Deuxième génération – Ce que je n’ai pas dit à mon père

Deuxième Génération n’est pas un règlement de comptes avec l’Histoire. C’est un récit autobiographique à travers lequel Michel Kichka retrace les instantanés décisifs d’une enfance, d’une jeunesse et d’une vie passées dans l’ombre de la Shoah, du plat pays à la terre promise, entre cauchemars, souvenirs drôles, moments joyeux et actes de délivrance.
Célèbre auteur israëlien et caricaturiste majeur, Kichka n’est pas seulement un fervent partisan de la paix au Proche-Orient, il est aussi le fils d’un homme qui fut l’unique survivant de sa famille après la guerre. À 20 ans, son père est revenu dans sa Belgique natale. Il y eut deux filles et deux garçons. Et un vécu si pesant que ses enfants n’ont eu de cesse de vouloir s’en émanciper, chacun à sa façon. Un ton unique et touchant, une histoire intime et poignante. Deuxième génération est un roman graphique qui tient à la fois du récit et du documentaire historique, une bande dessinée splendide et déroutante.


Les Naufragés

Les Naufragés est le 1er tome de l’adaptation en bande dessinée du dessin animé La Famille Pirate, par Fabrice Parme, l’un des cocréateurs du dessin animé à succès, et Aude Picault.

Dans Les Naufragés, 1er épisode de La Famille Pirate, L’Os-à-Moelle est frappé d’une interdiction de naviguer. Le pauvre Victor Mac Bernik en est réduit à se faire naufrageur, une activité pourtant interdite sur l’île de la Tortue. Une nuit, il fait s’échouer un galion. Pas de bol ! Sa cale est remplie d’esclaves noirs. Le lendemain, quand il revient les chercher, ils ont disparu ! Son ennemi juré, Irvin le Requin, a volé la précieuse marchandise, a mis la main sur les esclaves et s’enrichit en vendant leurs services aux notables de l’île. La famille Pirate ne va pas rester les bras croisés ! Aux armes ! L’heure est à la manifestation, voire à l’action directe…

Ce 1er album de La Famille Pirate version BD propose dans une histoire inédite de réfléchir à des questions civiques inhérentes au vouloir vivre ensemble, tout en s’amusant


L’Affrontement final

Dans ce 6e tome, Boisserie, Guillaume et Juszezak permettent à Alexandre, alias Dantès, d’assouvir enfin sa vengeance!

Au coeur de la revanche d’Alexandre, ce 6e épisode de Dantès apporte enfin la réponse à bien des questions. Qui a kidnappé Lucie et Sarah, et pourquoi ? Est-ce que Salers va réussir son incroyable coup de bluff en devenant le nouveau président de la République ? Dantès pourra-t-il enfin faire tomber Saint-Hubert, l’ex-banquier qui a causé sa perte ? Quel est le véritable rôle d’Isaac dans ce complot ? La justice fera-t-elle payer Alexandre, à son tour ?…

Un 6e album qui signe la fin de la première saison de Dantès, un époustouflant thriller financier et une bande dessinée au coeur de l’actualité.


Par des temps incertains

Et revoilà Dieu, qui commence à en avoir par-dessus la tête de ces Terriens. En particulier de la clique de dirigeants de Vivaxis, une multinationale spécialisée en biotechnologies et en recherche génétique. Dieu n’hésite pas à mouiller sa chemise et venir sur terre leur dire leurs quatre vérités : qu’ils arrêtent de se prendre pour les maîtres du monde, nom de… Enfin, nom de lui ! Un album en forme de dénonciation des dérives et autres méfaits du capitalisme et du pouvoir des actionnaires.


La Couronne des ombres

L’Empire semble victorieux…

La discorde ronge pourtant déjà ses rangs. Wismerhill croyait avoir gagné Moork mais les ombres du passé se dressent devant lui, menaçantes, sournoises. Wismerhill est une fois de plus face à son destin.

Ceindra-t-il la couronne des ombres? Pourra-t-il faire face aux terribles volontés de l’Aigle bicéphale? se dressera-t-il seul face à l’Empire tout puissant?


Les Cobayes

Le dernier one shot de Tonino Benacquista et Nicolas Barral, Les Cobayes, se déroule dans l’univers des laboratoires pharmaceutiques.

Les Cobayes, ce sont deux hommes et une femme qui, pour le moment, attendent dans une antichambre aseptisée. Ils se sont portés volontaires pour tester un antidépresseur révolutionnaire mis au point par un laboratoire pharmaceutique, mais le médicament aura des répercussions pour le moins inattendues sur leurs vies…

Les Cobayes est un roman graphique ; une BD qui est à la fois un polar pharmaceutique, un roman psychanalytique et une comédie grinçante.


Miss

Après toutes ces années, Trent épouse enfin Agnès.

Ce jour devrait être le plus beau de sa vie, mais quelques détails semblent vouloir l’assombrir. D’abord, une présence indésirable au mariage. Ensuite, ce cadeau de mauvais goût : une danseuse de cancan qui lève la jambe. Et enfin, dans la nuit, une silhouette sinistre qu’il connaît trop bien.

Pas de doute : Miss est revenue.

Miss, alias Helen Dorwell. Trois ans auparavant, Trent l’avait rencontrée dans le bureau de Gallagher, où elle était interrogée. C’était la plus belle femme qu’il ait jamais vue et il avait intercédé en sa faveur. Amoureux fou, il avait cependant dû admettre que les occupations de Miss ne collaient pas avec son propre sens de l’intégrité et du devoir : anarchiste, elle volait l’argent des riches pour le redistribuer aux pauvres. Et Trent avait rompu.

Mais le passé remonte, et Trent retombe dans le piège de la Miss : un chantage qui met la vie d’Agnès en danger.

Cette fois-ci, pas de mission dans les neiges du Grand Nord canadien : Trent est en lune de miel. Mais pour un héros de sa trempe, il n’y a jamais de repos. Et les auteurs de la série (nominée à Angoulême) le plongent encore une fois, avec un art consommé de la mise en scène, dans des aventures sanglantes.


Quand s’allument les lampes…

Le soir, quand la nuit descend sur la neige du Grand Nord canadien, à l’heure où dans les maisons s’allument les lampes, le sergent Trent, de la police montée, a du vague à l’âme. Il rêve d’une autre vie et il pense à Agnès qui lui a laissé une adresse à Providence : une grande maison rose dans les bougainvilliers. Un soir plus cafardeux qu’un autre, il se décide : il prend un congé et le train pour Providence. Mais la maison rose est déserte et Agnès est partie se marier ailleurs.

Désespéré, Trent sombre dans l’alcool jusqu’à devenir cette épave qu’on vire du bistrot et qui finirait la nuit dans la boue sans le grand coeur de Mary-Lou.

Dans le coin sévissent les Chauffeurs, une bande de salopards de la pire espèce qui torturent les vieux pour leur piquer leurs économies. Et puis il y a « les gens du train », venus construire la voie de chemin de fer. L’un d’eux a une attitude étrange. Trent aussi : confit dans l’alcool, voilà qu’il semble prêt à tout pour palper 200 dollars.

Une aventure minutieusement construite, servie par un dessin sensible et un héros très humain, très attachant, plus solide que ses désillusions, finalement plus fort que ce vague à l’âme qui le reprend, à l’heure où bleuit la plaine et où s’allument les lampes…


Amarillo

Avec Amarillo, tome 5 de Blacksad, Juan Díaz Canales et Juanjo Guarnido entraînent leurs héros – Blacksad, le chat détective privé – dans un road-movie qui n’est pas sans évoquer la « beat generation »…

Ce cinquième épisode de Blacksad, Amarillo, s’ouvre à La Nouvelle-Orléans : Weekly doit quitter la ville ; il y laisse John qui préfère rester sur place pour chercher du travail. Par chance, celui-ci croise justement un riche Texan qui lui propose de ramener sa voiture chez lui : un boulot simple et bien payé ! Le détective accepte, mais, dans une station-service, il se fait voler la voiture par Chad Lowell et Abe Greenberg – deux écrivains beatniks qui cherchent à rejoindre Amarillo, au Texas. Bientôt, une querelle entre les deux hommes, rivaux, vire au drame : Chad, poussé à bout, tire sur Abe qui meurt sur le coup. Obligé de fuir, Chad trouve refuge dans un cirque. John se lance à sa poursuite sur les routes américaines du Nouveau-Mexique, du Colorado, du Texas et de l’Illinois.

Amarillo est le 5e album de Blacksad, une série qui met en scène un chat détective, dans une ambiance qui évoque furieusement le roman noir de la littérature américaine.


L’Essai

Avec L’Essai, Debon signe un histoire complète qui, entre fiction et réalité, met en scène l’histoire vraie d’une communauté anarchiste.

Dans son nouveau one shot, Nicolas Debon s’inspire de l’histoire vraie d’une communauté anarchiste installée dans les Ardennes en 1903. Fonctionnant sur le principe de liberté et sur les préceptes libertaires, la communauté de L’Essai illustre à merveille l’espoir d’un modèle de société différent et exempt de toute autorité, dans une France plongée dans la misère. Un récit historique poignant sur un épisode méconnu de notre histoire et mis en images par un auteur au talent hors du commun.

Une aventure documentaire, un récit inspiré d’une histoire vraie, mais aussi une bande dessinée servie par un graphisme original avec des couleurs directes parfaitement appropriées aux décors majestueux.