre pour empoisonner la vie des humains, et en particulier celles de Julie, jeune célibataire, et de Floyd, son empoté de chien. Avec un dévouement proche de l’excès de zèle et une imagination à toute épreuve, ce petit monstre orange ne leur laisse aucun répit. Il est en service 24 heures sur 24, sans rendez-vous, car incrusté à domicile !
Léo, le spirit, n’a qu’un but : trouver le septième mage ! Grâce aux révélations d’Alice, la devineresse, il sait que c’est quelqu’un qu’il a déjà rencontré et qu’il porte vraisemblablement une tache de naissance comme les six autres.
Alice fait une autre prédiction : l’un des cinq rencontrera l’enchanteur le mercredi suivant. Chacun suit alors ses intuitions et tente de provoquer des rencontres qui semblent totalement fortuites avec son suspect favori.
L’enchanteur, ignorant tout de son pouvoir, laisse de curieuses créatures sur son passage, aidant bien involontairement les six à le trouver. Une course contre la montre est alors lancée, car une terrifiante et gigantesque bête a envahi la ville et détruit tout sur son passage… Et les « Magic 7 » ne pourront livrer leur grand combat que lorsqu’ils seront au complet !
La petite Madeleine Riffaud, née en 1924, vit heureuse avec son grand-père et ses parents instituteurs. Du moins, jusqu’à ce que la Seconde Guerre mondiale n’éclate, que l’Exode ne jette la famille sur les routes et que l’adolescente, atteinte de tuberculose, soit envoyée dans un sanatorium perché dans les Alpes. Pourtant, Madeleine est bien résolue à réaliser un projet fou et nécessaire : trouver des résistants et lutter contre l’occupant. Elle y parviendra, sous le nom de code « Rainer ». Son entrée dans la Résistance ne sera que le premier acte d’un destin exceptionnel qu’elle raconte aujourd’hui dans une première trilogie nourrie des milliers de détails d’une mémoire qui n’a rien oublié…
Ralph Azham est à la croisée des chemins. Alors que son peuple et ses amis comptent sur lui pour maintenir la paix et lutter contre son nouvel ennemi, Tilda Pönns, celui qui a vaincu le grand Vom Syrus est maintenant confronté à un problème d’un tout nouvel ordre, celui de gérer son pouvoir et les responsabilités qui lui incombent. Craignant de devenir une mauvaise personne, selon le principe que le pouvoir corrompt, Ralph pense à abandonner son poste de surintendant. Mais la découverte d’une perle directionnelle autour du château va lever son lot de mystères et, bien malgré lui, l’élu va devoir reprendre la route !
Ce neuvième tome de la série d’heroic fantasy de Lewis Trondheim n’en finit pas de nous étonner. Après un premier cycle plein de rebondissements et d’aventures, et un précédent volume qui ouvrait une toute nouvelle ère, Ralph Azham passe aujourd’hui à l’âge adulte.
Entre épopée fantastique, humour pince-sans-rire et grands questionnements moraux, une série malicieuse et addictive !
Le Royaume est un coin de terre paisible où il fait bon vivre, dirigé par un Roi plutôt bonne pâte. À ses côtés, la Reine, parfois un peu acariâtre, et ses enfants : Alain et Adrien, gentils mais pas très malins et Cécile, plutôt très maligne et pas très gentille (enfin surtout avec ses frères).
Il y a longtemps, le Roi avait un frère, mais celui-ci ne rêvait que de guerre. Alors le Roi l’a fait emprisonner, le temps qu’il revienne à de plus pacifiques projets. Au moment où commence ce récit, le frère du Roi a non seulement réussi à s’évader, mais il a en plus pris Cécile en otage. Heureusement la valeureuse Anne va délaisser momentanément sa taverne et voler à la rescousse du Roi et de sa famille. Aidée du fidèle François et d’un des petits piafs moqueurs du village, elle va rejoindre l’équipée lancée à la poursuite du frère félon.