L’île des Sables, un îlot perdu au milieu de l’océan Indien dont la terre la plus proche est à 500 kilomètres de là… À la fin du XVIIIe siècle, un navire y fait naufrage avec à son bord une « cargaison » d’esclaves malgaches. Les survivants construisent alors une embarcation de fortune. Seul l’équipage blanc peut y trouver place, abandonnant derrière lui une soixantaine d’esclaves.
Les rescapés vont survivre sur ce bout de caillou traversé par les tempêtes. Ce n’est que le 29 novembre 1776, quinze ans après le naufrage, que le chevalier de Tromelin récupérera les huit esclaves survivants : sept femmes et un enfant de huit mois.
Une fois connu en métropole, ce « fait divers » sera dénoncé par Condorcet et les abolitionnistes, à l’orée de la Révolution française.
Max Guérout, ancien officier de marine, créateur du Groupe de recherche en archéologie navale (GRAN), a monté plusieurs expéditions sous le patronage de l’UNESCO pour retrouver les traces du séjour des naufragés. Ses découvertes démontrent une fois de plus la capacité humaine à s’adapter et à survivre, en dépit de tout.
L’archéologue a invité le dessinateur à les rejoindre lors d’une expédition d’un mois sur Tromelin. De là est né ce livre : une bande dessinée qui entremêle le récit « à hauteur humaine » (on « voit » l’histoire du point de vue d’une jeune esclave, l’une des survivantes sauvées par le chevalier de Tromelin) avec le journal de bord d’une mission archéologique sur un îlot perdu de l’océan Indien. Après le succès international de Marzi, Sylvain Savoia offre à nouveau aux lecteurs une magnifique leçon d’humanité.
XIII découvre que Jonathan Fly, deux fois prix Pulitzer, victime du maccarthysme, se cachait dans les Rocheuses avant d’être retrouvé et pendu par le Ku Klux Klan dans sa maison incendiée. XIII et le major Jones vont le venger. Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux États-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays. Le trait réaliste et précis de William Vance apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois. XIII, la BD culte !
Les comploteurs s’apprêtent à assassiner le président Galbrain et à instaurer un gouvernement digne de la « grande Amérique ». XIII, aidé par le sénateur Walter Sheridan, frère du président assassiné, déjoue le complot. Le conseiller du président, qui se révèle être le N°II, se suicide ! Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux États-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays. Le trait réaliste et précis de William Vance apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois. XIII, la BD culte !
Jean Dufaux poursuit la Complainte des Landes perdues, sa grande saga, avec la dessinatrice Béatrice Tillier. Dans ce troisième cycle, très justement intitulé « Sorcières »,la forêt cache une demeure fantomatique, une forteresse émerge du bord de la mer, et le décor est planté pour assister à une terrible course au trône. Tandis que, dans l’ombre, s’affrontent les sorcières, à coups d’amulette maléfique, de magie noire ou blanche…
Rosinski, dessinateur de Thorgal, et Dufaux, l’un des meilleurs scénaristes actuels, nous font découvrir l’univers de Sioban, princesse sans royaume mais animée d’une extraordinaire soif de vengeance et de reconquête ! Complainte des landes perdues possède la force des récits fantastiques et la magie des légendes celtiques. En quatre albums, cette série fait déjà partie des indispensables.
Rosinski, dessinateur de Thorgal, et Dufaux, l’un des meilleurs scénaristes actuels, nous font découvrir l’univers de Sioban, princesse sans royaume mais animée d’une extraordinaire soif de vengeance et de reconquête ! Complainte des landes perdues possède la force des récits fantastiques et la magie des légendes celtiques. En quatre albums, cette série fait déjà partie des indispensables.
Carrington apprend à XIII que son père serait Jonathan Fly, journaliste mort au fin fond des Rocheuses. XIII se rend à Greenfalls où seul un aveugle reconnaît en lui le fils de Fly. XIII et Jones sont traqués par les tueurs du maître de la ville. Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux États-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays. Le trait réaliste et précis de William Vance apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois. XIII, la BD culte !
Pour sauver sa famille, Niklos Koda a dû faire appel à la magie noire. Il est à présent plus puissant que jamais. Confronté à Shanghai à des adversaires redoutables, il risque constamment de s’abandonner aux forces obscures qu’il tente de maîtriser.
Mais ne faut-il pas parfois combattre le mal par le mal ?
Rubine a de beaux yeux qui ne servent pas qu’à séduire. Car si Rubine est très femme, elle est aussi très… flic. Et si elle garde toujours un oeil sur la balance de sa salle de bain, l’autre est fixé sur celle de la justice!
Ce quatrième volume de l’intégrale Rubine reprend les titres suivants : Photo de Classe, Le Lac Wakanala et L’héritier fragile, ainsi qu’un dossier sur les coulisses de l’élaboration de la série.