Amerika bomber
Début mai 1945. Une étrange aile volante révolutionnaire survole New York et largue sur l’orgueilleuse cité une bombe qui contient une tonne d’uranium. La ville est complètement détruite et en proie aux flammes et les victimes se comptent par centaines de milliers.
L’oberleutnant Werner Zweiköpfiger, espion US infiltré dans l’aviation allemande, se réveille : ce n’était qu’un cauchemar. Mais ce rêve, c’est aussi le fantasme d’Hitler et la mission du flugkapitän Hanna Reitsch, l’amie d’enfance de Werner : bombarder New York pour sauver l’honneur du IIIe Reich.
Alors que les Alliés sont persuadés que la guerre est finie et ont pour seule obsession de récupérer Werner Von Braün, l’inventeur des fusées V1 et V2, et un maximum de savants allemands avant les Russes, Hanna, elle, n’a pas renoncé à mener à bien l’ultime mission du Führer.
Les trois yeux des gardiens du Tao
Pékin. Ministère de l’Administration générale de l’aviation civile. La division aéronautique du Groupe W, représentée par André Bellecourt, est sur le point de conclure une joint venture avec la Tsai Industries. Cette alliance permettrait à la division, en difficulté depuis plusieurs années, d’appréhender plus sereinement son avenir. Mais il reste un caprice de M. Tsai Huang à satisfaire pour entériner l’accord : inviter Largo Winch en personne à signer les documents. Le hic, c’est que Largo est injoignable. Notre héros s’est provisoirement déchargé de ses obligations et vit coupé du monde dans un lieu tenu secret. Seul Simon sait comment le contacter. Dwight Cochrane le somme d’avertir son patron que l’avenir du groupe est en jeu et qu’il doit impérativement se trouver à Hong-Kong dans moins de dix jours. Largo acceptera-t-il de retourner en Chine, là même où quelques années plus tôt, il a connu les pires déboires ? Une vieille dette contractée en Birmanie et qui se rappelle à son mauvais souvenir ne lui permet plus d’hésiter. Une toile s’est tissée dans laquelle Largo n’a d’autre choix que de se précipiter…
Cancrelune
Invasion de cafards géants, incendie du château, extermination de décafardiseurs (des dératiseurs pour cafards)… Comme d’habitude, Cancrelune n’en rate pas une ! Jusqu’au moment où il faut passer à la caisse. Et là, c’est Mélusine qui va payer les pots cassés. Malgré la présence d’un avocat changeforme (capable de changer d’apparence à volonté), Mélusine est condamnée au bûcher. Cancrelune décide d’intervenir et de risquer le tout pour le tout pour la sauver. Trop tard : quand elle arrive au village, le bûcher finit de se consumer… Désespérée et se sentant responsable de la mort de sa meilleure amie, Cancrelune commet alors l’irréparable, sans savoir que Mélusine a réussi à éviter la mort…
Toutes les amours du monde
Du Sahara à Rome, de Paris à Bruxelles, qu’on soit homme ou grenouille, clown ou Quasimodo, tout le monde tombe un jour amoureux ! On ne compte plus les victimes des flèches de Cupidon, toujours aussi maladroit quand il s’agit de rapprocher deux âmes soeurs… pour notre plus grand bonheur !
Coup de foudre
Inutile de vous cacher sous un arbre ou de porter des semelles en caoutchouc, personne n’est à l’abri d’un coup de foudre. Surtout lorsqu’il est lancé du ciel par le facétieux Cupidon, toujours prêt à l’impossible pour réunir ceux qui s’aiment (et qui bien souvent l’ignorent). Sous l’oeil bienveillant de saint Pierre, ce héraut de l’amour traverse le temps et les cieux pour le bonheur des amoureux.
S.O.S. Bonheur (édition intégrale)
Tout fonctionne à merveille. L’État providence veille sur le bonheur de chacun de nous. Bonheur officiel. Bonheur programmé. Comme toujours, Louis aurait pu feindre d’ignorer la réalité des « déregs », ces rebelles systématiquement déregistrés du Grand Fichier Central et condamnés à la mort civile. Comme toujours, il aurait pu fermer les yeux sur l’existence des « illegs », ces gosses nés illégalement depuis la loi sur la limitation des naissances. Seulement voilà, après trente-cinq ans de trop loyaux services dans la police, il prend à Louis l’envie de redresser la tête et de voir enfin la réalité en face. Et quand Johnny, un « illeg », glisse sa petite menotte dans sa grosse paluche, il se laisse guider, sans hâte, à travers le miroir de ses illusions. De nos illusions.
Côte à l’os
Plus jamais seul
Il n’y a que Bécaud pour clamer que « la solitude, ça n’existe pas ! » Heureusement qu’il y a encore des coeurs solitaires qui errent à la recherche de l’âme soeur. Sinon, le pauvre petit Cupidon n’aurait plus de boulot depuis longtemps. Et le cher ange est tellement maladroit qu’il est assuré d’avoir encore des flèches à décocher pour de nombreuses années. On en serait presque à se demander s’il ne fait pas exprès de rater ses cibles…
Le blues du yéti
Petit Poilu, emporté par une violente tempête de neige, se retrouve dans le magnifique décor des montagnes de l’Himalaya. Gelé et grelottant, il y fait la rencontre de trois marmottes rigolotes : Patti, Joan et Debbie. Ce sont les trois musiciennes du groupe de rock « The Marmots », connu dans tout l’Himalaya ! Elles l’emmènent dans leur douillet petit terrier afin de le réchauffer et de le remettre sur pied. Mais voilà que débarque Bob, le gros yéti, ce qui n’a d’ailleurs pas l’air de faire très plaisir aux trois rockeuses. Bob le Yéti, extrêmement affectueux, veut devenir l’ami de Petit Poilu, mais voilà, il est aussi extrêmement maladroit…
Une histoire burlesque et tendre sur la détresse et la maladresse !