La Quête de l’Oiseau du Temps – Intégrale cycle principal

Il s’agit de la réédition (à tirage limité) de l’intégrale du cycle principal de La Quête de l’oiseau du temps, saga imaginée par Serge Le Tendre et Régis Loisel. Ces quatre épisodes constituent aujourd’hui encore ce qui se fait de mieux en matière d’heroic fantasy en bande dessinée. Une série culte !
Notons que cette réédition sous jaquette présente une illustration inédite en couverture ainsi que les 12 premières pages de La Quête, en noir et blanc, dans leur première version qui date de 1975 ! Cerise sur le gâteau : les couleurs des deux premières histoires ont été entièrement refaites.


ENTRAILLES


Le Juge la République assassinée – tome 1

Premier tome de l’histoire, en trois volumes, du juge Renaud, premier magistrat de la Ve République à avoir été assassiné.

Assassiné en 1975, le juge Renaud est le premier magistrat de France à être tué depuis l’Occupation. En charge de dossiers brûlants, c’était un homme au caractère bien trempé. Connu pour sa façon peu orthodoxe de s’occuper des affaires en instruction, il était surnommé « le Shérif » ! La justice n’a jamais élucidé cette sombre histoire impliquant des politiciens, le SAC et le fameux gang des Lyonnais. Un non-lieu, prononcé en 1992, fait de ce scandale un symbole de la faillite de la justice et de la police.

Premier tome de la nouvelle série d’Olivier Berlion : un polar historique.


Les voyages d’Ibn Battûta

En 1354 quand Ibn Battûta revient à Fez au Maroc, il rentre d’un périple qui aura duré 29 ans. Un pèlerinage à La Mecque en 1325 a ainsi conduit l’aventurier aux quatre coins du monde, en Afrique, en Espagne, en Inde, des Maldives, jusqu’en Chine.

Trop peu connu en France, ce Marco Polo musulman est un des plus grands voyageurs de l’histoire. Né à Tanger, il est même à l’origine de la consécration du récit de voyage en genre littéraire dans le monde musulman au XIVe siècle quand il publie sa « rihla » un mot qui à l’origine signifie « voyage », à l’origine de cette adaptation.

En 1998, le journaliste et écrivain marocain Lotfi Akalay avait déjà consacré un livre à l’explorateur, qu’il considère comme « le premier touriste du monde ». Il y décortiquait les controverses autour du texte, en révélant les modalités de circulation dans le monde musulman de l’époque. La bande dessinée a ouvert de nouvelles portes à ses ambitions. La mise en abyme du récit original par le dessinateur du point de vue d’Ibn Battûta crée l’illusion d’un carnet de voyage, étape par étape, alternant croquis et planches à l’aquarelle. Un périple tout en lumière qui mêle le réalisme historique et l’onirisme du conte.


Tout l’or de Paris

Avec Tout l’or de Paris, tome 2 de La Colère de Fantômas, Olivier Bocquet et Julie Rocheleau confirment le grand retour du maître du crime et de l’effroi…

Dans ce deuxième épisode de La Colère de Fantômas, le criminel sans visage ni états d’âme qui terrifie les habitants de Paris depuis seize longues années a maintenant juré de voler tout l’or de la capitale. Dans une frénésie galopante, et avec pour seule compagnie l’énigmatique lady Beltham, il tue les témoins embarrassants et pille les coffres-forts de la Banque de France. L’inspecteur Juve et Fandor se lancent rageusement à sa poursuite pour qu’enfin cessent ses crimes.

Ce 2e volet de La Colère de Fantômas est une bande dessinée librement inspirée de l’oeuvre de Marcel Allain et Pierre Souvestre ; une série entre récit historique et roman noir.


Épisode 3

Kim et ses compagnons d’infortune se sont posés sur Antarès, planète beaucoup plus hostile que leur laissaient croire les commanditaires du projet Antarès qui dirigent en fait une véritable secte. Séparés en deux groupes, les membres du projet sont plus vulnérables que jamais et le groupe de Kim, parti à la recherche de survivants, doit transporter une femme grièvement blessée. Leur seul espoir : rejoindre le camp de base mais pour cela ils doivent traverser une zone qui s’avère particulièrement dangereuse ! Cette série de science-fiction signée Leo tient toutes ses promesses et nous gratifie une nouvelle fois de scènes spectaculaires mais aussi et surtout d’une véritable humanité propre aux Mondes d’Aldébaran.