Assaut sur le Charles de Gaulle

Branle-bas le combat sur le porte-avions français !
Alors que la Section Trident mène sa première enquête sur la disparition d’un homme, un pilote de Rafale a tiré sans explication sur une frégate chinoise. La tension est à son comble. Un tel acte pourrait déclencher une guerre…
Mais Nathalie, Stéphane et Kamel doivent rester concentrés. Un nouveau cadavre vient d’être découvert et Sonya, leur coach, fraîchement débarqué du NCIS, pourrait en être l’auteur. Le pire, c’est qu’elle circule encore d’étage en étage, les narguant au passage. Compte-t-elle vraiment quitter le bâtiment alors qu’ils sont en pleine mer ?
Les questions et les problèmes s’amoncellent : Si leur coach est un traître, est-ce que le général qui l’a nommée l’est aussi ? Comment ces meurtres sont-ils liés à l’attaque de la frégate ? Et surtout, quel est le but de cette opération ?
La Section Trident doit faire vite. Il s’agit non seulement de sauver des vies, mais aussi d’éviter un conflit armé entre la Chine et la France…


Domino Day

Un meurtre sur un bateau en pleine mer, c’est toujours délicat. Sur un porte-avion nucléaire, c’est une affaire d’État.
La Marine nationale préparait depuis quelque temps la constitution d’une nouvelle unité d’investigation spéciale. Le genre d’escouade qu’on envoie lorsque ça va vraiment mal et qu’on ne veut pas que cela se sache. Le type d’équipe capable d’enquêter vite et bien, mais aussi de « nettoyer » si nécessaire.
On avait déjà repéré et sélectionné quelques talents d’exception, comme Stéphane Bergam, pilote de Rafale Marine émérite et leader naturel, comme Nathalie Mercier, scientifique de haut vol qui a du mal à redescendre parmi le commun des mortels, et comme Kamel Khoun, un homme d’action et d’idéaux issu de la gendarmerie maritime.
Mais il est désormais temps de lancer cette nouvelle formation car un homme vient de disparaître sur le porte-avion Charles-de-Gaulle. Il est temps pour la Section Trident…


Les ailes de la CIA

Les années 50. La guerre froide ne l’est pas tant que ça. On vient de passer très près de l’affrontement nucléaire avec la Guerre de Corée. Désormais, il est évident que l’information est une arme de premier plan.
La CIA connait l’importance du renseignement humain, mais elle ne peut négliger le développement de moyens techniques pour obtenir ce que l’ennemi veut lui cacher. C’est donc dans la plus grande discrétion qu’Allen Dulles veut créer une véritable unité aérienne au sein de la CIA, avec des machines conçues dans un seul but : espionner.
Frank, pilote aguerri, et Dash, jeune chien fou, sont les pilotes qui vont devoir dompter ces machines. Le défi est technologique, puisqu’ils vont devoir atteindre des altitudes inédites, mais aussi militaire : les territoires qu’ils devront survoler sont hostiles et lourdement armés.


Ruptures

Le destin de la famille Fuller est intimement lié à celui de la Corée.
Pas seulement parce qu’en 1945, Ben, l’aîné y a pris un balle dans la tête qui l’a laissé paraplégique. Mais aussi parce qu’aujourd’hui, en 1950, Kal, jeune pilote de l’US Air Force, et Paul, journaliste contestataire, vont devoir prendre parti dans un conflit qui réchauffe la guerre froide à vitesse grand V. Ils vont devoir confronter leurs idéaux et leurs illusions à la réalité d’un pays en plein déchirement.
La Corée, Kim, ancien petit voyou de Séoul, l’a traversée pour aller travailler à la mine de Musan, tout au Nord, et offrir ainsi un revenu à sa femme et sa fille. Mais dans ce pays fracturé par un conflit naissant, il va devoir tenter de les rejoindre pour les protéger de la folie d’une guerre fratricide.
Les parcours de ces trois jeunes hommes s’entrecroiseront pour nous faire découvrir les différentes facettes ce qu’on a appelé
« La guerre oubliée »…


Je suis mon ennemi

Il y a deux guerres de Corée.
Celle qui se déroule dans les airs, où les américains font preuve d’une suprématie évidente. Ces succès peuvent rendre arrogant et Kal Fuller n’est pas un pilote modeste. Passé l’effroi de la découverte du combat, il commence à croire à sa toute puissance et à celle de son avion, le fameux P-80 Shooting Star.
Et il y a la guerre que la Corée du Nord est en train de gagner en envahissant les territoires du Sud. La population comme l’armée américaine sont condamnés à l’exode. C’est cette fuite que photographie le reporter Paul Fuller, le frère de kal. Il serait tentant de faire un portrait idéal de son camp. C’est en tout cas ce que lui demande son journal, mais Paul ne peut s’empêcher de gratter la surface. Mais penser qu’une carte de presse le protège de tout est une erreur, car c’est dans la peur et le danger que les pires instincts se réveillent…
Dans ce pays déchiré, en plein basculement, Kim poursuit son périple pour retrouver sa femme et sa fille. Traverser un pays en guerre n’est pas chose aisée, peut-être qu’en prenant la mer… Encore faut-il que les vents soient bons…