Le Démon du soir ou la ménopause héroïque

Dans Le Démon du soir ou la Ménopause héroïque, Florence Cestac aborde, avec l’humour qui lui est propre, un sujet jusqu’alors inédit dans la bande dessinée : le cap de la soixantaine…

Le Démon du soir ou la Ménopause héroïque raconte l’histoire de Noémie qui découvre le résultat de sa mammographie : « Mais comment ça « deux petites boules » ? Je suis censée faire quoi avec ça ? » La soixantaine, presque arrivée à la retraite et, maintenant, le crabe ? Comme une prise de conscience foudroyante, cette menace sonne la fin de la vie telle que Noémie la connaissait. Maintenant elle va s’occuper un peu d’elle ! Largué, le conjoint ; largué, le boulot ; larguées, les contraintes ; larguez les amarres !

Le Démon du soir ou la Ménopause héroïque est un one shot qui aborde avec humour l’approche la soixantaine, le temps qui passe et la maladie. La préface est signée Jean Teulé.


Soon

En 2151, la population mondiale a été divisée par dix en raison des dégâts climatiques. L’humanité vit dans un équilibre précaire. Regroupée dans sept zones urbaines, elle a inventé de nouveaux modèles de vie sociale. Ailleurs, la nature s’étend librement. Simone, astronaute, fait partie d’une mission d’exploration spatiale nommée « SOON » : un voyage sans retour, un projet d’une ambition inédite dans l’histoire de l’humanité.
Avant le grand départ, elle emmène son fils Youri pour un dernier road-trip. Au contact du monde, Youri comprendra-t-il le désir d’absolu, d’aventure et d’inconnu de sa mère ?


La Vallée de la peur

George Petterson, nommé directeur des travaux de construction de la voie ferrée, là-haut dans le grand nord canadien, n’a plus donné de nouvelles depuis des semaines. Sa femme est inquiète et Trent, qui est chargé d’aller voir ce qui se passe au camp 7, a une douloureuse surprise : Madame Petterson n’est autre que la douce Agnès, qui devait l’attendre dans une maison de Providence et qui était partie se marier ailleurs.

Quand Trent, Agnès et le guide indien Mokashi arrivent au camp, tout est lugubre et désert. Plus de cinquante hommes ont disparu, abandonnant les lieux à Hoppo, l’ours-diable, le « vieux démon qui ricane et qui mange les hommes ». Trent ne croit ni aux démons ni aux ours qui parlent, et pourtant…

Dans le décor irréel des grandes solitudes enneigées, l’histoire de toutes sortes d’amours vouées à l’échec, pour un héros mélancolique et décidément très attachant, une jeune femme qui tente encore de rêver, et un pauvre fou qui croyait pouvoir trouver le bonheur, les mains dans le sang et la tête dans un rêve de diamants.


Tosca des Bois – tome 1

En plein coeur de la Toscane, la ville imaginaire de Castelguelfo et son château. C’est dans la forêt toute proche que vivent Rinaldo et sa petite soeur de 12 ans, Tosca, véritable garçon manqué, rebelle, casse-cou, agile et débrouillarde. Depuis la mort de leurs parents, ils subsistent grâce à des travaux occasionnels et à des petits larcins perpétrés par Tosca, au grand dam de son frère qui espère, un jour, vivre de sa poésie et de sa musique. Mais avec sa fronde, son arc, ses flèches et son faucon, Argo, Tosca est une espèce de petit Robin des bois au coeur d’or, qui n’hésite pas à prendre le parti du plus faible quitte à se fourrer dans des situations plus invraisemblables les unes que les autres !…


Une trilogie anglaise

Avec pour décors de sombres manoirs anglais, plongez-vous dans les intrigues cousues de tweed, racontées avec talent par Rivière et Floc’h, dans cette belle intégrale augmentée de documents inédits. Rivière et Floc’h nous offrent un extraordinaire jeu de miroirs, d’ombres et de fantômes ; une profondeur vertigineuse qui nous procure un plaisir de voyeur : nous glisser un instant dans le processus de la création littéraire et son mystérieux cocktail de réel et d’imaginaire. Cette intégrale rassemble « Le Rendez-vous de Sevenoaks », « Le Dossier Harding » et « À la recherche de Sir Malcolm ».
Amateurs d’intrigues cousues de tweed et d’atmosphère pluvieuse, vous trouverez votre bonheur dans cette intégrale d’Albany, au parfum rétro de l’Angleterre des vieux manoirs.


Où le regard ne porte pas… tome 2

Emouvant, attachant, tragique, humain, triste, drôle… Une chose est sûre : Où le regarde ne porte pas T. 1 a fait partager un grand moment d’émotion à tous ses lecteurs. « Je suis morte ». C’est en ces termes que débute le deuxième – et dernier – volume de cette histoire passionnante. Ces mots sont prononcés par Lisa, ou du moins par celle qui semble être Lisa…

Des années après leur séparation, devenus adultes, Lisa, William, Paolo et Nino se retrouvent enfin, à Istanbul où réside Lisa. Celle-ci leur apprend qu’elle vient de perdre l’enfant qu’elle attendait et que son compagnon, Thomas, l’a quittée précipitamment.

Pour William, Paolo et Nino, la surprise est totale et les souvenirs reviennent vite à la surface… Lisa leur demande de l’accompagner au Costa Rica où se trouverait Thomas.

C’est aussi là que la réponse à leurs étranges visions se trouve… Une magnifique histoire au dénouement inattendu dans lequel on découvrira aussi l’explication du titre…

Ma-gni-fi-que. L’un des gros coups de coeur de ce début d’année !


Tebori – tome 3

Ancien membre d’un gang japonais, Yoshi est placé chez un maître tatoueur qui lui apprend le métier. Mais, alors qu’il pensait ainsi échapper à la violence, il se trouve au contact de dangereux yakuza qui fréquentent le salon. Quant à la jeune femme si séduisante qu’il vient de rencontrer, elle porte, tatouée dans le dos, une créature ailée. Or ce motif, Yoshi le connaît : il l’avait imaginé pour le compte d’un chef yakuza… Quels sont les liens entre le milieu et cette femme ? Quelle est la signification de tout cela ? De fil en aiguille, Yoshi découvre l’existence d’une menace bien plus sérieuse qu’il ne l’imaginait… La conclusion de cette formidable trilogie qui, comme le souligne BDgest, nous offre « une narration maîtrisée et habile dans un écrin toujours plus beau » !


Le Poison rouge

Edith Hardy, fondatrice de l’agence de détectives éponyme, va devoir franchir le rideau de fer pour retrouver un jeune scientifique disparu avec la formule d’un nouvel antibiotique.

Fin du premier cycle d’une série d’espionnage délicieuse dans un Paris d’après-guerre où les Américains sont encore des sauveurs, où les intellectuels peuvent s’afficher communistes et où l’on cache un portrait de Staline dans un couvent du XIIe arrondissement.

« Le tandem Goetzinger Christin s’est reformé donnant toute sa fragrance à ce véritable roman dessiné ». Le Monde

« Cet album fonctionne comme une météorite post-moderne ». Libération

« Une série en passe de devenir une référence comme Nestor Burma ». Le Figaro Magazine

La presse est unanime pour saluer la reconstitution de l’un des plus prestigieux tandems de la Bande Dessinée. Croisement délectable entre Maigret et John Le Carré, la série Agence Hardy nous replonge dans une France d’après-guerre et une atmosphère de Guerre Froide qui paraît si lointaine et en même temps si proche.

L’album Le Poison Rouge qui permet à Annie Goetzinger de dessiner la Place Rouge et le Goum clôture le premier cycle des aventures d’Edith Hardy.


La Trace pâle

Paris, milieu des années cinquante. On y boit encore du lait bien épais à 100% de matières grasses venu tout chaud de vaches nourries au bon fourrage fauché sur les pelouses du Bois de Vincennes. La première DS fait son apparition dans les rues et, des fenêtres, s’échappent parfois les accents d’une radio au ton nouveau qui pourrait très vite casser la baraque, Europe n°1.

En pleine guerre froide,  » Impérialistes  » et  » Rouges  » s’affrontent. Leur lutte dans l’ombre est féroce. Car la science fait des bonds de géant après le terrible conflit 39-45. Ainsi les antiseptiques cèdent-ils la place à une nouvelle race de produits, les antibiotiques, promis, semble-t-il, à un brillant avenir !

Edith Hardy, veuve d’un agent de change gaulliste, se retrouve plongée jusqu’au cou – qu’elle a très joli, comme tout le reste d’ailleurs – dans ce panier de crabes. Car Edith, pour survivre, a ouvert l’Agence Hardy,  » Personnes disparues, enquêtes, généalogie, etc. « . Son premier job (un de ces nouveaux mots qui, comme OK et autres be-bop font fureur) consiste à retrouver les travaux d’un chimiste travaillant sur un bien mystérieux parfum. Au cours de son enquête, Edith rencontre une femme surprenante, la Baronne rouge, connue pour lire l’Huma en dégustant une flûte de champagne. Elle affrontera également Mornic, résistant comme son mari, mais du côté des  » camarades « , pas des  » Compagnons « …

Aujourd’hui, Edith accepte de travailler pour les Américains. Il faut retrouver le chimiste Antoine Dubreuil dont les véritables travaux concernent un antibiotique révolutionnaire, la rubidomycine. Antoine qui est aux mains de la baronne et d’agents chargés de le convoyer en URSS.

Tout ce petit monde se retrouve dans la propriété familiale de la baronne au fin fond des Ardennes. Edith y rencontre quelques-uns des plus célèbres chantres du paradis soviétique. Heureusement, un agent américain – pas mal du tout de sa personne, d’ailleurs – veille sur elle. Tout finira par une fusillade générale dans les rues de Paris. Car les services secrets français se sont aussi invités à la danse…

Avec l’Agence Hardy Annie Goetzinger et Pierre Christin nous offrent une plongée nostalgique, émouvante et cocasse dans le XIIe arrondissement de leur jeunesse. Ils reviennent d’un voyage de repérages à Moscou où se déroulera le troisième épisode.


Pour solde de tout compte

Après que son opération chirurgicale a réussi et qu’il a piégé les responsables de sa chute, dont l’énigmatique Saint-Hubert, Dantès commence à comprendre que la partie sera plus difficile que prévue.