Zidrou persiste et « signe » : après le magnifique « Lydie », « La peau de l’ours » nous fait voyager de l’Italie contemporaine aux États-Unis de la fin des années 30.
Amadeo a pour devoir quotidien de lire à un vieil homme son horoscope. Il est loin d’imaginer que cet aveugle, canne à la main, a été montreur d’ours aux États-Unis, puis assistant d’un chef mafieux ! Une histoire d’amour, de vengeance, de lâcheté…
Zidrou et Oriol jouent avec tous les ressorts du romanesque pour nous émerveiller et nous émouvoir.
Deux ados, Jon et Jasper, s’échappent souvent du vaisseau le « Vagabond » pour surfer sur les vagues d’Okhéania. Cette fois-ci, ils sont surpris par un tsunami. Jon disparaît sous le tapis de feuilles qui compose la surface de l’océan. « Nul ne revient jamais des profondeurs d’Okhéania », ont toujours prétendu Edern, le grand-père de Jasper, ainsi que tous les habitants du « Vagabond ». Pourtant, Jon et Jasper feront dans les ténèbres de l’océan vert de bien curieuses rencontres.
Un récit palpitant qui nous parle aussi d’amitié, d’amour et… d’écologie.
Sous la plume du dessinateur Milton, Dottie était devenue Poison Ivy, la pin-up de papier qui faisait rêver tous les G.I. du Pacifique. Maintenant, nous sommes à l’aube des sixties, et Dottie s’efforce de se conduire en femme au foyer. Mais le sort s’acharne contre elle : son mari, Gary Powers, qu’elle croyait pilote d’avion météo, s’avère être un agent de la CIA. Et le jour où son U2 est abattu au-dessus de l’URSS, il désobéit aux consignes de suicide et tombe vivant aux mains des communistes.
Epouse d’un « traître », harcelée par ses voisins, Dottie s’enfuit avec Rusty, le fils de Gary. Mais voilà que son passé ressurgit : le milliardaire Howard Hughes, fou amoureux de Poison Ivy, veut porter ses aventures à l’écran. Il fait enlever Dottie et lui propose le rôle, agrémenté d’un cachet royal et d’une villa à Hollywood. En échange de quoi il pense pouvoir faire ce qu’il veut de sa petite personne. Seulement voilà : du président Eisenhower au patron du FBI, tout le monde fait dans son froc quand Howard Hughes lève le petit doigt, sauf Dottie…
Après une première trilogie pleine de glamour, revoilà Dottie plongée dans la guerre froide, dans des aventures inspirées d’une affaire d’espionnage qui défraya la chronique en 1960, avec la participation exceptionnelle de ce personnage fascinant qu’est Howard Hughes. Le tout servi par un dessin solide et un sens très sûr du romanesque, dans le plus pur style des comédies américaines « années 50 » – sans oublier un joli clin d’oeil à Psychose d’Hitchcock.
L’une des séries les plus folles de la décennie ! Tout est en démesure : autoroute planétaire, refroidissement de la Terre, sacre d’un jeune tsar russe, résurrection d’une armée de Mongols partis sur les pas de Gennis Khan, multinationale omnipotente qui contrôle le transport terrestre, Coupe du monde de foot, etc. Au milieu de tout cela, Gipsy, un routier (pas toujours) sympa…
Dans ce tome 4, Valentine achève sa seconde. Notre ado assume enfin ses choix : elle refuse de s’enfermer dans une bande et porte un regard plus aiguisé sur la société : discrimination raciale, place de la femme… Cette nouvelle indépendance l’amène à publier un fanzine avec Yamina tout en encourageant Juliette et Melvin à une compétition de breakdance. Mais avec les garçons, c’est toujours compliqué : Félix ne reste qu’un « bon copain », tandis que Baptiste se lance dans une drague effrénée !
Nom de code : « Dovev », c’est-à-dire « murmure » en hébreu. C’est tout ce que les services de contre-espionnage connaissent de l’espion qui vient d’entrer en action aux États-Unis sur l’ordre du Mossad, les légendaires services secrets israéliens. Apparemment, ceux-ci s’intéressent de près aux activités de Frank Giordino, le patron de la CIA à la réputation sulfureuse. L’enquête étant au point mort, le président Sheridan charge Samuel Amos d’en reprendre la direction…
Le scénario tiré au cordeau de Didier Alcante est somptueusement illustré par François Boucq au sommet de son art. Ce thriller palpitant donne véritablement chair à l’un des personnages mythiques de la série XIII…
Dans Perico, dont voici le 1er des 2 tomes, Régis Hautière et Philippe Berthet nous entraînent dans le Cuba de 1958, quelques mois avant la révolution castriste…
Ce premier épisode de Perico s’ouvre sur le meurtre d’un Américain à la sortie d’un casino de La Havane, à Cuba. L’incident met le chef de la pègre locale, Santo Trafficante, et le président Batista sur les dents… Et le jeune Joaquin comprend rapidement que, ayant voulu aider son frère, il trempe désormais dans une bien vilaine histoire ! Reste à comprendre pourquoi cet assassinat crée tant d’agitation dans un pays où les règlements de comptes sont monnaie courante…
Premier volet du diptyque Perico : corruption, mafia, Cuba, jolies filles et suspense… une série qui inaugure une nouvelle collection de bandes dessinées, dédiée aux histoires noires : Ligne noire.
1992, les années ont passé, le jeune couple est maintenant à la retraite, la petite Pépète est devenue une jeune fille et la 4L est à vendre… L’occasion de se remémorer l’année 1962, leurs toutes premières vacances à son bord en compagnie… des beaux-parents. Les vacances avec Yvette-la-parfaite et Gros-Papy seront plus gastronomiques que bucoliques… en direction de Saint-Étienne !
Prêt à attaquer, le loup se tient parmi les Aigles de Rome. Qui d’entre eux se douterait qu’Arminius, en qui le général romain a toute confiance, est désormais devenu le chef de guerre des Germains ? Sa trahison a porté ses fruits : l’armée romaine est attaquée de tous côtés et Marcus, prisonnier, n’a jamais été aussi impuissant. Derrière ses barreaux, il ne peut ni combattre son ancien frère de sang ni protéger Priscilla et son fils… Enrico Marini signe ici des scènes de combat d’anthologie !
Petite fille de l’ex-favorite du sultan d’Istanbul, Kim Nelson s’aventure en Afrique à la recherche de la perle noire qui lui ouvrira le secret du trésor enfoui par son aïeule. Cette perle pend à l’oreille droite d’une idole maléfique plantée au coeur d’une région inhospitalière et seule la descendante de la déesse représentée peut se risquer à l’enlever sans craindre la mort…
Deuxième partie du second cycle prévu en cinq tomes.