Les murs de la City ne résonnent plus que des incroyables exploits de la » Marque Jaune « . Ce mystérieux criminel multiplie les actions spectaculaires : raid contre la banque d’Angleterre, vol du Gainsborough de la National Galery, et même vol de la couronne royale d’Angleterre…
Rien ne semble pouvoir l’arrêter. Son audace va jusqu’à prévenir à l’avance la police du lieu de l’accomplissement de ses forfaits, ridiculisant à chaque fois un peu plus Scotland Yard.
L’apparente facilité avec laquelle il se déjoue des dispositifs policiers finit par inquiéter les plus hautes instances du pays. Le capitaine Francis Blake est dépêché par le Home Office auprès de Scotland Yard pour élucider l’affaire et découvrir l’identité de l’homme qui se cache derrière la Marque Jaune.
Le capitaine s’adjoint tout de suite les services de son vieil ami, le professeur Philip Mortimer, dont les connaissances scientifiques s’avéreront précieuses dans cette affaire extrêmement complexe.
Mais voici qu’aux vols succèdent les enlèvements. Un médecin réputé, un éditorialiste fameux, un juge éminent, disparaissent tour à tour, enlevés sous les yeux impuissants de la police. Les trois hommes se connaissaient. Ils faisaient tous trois partis du » Centaur Club » et étaient amis, ainsi que le professeur Septimus. Ce dernier, psychiatre de renom, est persuadé que la Marque Jaune est un génie du mal et qu’il sera le prochain de la liste…
Qui se cache derrière la Marque Jaune ? Quels sont ses mobiles, ses motivations ?…
Blake et Mortimer auront fort à faire pour venir à bout de l’inquiétant individu aux pouvoirs quasi-surnaturels…
À partir de 1982, Joost Swarte conçoit un étonnant dispositif narratif composé de deux gags juxtaposés, le premier, le « Passi », exposant un problème, quelque chose à ne pas faire, le second, le « Messa », lui répond en apportant une réponse, une solution, une échappatoire.
Deux gags couplés, donc, qui se répondent, se font écho, font miroir, le jeu peut être infini. Pré-publié dans l’hebdomadaire hollandais Vrij Nederland, « Passi, Messa ! » deviendra également cinq petits livres publiés entre 1985 et 1991. Quatre d’entre eux paraîtront en France chez Futuropolis de 1985 à 1989, le cinquième, annoncé chez cet éditeur en 1992, n’est en fait jamais paru.
Pour votre plus grand plaisir, Dargaud réédite en un seul volume, les cinq albums du maître dont ce fameux inédit.
Aussitôt arrivés sur leur nouvelle affectation, le porte-avion USS Ronald Reagan, Buck, Sonny et Tumbler sont chargés de mener une black op afin de connaître les capacités militaires réelles du Basran qui vient d’abattre un Raptor. Afin de ne pas éveiller les soupçons, ils choisissent d’opérer sur du matériel d’origine soviétique non identifié, des Sukhoï-34*, une première pour des pilotes américains ! La mission se révèle extrêmement risquée car le Basran a reçu l’aide secrète de la Russie qui teste un nouveau matériel de pointe antiaérien.
(* Le Sukhoï est le seul avion de chasse à pouvoir faire la figure du « cobra » : cabrer brusquement l’appareil à la verticale avant de stabiliser.)
Ralph, toujours accompagné par les magiciens Yassou et maître Migachi, a décidé de voler la couronne de Tanghor, dont le pouvoir pourrait rendre la mémoire à sa soeur. Il s’associe à trois voleurs rencontrés sur le bord de la route et se rend à Onophalae, où la couronne magique est conservée en haut d’un pic particulièrement bien protégé. Du moins pour le commun des mortels, car rien ne résiste aux méthodes non- conventionnelles de Ralph. De son côté, le père de Ralph, qui a survécu à l’effondrement du barrage, s’installe à Astolia, où il ouvre une boutique de gâteaux-surprises, dans l’espoir que son fils l’y rejoindra. Mais il n’est pas le seul à l’y attendre : nombreux sont ceux qui aimeraient toucher la prime promise pour sa capture !
Les aventures débridées de Ralph Azham et de ses compagnons se poursuivent sous la plume d’un Lewis Trondheim en grande forme.
Les oracles, ça ne raconte pas de bobards : conformément à leurs prédictions, Ralph a bel et bien décapité le terrible Vom Syrus. Ou plutôt son sosie empaillé, utilisé par le roi pour entretenir la légende… Privé de l’alliance qu’il voulait nouer avec cet homme de paille et de retour sur les terres d’Astolia, Ralph va devoir trouver son père, une nouvelle stratégie, et un pantalon confortable ! Car l’aventure ne s’arrête pas pour la petite bande qui va découvrir que les ennemis de nos ennemis ne sont souvent que… d’autres ennemis !
Un incendie ayant ravagé l’hôtel où ils s’étaient installés, Jeremiah et Kurdy se retrouvent au milieu de la nuit, seuls rescapés du désastre, mais sans leurs précieuses motos désormais réduites à l’état de barbecue. La présence de miliciens les pousse à quitter les lieux sans demander leur reste… même si la trogne reconnaissable de Kurdy a tôt fait de précipiter un fourgon à leurs trousses !
Dans leur tentative pour échapper à la case prison, les deux baroudeurs vont mettre le pied sur une propriété privée enclavée dans les reliefs et dont les gardiens sont loin d’être les plus bienveillants à des kilomètres à la ronde. Protègeraient-ils quelque chose d’une immense valeur ? Ou bien quelqu’un ?
Reçus par le maître des lieux, un homme plein de méfiance et de suspicion, Jeremiah et Kurdy ne tarderont pas à découvrir ce qu’il cache ainsi avec tant d’ardeur.
La série culte de la bande dessinée de science-fiction va enfin être adaptée sur grand écran par Luc Besson ! Un film qui réunira le plus gros budget de l’histoire du cinéma français. Afin de précéder et d’accompagner sa sortie dans les salles, au mois de juillet 2017, Dargaud met en place un programme éditorial autour de la série, à commencer par la réédition, à partir du mois de septembre 2016, des sept intégrales. Images du film, interview des auteurs et du réalisateur… ces albums n’auront rien à voir avec les premières éditions !
À l’occasion des 50 ans de la création de cette bande dessinée culte et de son adaptation au cinéma par Luc Besson (sortie en juillet 2017), les éditions Dargaud rééditent la collection complète des intégrales. Sous de nouvelles couvertures et avec une nouvelle maquette, ces deux intégrales proposent chacune trois épisodes de Valérian (dont L’Ambassadeur des ombres, l’histoire qui a inspiré Besson) ainsi que la suite et la fin de l’entretien entre le réalisateur et les deux créateurs.