Odilon Verjus est un missionnaire plus que méritant. Pas facile de prêcher la bonne parole à une tribu de papous ! Il s’est néanmoins parfaitement adapté aux us et coutumes de ses ouailles.
Pourtant, il a fort à faire : un mystérieux sorcier n’a de cesse de détourner les âmes péniblement converties et voici qu’un monstrueux crocodile vient se repaître de ses paroissiens. C’est dans ce contexte que débarque Laurent de Boismenu, fougueux novice envoyé en renfort par l’épiscopat.
La série culte de Yann et Verron enfin en intégrale !
Entre 1996 et 2006, les deux auteurs ont donné vie à un héros hors-norme. Tempétueux mais érudit, dévot mais rabelaisien, Odilon Verjus nous emmène aux quatre coins du monde pour vivre des aventures trépidantes et pleines d’ironie.
Pour Vicky, le bonheur est total : ses parents la préfèrent enfin (!) à son insupportable grande soeur Rebecca, elle sort avec James, beau jeune homme promis au plus bel avenir, et le barbecue familial de fin d’été lui permet d’afficher son insolente réussite à la face de tous les voisins.
Quant à Jenny, elle connaît un double bonheur : avec le musculeux Jean-Franky, elle a les tablettes de chocolat ; avec le gentil Hugo, elle a les attentions de chaque instant.
Karine, elle, a une nouvelle passion et ce n’est pas un garçon : son groupe de musique est sur le point d’être signé par un gros producteur, mais pour cela elle doit d’abord remonter le moral à Albin, leader de la formation, qui est en pleine dépression depuis les événements tragiques de l’été (et du tome 6).
Mais la vie est cruelle et le bonheur fragile, surtout quand on triche avec ses propres sentiments.
Heureusement qu’il reste l’amitié…
Aux commandes du « Colibri », un exceptionnel petit chasseur Yoko tente de localiser un monstreux canon qu’un puissant trafiquant d’armes veut charger d’obus à tête nucléaire pour imposer ses volontés à un petit pays voisin.
Franck est un gamin de 13 ans comme un autre. Sauf que, depuis sa plus tendre enfance, il vit dans un orphelinat où on lui a toujours dit que ses parents étaient morts. Un jour, alors qu’une énième famille est prête à l’adopter, la directrice laisse échapper qu’on ne sait pas ce que sont devenus ses géniteurs. Abasourdi par cette révélation, Franck décide de fuguer et de retrouver sa famille. Aidé par le jardinier, il se rend à l’endroit précis où il a été trouvé, à l’époque une forêt, aujourd’hui le chantier d’un futur parc d’attractions préhistoriques. Là, Franck tombe dans un étang, échappe de peu à la noyade et reprend conscience dans une grotte. Après avoir été pourchassé par un smilodon, été fait prisonnier par une tribu d’homo sapiens et servi d’appât pour un poisson géant, Franck se rend à l’évidence : il n’est pas dans un parc aux effets spéciaux ultra réalistes, il est tombé dans une faille spatio-temporelle et est remonté jusqu’à la vraie préhistoire !
Après avoir sauvé la tribu de féroces cannibales et de plantes carnivores, Franck est adopté (enfin, juste toléré) par les homo sapiens et se trouve enfin une famille d’accueil dont il n’aurait pas osé rêver (même dans ses pires cauchemars !). Mais les épreuves ne font que commencer : Franck se rend compte que s’il n’ajoute pas un peu de modernité à tout ça, l’humanité est condamnée… Il tente donc de faire accepter à sa nouvelle famille des inventions aussi révolutionnaires que la roue, le savon, le feu… ou les voyelles !
Noé, Théo et Maxime, trois copains inséparables, observent l’enterrement du père Gab. Ils font la connaissance de Rebecca, la petite-fille adoptive du défunt. Sous le charme, les trois garçons s’empressent d’accompagner Rebecca qui a décidé, sans l’aval de ses parents, de visiter la maison de son grand-père.
En pénétrant dans la maison, les enfants découvrent un lieu étrange, à l’abandon. Un vieux chat et un mainate y ont même été oubliés. Mais alors que le soleil couchant s’efface peu à peu derrière une bande de nuages, le mainate se met à gesticuler et hurler, prévenant les enfants d’un danger imminent.
Parvenant à allumer la lumière, les enfants surprennent avec frayeur une ombre qui s’apprêtait à se jeter sur eux avant que l’éclairage salvateur ne la fasse fuir…
Une saga en trois volumes à lire dès six ans.
La légende parle d’un « âge d’or, où vallées et montagnes n’étaient entravées d’aucune mu-raille. Où les hommes allaient et venaient librement… »
Mais ce temps lointain est bien révolu.
Le royaume est accablé par la disette et les malversations des seigneurs de la cour. À la mort du vieux roi, sa fille Tilda s’apprête à monter sur le trône pour lui succéder. Avec le soutien du sage Tankred et du loyal Bertil, ses plus proches conseillers et amis, elle entend mener à bien les réformes nécessaires pour soulager son peuple des maux qui l’accablent. Mais un complot mené par son jeune frère la condamne brusquement à l’exil.
Guidée par des signes étranges, Tilda décide de reconquérir son royaume avec l’aide de ses deux compagnons. Commence alors un long périple, où leur destin sera lié à « L’âge d’or » ; bien plus qu’une légende, bien plus que l’histoire passée des hommes libres et de leur combat, c’est un livre oublié dont le pouvoir est si grand qu’il changera le monde.
Il passe sa vie à dégommer des monstres gluants et terrifiants. Pourtant, Kid Paddle n’est pas un agent spécial intergalactique. C’est juste un gamin, véritable pro des jeux vidéo. Et il craint bien moins les horribles Blorks que Mirador, le surveillant de City Game, la salle d’arcade, qui n’aime pas trop qu’on secoue ses machines…
En compagnie de ses copains, Big Bang, bricoleur de génie, et Horace, le candide, Kid imagine les blagues les plus limite sans avoir peur de verser régulièrement dans le gore ! Tout ça sous l’oeil désapprobateur de son père, paisible fonctionnaire, et de sa soeur Carole, première de classe désespérément raisonnable, toutes deux ses victimes préférées !
Ce volume contient les deux derniers albums de « Valhardi » : « Le naufrageur aux yeux vides », sur un scénario de Duchâteau (« Ric Hochet » avec Tibet) et « Un Gosse à abattre », sur un scénario de Stoquart (« La Patrouille des Castors » avec MiTacq). En bonus, une nouvelle, « Le 8e Indice », et un synopsis inédit signé Alain De Kuyssche, ainsi qu’un récit complet, « Dossier X ». Le tout présenté dans une préface très complète.
Depuis 1965, Jean Valhardi, le grand héros de la première heure du Journal de Spirou, créé par Jean Doisy et Jijé en 1941, n’avait plus donné signe de vie. Jusqu’à ce que René Follet accepte de lui redonner vie, pour deux grandes histoires seulement.
Alors que Valhardi représente le grand frère idéal, un peu scout dans les années 1940, puis opposant aux apprentis maîtres du monde sur fond de guerre froide dans les années 1950 avant de flirter ostensiblement avec les yé-yés dans les années 1960, voilà qu’il prend un nouveau virage à l’orée des années 1980 avec cette reprise éphémère de René Follet. Depuis 1965, Jean Valhardi, le grand héros de la première heure du Journal de Spirou, créé par Jean Doisy et Jijé en 1941, n’avait plus donné signe de vie… jusqu’à ce que René Follet accepte de lui redonner vie. Ce merveilleux dessinateur, qui grandit avec Valhardi et le Journal de Spirou, offrit au personnage un dernier tour de piste, avec, en référence, les sublimes planches de Jijé qu’il lisait lorsqu’il était enfant… Sous son pinceau virtuose, Jean Valhardi renoue avec l’aventure classique, sur fond des grands espaces sauvages chers au dessinateur.