‘Faut Rigoler !

Boule est un petit garçon facétieux qui vit entre sa mère (exemplaire), son père (« bricoleur » et gaffeur) et Bill (gentil cocker). Cette bande typiquement familiale a débuté dans les pages de SPIROU en 1959. Si Boule apparaît dans tous les gags, Bill lui ravit rapidement la vedette. Ce chien farfelu apprécie bien sûr les os, les jolies chiennes, sa copine la tortue, ses amis les oiseaux et son jeune maître (Boule).De son trait rond, et jovial, l’auteur décrit par une suite de gags les aventures quotidiennes de cette famille particulièrement sympathique qui vit dans une maison où il fait bon vivre. L’environnement de cette famille est tout de suite identifiable : un pavillon coquet, un jardin et une voiture (la fameuse 2CV rouge) !

Gros succès de l’édition, cette série avoisine les 1000 gags et dépasse les 7 millions d’exemplaires vendus. Roba a quitté les éditions Dupuis pour Dargaud en 1987 : les 21 premiers titres sont donc édités chez Dupuis.


Roule ma poule !

Pour Boule, ces vacances seront celles de toutes les bêtises ! Une fois l’école finie, direction la campagne, où un programme chargé baignades et de parties de pêche l’attend.

Vivement la fin de l’école ! Boule ne sait plus quoi inventer pour échapper aux devoirs. Et voilà qu’en plus on lui confisque son « aïe-phone » ! Heureusement, Pouf, Bill et Caroline sont là pour l’aider. Enfin ! Les vacances arrivent. Cette année, ce sera à la campagne. Au programme : pêche, siestes, baignades, rodéos dans le poulailler, mais surtout marshmallows à volonté ! De belles bêtises en perspective…

Retrouvez Boule et Bill dans le quotidien de l’école mais aussi dans une partie de campagne survoltée !


Symphonie en Bill majeur

La BD préférée des enfants revient après son succès en dessin animé et la sortie d’un deuxième film !
Boule, c’est un petit garçon joyeux, espiègle, pas très travailleur, mais extrêmement malin. Bill, vous avez dit « un chien » ? Oui, mais pas n’importe lequel : ce coquin de cocker est adorable, hilarant, menteur, parfois réfractaire au bain, mais toujours avec un coeur gros comme ça ! Entre Boule et Bill, c’est une grande histoire d’amitié, de bêtises, d’aventures rocambolesques et, surtout, de complicité.


À l’abordage !

À l’abordage, hardis moussaillons ! Le drapeau noir flotte au fond du jardin où Bill, Boule, Caroline et tous leurs amis voguent au gré du vent, vivant mille aventures hilarantes, débordant de joie et de bonne humeur. Foi de cocker, les combats seront rudes, et les vaillants pirates repartiront les poches pleines d’os, par « Bill sabords » !


Un amour de cocker

Un amour de cocker est le 34e tome des aventures de Boule et Bill ; un classique de la BD d’humour jeunesse imaginé par Roba et désormais entre les mains de Cric, Pierre Veys et… Laurent Verron !

Les vacances sont à l’honneur dans ce 34e épisode de Boule et Bill ! À l’étranger, à la plage ou dans le jardin, il n’y a pas de meilleur moment pour s’amuser. Entre les concours de châteaux de sable et les parties de paintball, Boule échafaude un projet ambitieux : devenir réalisateur de cinéma. Mais le 7e art, ça ne s’improvise pas ! Avec Caroline en vedette capricieuse et Bill en guise d’assistant, les gaffes commencent, et sans trucages, s’il vous plaît !

Un amour de cocker, 34e album de Boule et Bill, aura un supplément en fin d’album : un cahier de 6 pages avec un reportage de Bill et des photos sur les coulisses du film qui sortira sur les écrans le 27 février 2013.


Dalton city

Ce personnage immortel parcourt depuis 1947 (44 ans !) l’histoire de l’ouest américain. Il y a rencontré des personnages célèbres (Jesse James, Calamity Jane, Billy the Kid, Sarah Bernhardt…). Lucky Luke est l’homme des missions impossibles, le défenseur des pauvres, des veuves et des orphelins, bref le parfait héros ! Son cheval, Jolly Jumper, est un parfait compagnon de ce « poor lonesome cowboy ». Les frères Dalton se dressent perpétuellement sur le chemin de Lucky Luke ce qui permet à ce dernier de les poursuivre continuellement et de les confier à la justice. Autre personnage traditionnel de la série : Rantanplan, le chien le plus bête du farwest qui a vécut de façon autonome 2 albums.

Lucky Luke est, avec Astérix et Tintin, le plus célèbre personnage de l’histoire de la BD : cette série, accessible à tous, est devenu un mythe grâce à Morris et Goscinny. Ce personnage a fait l’essentiel de sa formidable carrière dans les pages de SPIROU, PILOTE et LE JOURNAL DE LUCKY LUKE. Une exploitation merchandising et audiovisuelle (dont aux États-Unis) a permis d’introduire Lucky Luke auprès d’une très large couche de la population et auprès de plusieurs générations de lecteurs. A noter qu’après la disparition de Goscinny, plusieurs scénaristes ont travaillé sur la série : Vicq, De Groot, Fauche et Léturgie, Lodewijk, Lo Hartog Van Banda et Vidal. L’essentiel des albums se trouvent chez Dupuis et Dargaud., la nouveauté chez Lucky Productions.


L’Artiste peintre

L’artiste peintre renoue avec les plus grands de Lucky Luke, qui voient notre héros croiser la route de légendes de l’Ouest. Entre deux éclats de rire, on se cultive, mine de rien, et l’on découvre des épisodes méconnus de l’histoire du Far West. Cette fois-ci, le cow-Boy solitaire croise la route du peintre Frédérick Remington, l’un des plus grands artistes de ce siècle qui, loin de Montmartre, passa sa vie à immortaliser les tribus indiennes et la vie des cow-boys.


Lâchez les chiens !

Accusé d’être Seamus O’Neil, un terroriste de l’IRA réfugié aux USA, XIII est sur le point d’être éliminé par la National Security Agency quand surgissent des membres de l’organisation criminelle Exécutor qui l’enlèvent. Pour l’une comme pour l’autre, il est plus que jamais l’homme qu’il faut tuer ! Moteur ! La course folle de XIII reprend. À ses trousses, les tueurs d’Exécutor, la plus terrible organisation criminelle des États-Unis. À leur tête, la belle Jessica, fauve parmi les fauves… Avec ce quinzième épisode, Jean Van Hamme au scénario et William Vance au dessin font une nouvelle fois la démonstration éblouissante de leur talent. Sur terre, dans les airs, dans les flots, l’action bouscule le lecteur avant de l’abandonner ravi et comblé, la tête pleine d’images plus fortes les unes que les autres. Mais le quinzième tome de XIII ne se résume pas à une simple poursuite, si haletante soit-elle. Jessica sèmera de nouveaux doutes dans l’esprit de XIII sur sa véritable identité. Seul réconfort pour le héros amnésique : il retrouvera ses amis qu’il n’avait pas voulu suivre à l’issue du Jugement, préférant faire – le fou ! – confiance à la justice de son pays. Parmi elle, la belle Jones…


El Cascador

XIII a été une fois de plus manipulé. Par la Minerco tout d’abord, une puissante et mystérieuse compagnie dont le plan était de le faire passer pour le Cascador, héros de la révolution costaverdienne officiellement exécuté trois ans auparavant. Par la belle Félicity ensuite, égérie en titre du dictateur Ortiz et maîtresse du chef de la police secrète, le colonel Peralta. Par ses propres alliés révolutionnaires enfin, qui l’ont livré à Peralta et fait enfermer dans la redoutable forteresse de Roca Negra. Bref, par tout le monde. Avec un amnésique, on le sait, tous les coups sont permis. Et si, tout compte fait, XIII avait réellement été l’homme qu’on a essayé de lui faire croire qu’il était ? Une seule personne pourrait répondre avec certitude à cette question : Maria Isabel de Los Santos, fille de l’ancien président et veuve du Cascador, qui attend son exécution dans une cellule voisine de celle de XIII.


Toutes les larmes de l’enfer

XIII ne serait pas Rowland ! Les responsables de l’assassinat du président US, qui portent un numéro sur la clavicule, auraient voulu brouiller les pistes en donnant au tueur le visage de Rowland, mort deux ans plus tôt. XIII s’évade avec un jeune détenu… Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux États-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays. Le trait réaliste et précis de William Vance apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois. XIII, la BD culte !