L’École des Aigles

1er tome de l’intégrale de « Tanguy et Laverdure », l’une des séries mythiques du journal ‘Pilote’, créée par Jean-Michel Charlier et Albert Uderzo ! Une palpitante série d’aventures de deux pilotes d’avion alliant action et humour. En 1959, dans le tout premier numéro du journal ‘Pilote’, apparaissent deux jeunes héros : l’un, sérieux à la mâchoire carrée, l’autre, blond, gaffeur et excentrique. Michel Tanguy et Ernest Laverdure, créés par Jean-Michel Charlier et Albert Uderzo, sont deux chevaliers des temps modernes, deux redoutables pilotes d’avion de chasse. Ils vont vivre des aventures palpitantes aux quatre coins du monde. Ce 1er volet de l’intégrale de « Tanguy et Laverdure » regroupe les albums « L’École des aigles » et « Pour l’honneur des cocardes » : une édition aux couleurs retravaillées sous la direction d’Albert Uderzo, assortie d’un dossier complet. Retrouvez les premiers exploits de ces deux héros, pilotes d’avion, dans une superbe intégrale.


Quinze ans après

Quinze ans après, le tome 1 de la troisième époque des Sept vies de l’Épervier, marque le retour de la saga imaginée par Patrick Cothias et André Juillard autour de l’histoire tragique d’Ariane.

La nouvelle époque, la troisième, des Sept vies de l’Épervier commence en 1642. Ariane, Germain et Beau sont de retour après un long voyage sur continent nord-américain. La jeune femme est provoquée en duel par le vicomte de Roquefeuille, qu’elle a autrefois elle-même gravement blessé. La jeune femme l’éconduit, et les trois amis décident de quitter Paris en attendant que la situation se calme. Ils se rendent à Fougy, là même où Ariane fut internée et accoucha. Les souvenirs reviennent peu à peu, et Ariane découvre que sa fille, Ninon, a survécu malgré les conditions tragiques de sa naissance. Le groupe part à la recherche de l’enfant, réveillant certaines blessures du passé, quinze ans après…

Troisième cycle des Sept vies de l’Épervier ; série culte de la BD historique, un récit captivant et une histoire tragique.


La Fin du Faucon noir

La plus grande série de pirates de la bande dessinée à redécouvrir dans ce quatrième volume des intégrales de Barbe-Rouge.

Le terrible pirate imaginé par Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon revient dans des aventures maritimes inoubliables. Entre batailles navales, courses-poursuites et trahisons, Barbe-Rouge le démoniaque devra déjouer les pièges les plus terribles. Une superbe intégrale qui reprend trois des meilleurs volumes de la collection.

Des poursuites acharnées et des combats navals : un superbe concentré des aventures du terrible pirate Barbe-Rouge.


L’Escadrille des Cigognes

2e tome de l’intégrale de « Tanguy et Laverdure », l’une des séries mythiques du journal ‘Pilote’, créée par Jean-Michel Charlier et Albert Uderzo ! Une palpitante série d’aventures de deux pilotes d’avion alliant action et humour. En 1959, dans le tout premier numéro du journal ‘Pilote’, apparaissent deux jeunes héros : l’un, sérieux à la mâchoire carrée, l’autre, blond, gaffeur et excentrique. Michel Tanguy et Ernest Laverdure, créés par Jean-Michel Charlier et Albert Uderzo, sont deux chevaliers des temps modernes, deux redoutables pilotes d’avion de chasse. Ils vont vivre des aventures palpitantes aux quatre coins du monde. Ce 2e volet de l’intégrale de « Tanguy et Laverdure » regroupe les albums « Danger dans le ciel », « Escadrille des cigognes » et « Mirage sur l’Orient » : une édition aux couleurs retravaillées sous la direction d’Albert Uderzo, assortie d’un dossier complet. Retrouvez les premiers exploits de ces deux héros, pilotes d’avion, dans une superbe intégrale.


Paradoxe

2035… Une étrange capsule spatiale s’abîme dans l’océan Indien et est récupérée par l’US Navy. Lorsque les deux rescapés déclinent leur identité, ils sont immédiatement mis au secret.

Hélène Friedman est chargée de les interroger. Elle doit bientôt se rendre à l’évidence, les deux survivants sont bien Neil Armstrong et Buzz Aldrin. Mais alors qui sont les hommes revenus de la mission Apollo, 64 ans plus tôt ?

Une mission lunaire est organisée pour découvrir l’origine de ce mystère. Hélène s’engage pour une mission qui la mènera bien au-delà de ses espérances…


OK Corral

De Tombstone, d’OK Corral, la légende n’a retenu qu’un fameux duel collectif qui a vu, un matin de 1881, quatre célèbres malfrats, le clan Clanton et McLaury, tomber sous les balles des non moins illustres frères Earp épaulés par Doc Holliday. Mais ce fut loin d’être le seul règlement de compte qui eut pour cadre, ce jour-là, le mythique bled perdu de l’Arizona, situé à quelques miles de la frontière mexicaine.

Du moins à en croire les dernières aventures de Blueberry, décidément toujours dans les parages lorsque l’Histoire s’écrit. Non pas qu’on puisse reprocher à cette éternelle tête de lard d’être allé au-devant du danger et des ennuis. Une fois n’est pas coutume, ce sont plutôt les pépins et les embrouilles qui sont venus à lui.

Depuis que celui qui se fait désormais appeler Mister Blueberry semble définitivement avoir tourné le dos à l’armée et s’être résigné à l’idée que Chihuahua Pearl ne sera jamais la femme de sa vie, il s’est installé, désabusé mais plus intransigeant que jamais, à Tombstone. Plus précisément au Bird Cage, lieu mal famé faisant un peu office d’hôtel, pas mal de saloon et beaucoup de tripot, dont il ne quitte plus les tables de jeux.

Il faut dire que Mike Blueberry, démobilisé au propre comme au figuré, peut s’offrir un plaisir inédit : vérifier jour après jour que sa chance insolente ne l’a pas quitté bien qu’il soit repassé, pour la première fois depuis sa jeunesse brisée, dans le camps des nantis. Car Mister Blueberry dispose à présent d’une petite fortune, ce trésor des Confédérés que lui a laissé le président Grant en dédommagement de ses nombreuses années gâchées, de son honneur trop longtemps entâché.

C’est donc pour tirer un trait, oublier et se faire oublier que notre anti-héros miraculé est venu se poser à Tombstone. Un élégant préretraité porté sur la bouteille et le cigare, taciturne flambeur goûtant aux joies d’un relatif anonymat dans une ville minière qui compte déjà son petit lot de célébrités : les frères Earp, Wyatt, Virgil et Morgan, qui tentent d’y faire régner la loi, leur copain Doc Holliday ainsi que les notoires hors-la-loi du clan Clanton-McLaury. Et, bien sûr, la vedette du Bird Cage, la brune brûlante Doree Malone, chanteuse-danseuse-entraîneuse au charme et au talent certains.

Évidemment, on se dit que dans un tel environnement, notre ex-lieutenant tête brûlée, rétif à toute figure d’autorité, allergique à toute violence gratuite ou intéressée et séducteur malgré lui, ne pouvait pas rester tranquille longtemps. Et pourtant, ce n’est pas son naturel mais son passé qui va le rattrapper. Sous les traits d’un père désireux de venger la mort de son fils suicidé, malheureux perdant d’une partie de poker contre Mike, d’un écrivain débarqué de Boston venu recueillir les mémoires de l’homme qui sauva la vie du Président et d’un valeureux chef indien aux abois qu’il croisa autrefois, Géronimo.

De la plus étrange et inattendue des façons, Blueberry est condamné à rebasculer dans l’action. À la fin du premier album de ce cycle entamé en 1995 dont Duels à OK Corral est le quatrième volume, il s’effondre, le corps truffé de plombs. Mort. Ou presque.

Au début de l’épisode suivant (Ombres Sur Tombstone), il revient péniblement à la vie. Une divine renaissance qui le verra, pour un bon moment, cloué au lit, materné par la délicieuse Doree. L’occasion rêvée pour enfin se retourner, tirer l’enseignement de son tumultueux passé. Pour que, rétabli, il puisse à nouveau avancer et, surtout, faire éclater la vérité, tenter de sauver la tête d’un brave guerrier injustement abusé et accusé. Ce récit (Géronimo, l’Apache), haletant, haché, sans cesse interrompu par son fragile état de santé, il le confie au biographe bostonien, comblé, terrifié.

Tandis que Blueberry revit dans sa tête ses exploits et erreurs passés, autour de Tombstone, les meurtres, les complots et les coups fourrés se multiplient. Gamin ivre de vengeance, tueur à gage aux moeurs de serial killer sérieusement détraqué, puissant homme d’affaires sans pitié, jeune amoureux révolté par l’assassinat de sa fiancée, une troupe de sanguinaires et cupides fanfarons, de fiers et arrogants justiciers et une poignée d’Apaches manipulés : lentement, tous ces individus violents – par nature ou par nécessité – aux intérêts divergents progressent vers une inévitable tragédie.

Telle est la trame qui ne cesse de monter en intensité tout au long du terrifant et palpitant Duels à OK Corral. Un étourdissant et sombre western d’action doublé du plus passionnant des parcours initiatiques, une vertigineuse mise en abîme totalement maîtrisée, l’aboutissement d’un des plus longs mais inspirés passages de témoin de l’histoire de la BD.

Car comment ne pas voir dans cette mort si symbolique de Blueberry, ce va-et-vient incessant entre le passé et le présent, un monumental hommage à Jean-Michel Charlier, créateur et scénariste de la série jusqu’à sa disparition en 1989 ? En immobilisant temporairement son personnage principal, Jean Giraud lui fait porter le deuil de son co-géniteur de génie, l’oblige à considérer l’existence exceptionnelle et insensée qu’il lui a fait mener, les colossaux vécu et bagage psychique qu’il lui a légués.

Et le dessinateur de relever le défi avec brio de s’affirmer plus que digne de poursuivre l’aventure seul, imaginant une intrigue riche, foisonnante et sophistiquée, à l’image de son trait unique, mainte fois imité, et toujours, quarante ans après, en progrès.

Le cycle Mister Blueberry, inscrit, dès son titre à double sens (Mister/mystère) et au détour de chaque planche, sous le signe de la dualité (pouvait-il en être autrement de la part d’un homme qui abrite en lui deux dessinateurs accomplis, Giraud et Moebius, aux styles radicalement opposés ?) est une époustouflante succession d’audaces, tant scénaristiques que graphiques.

La moindre n’étant pas d’avoir osé, à l’instar du jeu permanent et savoureux entre fiction et réalité que Charlier s’autorisait avec l’Histoire et les mythes de l’Ouest, d’en faire autant avec l’histoire même de son héros : Campbell, l’écrivain, n’est-il pas sans cesse tenté de la réécrire ?

Giraud, dans le plus moderne des récits de Blueberry, revisite ainsi l’un des plus grands classiques du western, L’Homme qui tua Liberty Valance, où l’on entendait cette réplique immortelle :  » Si la légende est plus belle que la vérité, imprimez la légende.  » En 2003, si ce n’est déjà fait, Blueberry entre définitivement dans la légende. De l’Ouest ou de la bande dessinée ? Mystère…


La Piste des Navajos

En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C’est en 1963 qu’est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s’affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s’estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n’hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions. Le scénario utilise tous les poncifs du Western américain avec tout ce qu’il faut de rebondissements et de personnages pittoresques (Mc Clure, Angel Face, Red Nick, Chihuahua Pearl etc. sans compter les Indiens qui sont réhabilités par les auteurs, point de vue adopté d’ailleurs dans Cartland). Parallèlement au cycle classique de la saga de Blueberry, Giraud dessine entre 68 et 70 la jeunesse du futur lieutenant. Cette « série » reprend son cours en 85 sous le crayon de Colin Wilson, très respectueux du style imposé par Giraud. Les albums ont successivement été édités par Dargaud (22 titres, l’essentiel du fond) puis par Fleurus/Hachette, puis par Novédi et enfin par Alpen pour la nouveauté dessinée par Vance. Dargaud a entrepris la réédition des albums Blueberry remaquettés et agrémentés de nouvelles couleurs.


Arizona love

En matière de western, Blueberry constitue la référence absolue. C’est en 1963 qu’est créé ce personnage pour PILOTE par Charlier et Giraud. Ils campent au départ un solide soldat qui s’affiche comme le sosie de Belmondo. La ressemblance s’estompe au fil des épisodes. Blueberry est une forte tête : teigneux, pas toujours respectueux de la rigueur militaire, indiscipliné, il n’hésite pas parfois à déserter pour remplir au mieux ses missions. Le scénario utilise tous les poncifs du Western américain avec tout ce qu’il faut de rebondissements et de personnages pittoresques (Mc Clure, Angel Face, Red Nick, Chihuahua Pearl etc. sans compter les Indiens qui sont réhabilités par les auteurs, point de vue adopté d’ailleurs dans Cartland). Parallèlement au cycle classique de la saga de Blueberry, Giraud dessine entre 68 et 70 la jeunesse du futur lieutenant. Cette « série » reprend son cours en 85 sous le crayon de Colin Wilson, très respectueux du style imposé par Giraud. Les albums ont successivement été édités par Dargaud (22 titres, l’essentiel du fond) puis par Fleurus/Hachette, puis par Novédi et enfin par Alpen pour la nouveauté dessinée par Vance. Dargaud a entrepris la réédition des albums Blueberry remaquettés et agrémentés de nouvelles couleurs.


Ana Ana très pressée

Petite soeur du célèbre Pico Bogue, Ana Ana est une petite fille astucieuse, vive et rigolote. Elle vit de grandes aventures avec ses doudous chéris : Touffe de poils, Grizzou, Pingpong, Zigzag, Goupille, Baleineau. Tel un chef d’orchestre, elle mène à la baguette cette petite troupe joyeuse qui la suit dans ses idées ou ses bêtises les plus fantaisistes.
Dans cette nouvelle histoire, Ana Ana et ses doudous ont décidé de faire plein de choses. Peut-être trop de choses ! Arriveront-ils à tout faire bien ?


Fort Navajo

Blueberry est affecté à Fort Navajo. En cours de chemin il rencontre le Lieutenant Graig et ils tombent sur le ranch des Stanton complètement calcinée et jonchée des cadavres de ses habitants. Tout porte à croire qu’il s’agit d’un coup des indiens et le Lieutenant Graig décide de suivre leur piste pour délivrer le fils Stanton qui est entre leurs mains.

Blueberry va devoir manoeuvrer entre l’inconscience de Graig et la haine des Indiens qui anime le commandant Bascom, bras droit du Colonel Dickson à Fort Navajo. Quand un rattle-snake entre dans la partie, tout se complique…

Le lieutenant Blueberry plus jeune que jamais ! Trente ans après leur création, voici ses premières aventures avec de nouvelles couleurs. Jean Giraud, trouvant que ses albums avaient besoin d’une cure de jouvence, souhaitait concrétiser ce projet depuis longtemps. Claudine Blanc-Dumont s’est attelée à la tâche sous l’oeil vigilant du maître.

Des albums destinés aux inconditionnels de Fort Navajo mais aussi à toute une nouvelle génération qui découvrira cette série de Jean-Michel Charlier et Jean Giraud, qui fait désormais partie des grands classiques du genre.

Toute la collection des Blueberry parus chez Dargaud bénéficiera petit à petit de cette renaissance.