Père célibataire au foyer, c’est un boulot à plein temps, et ce n’est pas Dad qui va prétendre le contraire ! Surtout avec quatre filles au caractère bien trempé, et pas vraiment du genre à s’écraser devant leur éternel ado de père…
Entre Pandora l’intello, Ondine la volcanique, Roxane l’espiègle et Bébérenice la petite dernière, ce comédien au chômage a trouvé le rôle de sa vie : celui de s’occuper de sa famille sans rien perdre de sa propre jeunesse.
Une chronique moderne, tendre et ironique de Nob, l’auteur de Mamette, qui nous offre des tranches de vie pleines d’humour et de vécu loin des idées reçues.
Mexico, août 1923. Le photographe américain Edward Weston vient d’abandonner femme et enfants pour rejoindre sa maîtresse Tina Modotti. Fille d’émigrés italiens, Tina a démarré une carrière d’actrice à Hollywood avant de se révéler photographe, dans le sillage d’Edward.
Au Mexique, les deux amants découvrent que révolution rime avec expression. Sur les murs des bâtiments publics explosent les peintures de Diego Rivera, de Xavier Guerrero et de tous ceux qui resteront dans l’histoire de l’art sous le nom de « muralistes ».
En ces années 1920, charnières entre l’ancien monde, balayé par la première guerre mondiale, et le nouveau monde qu’il reste à construire, Tina et Edward s’engagent aux côtés des guérilleros de l’art. Dès lors, pour Tina, le sexe, la liberté, l’art et la politique s’avèrent indissociables de son mode de vie ; une quadrature du cercle difficile à résoudre pour Edward. Mais si la passion brûle les sens, la souffrance attise les feux de la création…
« Range ta chambre, Jojo ! » L’injonction de Mamy est claire et ne laisse pas le choix à Jojo : il doit obéir. Il découvre alors que, malgré son jeune âge, il a déjà accumulé bien des objets… et des souvenirs. Et lui reviennent à l’esprit quelques moments mémorables de sa jeune existence : la fois où Gros-Louis a eu une illumination mystique à la messe de Noël ; la fois où toute la classe a essayé de cacher à Jojo que c’était la fête des Mères, lui qui n’a jamais connu la sienne ; et puis aussi la fois où Jojo a essayé d’inculquer l’esprit de compétition sportive à Gros-Louis… À travers quatre petites histoires alternant émotions fragiles et grands éclats de rire, André Geerts aborde, avec humanisme et légèreté, des thèmes graves comme l’absence d’un parent ou l’existence de Dieu. Il nous conte une enfance idéalisée où, si tout n’est pas toujours rose, rien n’est jamais noir.
ScottMitchell. Marié. Deux enfants. Amant de Jessica Blandy. Assassiné, lui et sa famille, sans pitié, par un inconnu. Effondrée, Jessica cherche à comprendre, mais chaque indice la rapproche de la mort. Car bientôt un second, puis un troisième homme sont assassinés. Tous amis avec Scott. Et à chaque fois, leur bourreau ne leur souffle qu’une seule phrase avant de les tuer : « Souviens-toi d’Enola Gay… »
La révélation des Alter Ego a réveillé bien des appétits : escrocs et illuminés en tout genre font leur miel de l’incertitude qui plane encore sur la véracité, ou non, de cette théorie. Désigné pour diriger le Comité scientifique international chargé d’évaluer la validité de la théorie des Alter Ego, Gail LLewellyn se rend à Singapour pour rejoindre ses pairs, accompagné de sa maîtresse. La tension autour du travail du Comité, mais aussi en son sein, est palpable. Gail, qui doit sa nomination aux pressions américaines à l’ONU, sait qu’on attend de lui qu’il accélère les délibérations du Comité dans un sens plutôt négatif. Ce qui ne lui pose pas de problème, étant lui-même porté au scepticisme quant à la théorie des Alter Ego. Jusqu’au jour où, victime d’un attentat, il doit la vie à une jeune femme qui serait mandatée par son propre Alter Ego, tandis que le mystérieux tueur qui s’attaque aux acteurs de premier plan de l’affaire Alter Ego semble insaisissable…
Savoir ou croire : choisir sa vérité devient une question de vie ou de mort.
Quand on est une princesse, on ne fait pas toujours ce qu’on veut : parfois, on est même obligée de se marier avec un prince qu’on n’aime pas au nom de la raison d’État…
Pour assurer la paix du Royaume et sa bonne entente avec son voisin, le royaume d’Arbélie, le roi décide de marier Cécile au prince d’Arbélie. Mais c’est compter sans Cécile qui, en découvrant son fiancé, décide de se rebeller… et s’en va donner son premier baiser de princesse à Thibault, le bouffon du roi.
Camille, jeune française vivant à Singapour, entretient des relations difficiles avec sa mère, Suzanne Rochant, chercheuse de haut vol en psychologie et neurosciences, trop souvent absente. Mais voici que Suzanne meurt brutalement dans des circonstances tragiques. Peu après, Camille débarque dans une bourgade d’Angola à la recherche d’un homme qui pourrait être son père, qu’elle n’a jamais connu. Elle est porteuse pour lui d’une lettre trouvée dans le testament de sa mère. Mais la vérité qui l’attend n’est pas exactement celle qu’elle pressentait…
– Avec Lannes, Lassale et Espagne, vous chargez pour enfoncer le centre autrichien et couper leur armée en deux. Alors Davout passe le grand pont avec ses réserves, il renforce vos attaques et nous écrasons ces coglioni !
– Qu’il en soit ainsi, Votre Majesté.
– Il en sera ainsi, Berthier. Je le vois et je le veux.
Mai 1809 : La Grande Armée de Napoléon s?apprête à traverser le Danube sur l’immense pont flottant construit en une nuit par le génie français. De l’autre côté du fleuve, l’Archiduc Charles et les armées autrichiennes les attendent, bien décidés à venger l’humiliation d?Austerlitz. L’horreur est en marche.
La bataille d’Essling, c?est la première grande hécatombe de la guerre moderne ; deux journées d?un déluge de fer et de feu qui va laisser 45 000 morts couchés dans les blés.
Armez vos mousquets, aiguisez vos lames, laissez derrière vous toute espérance. Bienvenue au coeur de La Bataille !
Frédéric Richaud et Ivan Gil signent ici une adaptation magistrale du roman de Patrick Rambaud couronné en 1997 par le Grand Prix du roman de l’Académie française, puis par le prix Goncourt.