Les filles de Dad grandissent, tout le monde l’avait remarqué ! Mais au point de se gérer seules dans l’appartement familial, pendant que Dad repart vivre chez Papa-Maman ? Ça, on ne l’avait pas vu venir !
Ses filles sont au centre de la vie de Dad. Mais cette fois, elles seront carrément au centre de son album ! Car dans ce dixième tome, Dad va repartir vivre chez ses parents et laisser les filles se gérer seules, comme des grandes ! Mais quand on connaît les caractères respectifs de Panda, Ondine, Roxane et Bébérénice, on peut imaginer que les choses ne vont pas forcément se passer avec simplicité… Ce qui ne veut pas dire que seront absents la tendresse, l’humour et la bienveillance !
Rebecca a trop de chance ! Non seulement elle est devenue amie avec le légendaire microbe Ernest, mais en plus, son copain l’emmène faire sa rentrée à l’école des microbes ! Bon, le seul micro-souci, c’est cette loi qui interdit à un humain d’en franchir les portes. Mais avec un bon déguisement, tout devrait bien se passer, non ? Il suffit juste que Rebecca fasse profil bas, évite de se bagarrer… et de réveiller les terreurs qui dorment dans les profondeurs de l’école. Fa-cile ! Ou pas…
Vingt-et-un drones livrés par la société américaine Blade Inc. disparaissent en Roumanie. Le coupable est tout trouvé : James Leitton, PDG d’Aerok, un concurrent malheureux que tout accuse. Dwight Tyler est donc dépêché sur place pour interroger Leitton. Une mission a priori simple… qui se complique rapidement quand il découvre l’homme d’affaire assassiné ! Alpha va devoir goûter l’hospitalité roumaine un peu plus longtemps que prévu…
À la confluence lyonnaise, Prin est à la recherche d’un mystérieux troisième cours d’eau, celui qui naît de la rencontre entre ces entités que sont le Rhône et la Saône. Une quête fugace et mouvante, à l’image de sa relation polyamoureuse avec Axl, un hacker, et Molly, une couturière. À l’image de leur vie dans les marges, entre lutte et liberté. Car cette nuit, après le passage en force de l’extrême-droite au gouvernement, Prin, Axl et Molly devront demeurer unies pour survivre à l’assaut d’une violence normative et autoritaire qui cherche à effacer leurs existences…
Jones est élève officier à l’école de la Navy de Patuxent River où elle doit réussir les dures épreuves de l’entraînement au pilotage de plusieurs types d’appareils volants, ainsi que le rigoureux apprentissage des techniques de close-combat dont on sait qu’elle deviendra experte, mais dont on découvrira la difficulté.
En parallèle, son frère Marcus s’est évadé d’un pénitencier en compagnie de deux dangereux activistes amérindiens ; il accompagne ces derniers qui viennent de s’emparer de l’îlot d’Alcatraz et défient les autorités américaines en exigeant l’obtention de Droits Civiques. Ils ont pris en otage une centaine de sympathisants naïfs venus apporter leur soutien à la cause indienne et introduit un véritable arsenal sur Alcatraz et sont prêts à déclencher un bain de sang pour parvenir à leurs fins…
De quoi provoquer une intervention des « Spads » du général Ben Carrington, qui se trouve être le tuteur d’une certaine sous-lieutenant bien connue des lecteurs de XIII…
Entre la jeunesse de Jones, retracée dans Little Jones, et ses faits d’armes racontés dans la série de Van Hamme et Vance, il restait des zones d’ombre à explorer dans sa vie mouvementée. Il fallait bien une trilogie, signée par Yann et Taduc, pour lever le voile sur le destin de cette femme pas comme les autres…
Barcelone, de nos jours.
Eva Rojas, une jeune et brillante psychiatre, rechigne à répondre aux questions du Dr Llull. Pourtant, elle n’a d’autre choix que de collaborer pour espérer récupérer sa licence et exercer à nouveau son métier.
Il y a quelques jours, Eva a été appelée en renfort par l’une de ses patientes, Pénélope, pour l’accompagner, en tant que personne de confiance, durant la lecture du testament de sa grand-mère. Si cette dernière est toujours vivante, cette réunion familiale n’en demeurera pas moins éprouvante.
À son arrivée à Can Monturós, l’excentrique psy perçoit rapidement les lourds secrets qui pèsent sur le domaine viticole. Et pour cause : percer les gens à jour, c’est son fonds de commerce.
Les Monturós, qui ont fait fortune grâce à leurs vignes pendant la période franquiste, semblent dissimuler quelques secrets inavouables…
Alors qu’elle séjourne au domaine, un membre de la famille est assassiné. Et les regards inquisiteurs ont tôt fait de se tourner vers Eva, qui mènera l’enquête pour tenter de prouver son innocence.
Après le poétique Malgré tout, Jordi Lafebre nous livre, à coups de récits enchâssés et de personnalités hautes en couleurs, un roman graphique lumineux, au rythme résolument moderne et au ton empreint d’humour. Un récit entre la comédie et le polar catalan.
Ve siècle. Dans la Grande-Bretagne déchirée par les guerres, le roi Arthur se lève pour rassembler les peuples celtes. « Un royaume, un roi, une foi ! » proclament fièrement les Chevaliers de la Table Ronde. Cependant, cette noble quête de paix entraîne le bannissement des anciens cultes et des traditions magiques…
Loin de ces tumultes, au coeur des Terres Libres, un jeune Celte aux énigmatiques yeux vairons découvre qu’il est le fils d’une puissante magicienne. Aura-t-il l’audace d’accepter son destin et de partir vers l’inconnu ? S’embarquera-t-il dans une quête hors du commun… à la recherche du Graal ?
Le Chevalier au Dragon est le fruit d’une prodigieuse découverte historique réalisée par Emanuele Arioli. Après une incroyable quête menée pendant une décennie dans toute l’Europe, il a réussi à reconstituer un texte perdu depuis près de sept cents ans relatant la légende du roi Arthur. Tel un puzzle colossal, il a assemblé des dizaines de manuscrits, dévoilant ainsi, des siècles après sa création, le destin mystérieux d’un héros méconnu de la Table Ronde : le Chevalier au Dragon ! Cet univers épique et merveilleux prend maintenant vie grâce aux talents d’Emiliano Tanzillo qui l’a illustré avec éclat.
Le Mal s’incarne-t-il mieux dans les yeux horrifiques du Niddhog, au fond du coeur vaillant de Sioban, reine des Sudenne, ou sous les traits angéliques de la sublime Aylissa ?
Souvent, la monstruosité choisit des chemins inattendus et se niche dans ce qui peut nous apparaître comme le plus innocent des esprits. Sioban, en guerrière clairvoyante, l’a bien compris. Chaque jour, sa cousine Aylissa s’enlise un peu plus dans une cruauté perfide, assoiffée de pouvoir. La jeune femme rivalise d’ingéniosité et de malversation pour arriver à ses fins. Jusqu’à se servir du fitchell, cette arme tranchant violemment ses victimes et se volatilisant aussitôt, objet ancestral créé des mains des Sorcières elles-mêmes. Si Aylissa use de la force, elle n’hésite pas non plus à attaquer ses proies de façon plus subtile et… maléfique. Bientôt, Sioban assiste à la déchéance de son fidèle Seamus, sombrant dans une folie hallucinatoire de laquelle il semble incapable de s’extraire. La reine des Sudenne supportera-t-elle de voir son ami lynché et… mis à mort ?
Plus que jamais, l’héroïne de la « Complainte des Landes perdues » devra faire face à ses démons, extérieurs et intérieurs, mais aussi aux signes de l’amour, indissociable de sa quête sur ces terres de légendes et de pouvoirs.
L’empereur Augustus a cessé de vivre.
Désormais, c’est au tour de Tiberius de régner sur Rome. Présent à ses côtés, Seianus est censé l’aider à asseoir sa domination sur la Ville éternelle.
Mais la grandeur de Rome est fragile. Dans l’ombre, un complot se trame. Les conspirateurs, au nombre de sept, se surnomment les Liberatores – les Libérateurs. Seianus est l’un d’eux et il compte sur la belle Morphea pour parvenir à ses fins.
Arminius, lui, rêve de soumettre l’orgueilleuse cité à l’autorité de son peuple de Germains, les Chérusques. Marcus, son frère de sang et ami d’enfance, a rompu avec Arminius car il lui reproche d’avoir trahi Rome. Lui n’a qu’une obsession : retrouver son fils…
Sixième volet d’une série qui donne à voir l’empire romain sous un autre jour, entre conquête du pouvoir, cruauté et ambitions personnelles, le tout teinté d’érotisme et de violence. Marini, au sommet de son art, signe le scénario et le dessin de cette saga pleine de bruit et de fureur, qui associe le souffle de l’histoire à celui de la grande aventure.
À New York, le capitaine Francis Blake doit prononcer à l’ONU un discours en faveur de la paix devant huit cents délégués venus du monde entier.
Au même moment, dans la section des antiquités égyptiennes du Metropolitan Museum, un homme vandalise la stèle d’Horus avant d’être arrêté par la police.
Francis Blake et Philip Mortimer, informés de l’incident par le FBI, connaissent bien cet homme. Il s’agit d’un certain Olrik. Mais celui-ci, plongé dans un état catatonique, a perdu la mémoire.
Alors que nous sommes à la veille de l’ouverture de la conférence pour la paix, Blake et Mortimer mènent l’enquête. Le temps presse, car tout incite à penser qu’une grave menace pèse sur l’ONU…
Admirateur de l’univers de Jacobs, Floc’h allie sa passion de la « ligne claire » à sa maîtrise de la couleur pour s’approprier avec maestria ces personnages mythiques, qui visitent New York pour la première fois. José-Louis Bocquet et Jean-Luc Fromental signent pour lui un scénario sur-mesure.