Menace terroriste, prises d’otages, attentats, islamophobie et bonne conscience humanitaire sur fond de tourisme de masse… Autant de sujets brûlants traités avec humour devant lesquels « Silex and the City » ne recule pas avec ce 5e tome ! Dans la vallée, on célèbre l’anniversaire de l’attentat du 11 septembre–40001 contre le World Bipède Center. Devant la menace terroriste, un plan Vigiprimate orange est déclenché. Scandalisé par les expulsions, Url s’engage aux côtés de Mammifères sans frontières, tandis que les parents Dotcom partent en vacances à Bab-el-Bipède, où les prix ont chuté. Catastrophe ! Url est pris en otage au Maghreb paléolithique. La famille Dotcom va de nouveau faire bloc pour obtenir sa libération. 5e volet de « Silex and the City », une série qui traite avec audace et humour les grands débats de notre société contemporaine : tourisme de masse, menace terroriste, etc. !
Tous au bain !
Tant qu’il s’agit de s’amuser, les doudous d’Ana Ana sont toujours partants. Mais dès qu’ils doivent se laver, il n’y a plus personne !
Elle a beau ruser, tempêter et s’entêter, rien n’y fait : pour eux, « baignoire » rime avec « repoussoir » ! Et si Touffe de poils se décide finalement à prendre un bain, c’est parce que « quelque chose » se balade sur son ventre et grimpe sur sa tête. Ce « quelque chose », c’est tout simplement un doudou inconnu, tout petit et tout timide…
Miss Pas touche – Intégrale complète
Enfin les 4 tomes de la série « Miss Pas Touche » réunis en intégrale ! Pour l’occasion, Hubert et les Kerascoët nous offrent une couverture inédite, un cahier graphique de 24 pages présentant de nombreux croquis pour des recherches de personnages ou des couvertures, une mise en couleurs retravaillée.
Long John Silver intégrale complète
Les 4 tomes de « Long John Silver » pour la première fois réunis en intégrale. Attention tirage limité ! Réalisé par Xavier Dorison et Mathieu Lauffray, Long John Silver est inspiré du fameux et redoutable pirate créé par Stevenson dans « L’Île au trésor ». En quatre albums, la série s’est installée comme un grand classique qui illustre à merveille la grande aventure. Cette édition intégrale, complétée d’un cahier graphique et enrichie d’une couverture inédite, aura un tirage limité : il n’y en aura pas pour tout le monde !
Opération Opium
En réaction aux attentats du 11 septembre, l’armée française décide d’envoyer des troupes en Afghanistan. Pendant une des missions de reconnaissance, le mirage de Tanguy disparaît. Commence alors un incroyable suspense qui enverra certains pilotes au coeur de la république iranienne. Dessiné par Renaud Garreta (« Fox One », » Insiders », « Histoires du Vendée Globe » et T »homas Coville »), et toujours scénarisé par Jean-Claude Laidin, le nouveau « Tanguy et Laverdure » est un sommet de la bande dessinée d’aventure.
La Bête
Implacablement, elle décime village après village, assassinant sauvagement des familles innocentes, brouillant les pistes et terrifiant la population des Alpes de ses rugissements. Le problème devient si préoccupant que le Roi a dû dépêcher une force appropriée : qui, mieux que ses « dragons » pourraient régler le cas de « la Bête » ? Et si la force brute ne suffit pas, le corps d’armée dispose d’un autre atout : le cousin de leur chef, le célèbre Marquis d’Anaon ! Il n’est peut-être pas la plus fine des gâchettes mais on raconte qu’il a souvent croisé la route du Malin. Plongé en pleine dépression, Le Marquis d’Anaon devra affronter plus d’un démon avant de continuer une route qu’on lui souhaite longue. En effet, il est assez rare d’assister à une telle conjonction de talents : le scénario de Fabien Vehlmann mêle habilement intensité dramatique, humanisme et justesse psychologique. Parfait pendant de cette finesse, Matthieu Bonhomme manie plume et pinceau avec une souplesse et une précision hors du commun, aussi à son aise dans les replis ridés du visage d’un vieux paysan que dans les immenses étendues enneigées des Alpes.
La Couleur de l’enfer
Richard emménage chez Lapinot, tandis que Lapinot cherche un appartement pour emménager avec Nadia. En attendant, la vie à trois est plutôt stressante. Heureusement, ça s’arrange assez vite. S’étant porté volontaire pour nourrir la bestiole du voisin – on ne sait pas si c’est un chien ou un chat, ça vit planqué et ça s’appelle Dark Vador –, Richard découvre que la bestiole est une sorte d’animal domestique « pour extraterrestre », rose avec des croûtes. (Trondheim ayant un sens aigu du cadrage dramatique, la rencontre avec l’animal est un morceau d’anthologie.) Donc le voisin est sûrement un extraterrestre, ce qui pousse Richard à redéménager. Côté boulot, Nadia a embauché Lapinot comme assistant-larbin pour ses reportages sur les excentriques. Ils ont de la matière : entre le type qui n’a pas enlevé sa casquette depuis 23 ans, les musiciens qui jouent avec leurs pieds et l’association Turquoise qui peinturlure les crottes de chiens à la bombe, les chtarbés sont nombreux et distrayants. Reste le vrai problème : si Nadia emménage avec Lapinot, ils seront ensemble 24 heures sur 24 et ça risque de saturer. Car d’après Titi, la couleur de l’enfer, c’est pas le rouge feu, c’est le gris uniforme. Toujours délicatement loufoque dans le choix de ses aventures, Trondheim reste imbattable sur les nuisances de la vie quotidienne et les états d’âme de tout un chacun. Le graphisme est jubilatoire dans les moindres détails, le ton est subtil, drôle, un rien désenchanté. Cet album devrait ravir tous ceux qui ont des copains plus ou moins pénibles (mais c’est les copains), qui cherchent un appartement sans fiche de paye, ou qui se demandent si l’enfer, c’est rouge ou gris. Ça fait du monde.
Le Crépuscule des dieux
Alors que le pouvoir de l’Or étend sa corruption et que la Terre est à l’agonie, Siegfried et Mime arrivent enfin au seuil de l’antre du dragon. Un combat titanesque va s’engager entre le jeune homme qui ne craint pas les dieux et le terrible monstre que l’avidité a rendu fou. Troisième tome de la sublime série d’Alex Alice, « Le Crépuscule des dieux » est un éblouissant feu d’artifice d’une maestria graphique impressionnante qui clôture en beauté l’une des plus grandes sagas d’Héroic fantasy de ces dernières années.
Les Cavernes
Retour sur la planète Bételgeuse avec un quatrième tome au rythme toujours plus trépidant. L’expédition qui devait étudier les Iums et départager les deux clans survivants a tourné court. Tout se termine sur un drame : la disparition d’Hector et de Kim, coincés dans une grotte. Si Kim semble se remettre vite de sa blessure au ventre grâce aux gélules de la Mantrisse, leur sauvetage est rendu difficile par l’apparition d’une faune hétéroclite et menaçante. Pendant ce temps, la petite MaiLan, qui communique avec les Iums, observe un phénomène étrange : la Mantrisse apparaît chevauchée par un homme doté d’un aileron sur le dos ! Leo fait fonctionner pleinement sa magie de créateur de monde, autour de héros attachants et d’une faune fascinante sur une planète étrange. Les humains hélas sont toujours fidèles à eux-mêmes, bien qu’à des années lumière de la Terre. « Bételgeuse » fait suite à la « pentalogie » d' »Aldebaran », qui nous offre à chaque épisode un nouveau voyage et de belles aventures dépaysantes. L’imaginaire est le maître mot de cette série dans laquelle science-fiction et humanisme se mêlent étroitement.
L’Expédition
Que sont devenus les trois mille jeunes gens envoyés à bord du Konstantin Tsiolkowsky à destination de la planète Bételgeuse ? Voilà maintenant sept ans qu’ils n’ont pas donné signe de vie. Rien d’étonnant : à bord de l’astronef, immobilisé dans le silence de l’espace, tous les passagers sont morts à l’exception de deux d’entre eux. Et la petite troupe d’une cinquantaine de personnes qui avait débarqué en mission de reconnaissance s’est depuis longtemps scindée en deux clans ennemis. Pendant ce temps, sur Aldébaran, la petite Kim a grandi. La voilà chargée d’élucider le mystère de ce vaisseau désespérément muet. Arrivée sur Bételgeuse, planète fascinante où un canyon luxuriant et vertigineux dessine une tache verte en plein milieu du désert, Kim découvre une faune dont l’étrangeté n’a rien à envier à celle d’Aldébaran, et se retrouve investie d’une mission délicate : départager deux groupes antagonistes aux conceptions sociales diamétralement opposées ; Bételgeuse constitue le deuxième cycle des mondes d' »Aldébaran », programmé lui aussi en cinq volumes.