Nous retrouvons le chien le plus bête et le plus sympathique de l’Ouest (dixit Lucky Luke « himself ») dans ce nouveau album riche en gags de tous poils. A lire sans modération pour qui veut garder l’oeil vif et la truffe… souriante !
Bêtisier 4
Le chien le plus stupide de l’Ouest a enfin sa propre bande. Il fut créée le 4 février 1960 en première planche de » Sur la piste des Dalton « . On le retrouve dans ses aventures avec La Mascotte et Le Parrain.
Bêtisier 1
La petite histoire veut qu’un jour Morris en regardant à la télé un épisode de Rintintin, chien supérieurement intelligent, capable de sauver à lui tout seul un village d’une attaque indienne, eut l’idée de créer son exact contraire, Rantanplan, le chien le plus stupide de l’Ouest, incapable de donner la patte sans tomber. L’animal devint très vite une star du journal Spirou puis de Pilote, aimé au même titre que les Dalton, par des millions de lecteurs.
Morris décida alors d’en faire le héros de gags en demi-page qu’il confia à Fauche, Léturgie et Janvier. Ces gags publiés notamment dans Télé Star eurent très vite un grand succès et les bêtisiers s’enchaînèrent.
Après une interruption de quelques années, Rantanplan peut enfin renaître en album sous forme de Bêtisier avec des gags totalement inédits en album dans le cas du Bétisier 7 et dans une réédition pour le bêtisier 1.
Bêtisier 3
Le chien le plus stupide de l’Ouest a enfin sa propre bande. Il fut créée le 4 février 1960 en première planche de » Sur la piste des Dalton « . On le retrouve dans ses aventures avec La Mascotte et Le Parrain.
Le Noël de Rantanplan
Rantanplan, le chien le plus bête de l’Ouest – sans compter les trois autres points cardinaux – continue sa vie de chien incompris. Ou plutôt, de chien » mal comprenant « , mais ce n’est pas son avis.
On se demande s’il est vraiment qualifié pour éduquer le jeunot qui le suit partout – le même modèle que lui, en gris. En tout cas, il lui apprend à manger, dans les poubelles de préférence – c’est plus sain, la nourriture normale étant farcie de dioxines et autres saloperies. Manger, c’est sacré. Voilà pourquoi Rantanplan est si feignant : il garde ses forces pour intervenir énergiquement en cas de nécessité, le cas de nécessité majeur consistant à décoller comme une fusée dès qu’un humain prononce le mot » manger « .
Dans l’ensemble, son élève est plus malin que lui – ce qui n’est pas surprenant. Malgré tout, de temps en temps, Rantanplan lui en bouche un coin. Par exemple, en reconnaissant le chant de la carouse à l’épaulettes, un oiseau rare dont le » couiii couiii » se révèle être le couinement d’un fauteuil roulant mal graissé. Et puis, Rantanplan a bien étudié Lucky Luke en train de tirer plus vite que son ombre, et il fait pareil : il se défonce la tronche dans le mur plus vite que son ombre. Il est content : son ombre se fait avoir à chaque fois.
Dan l’ensemble, il ressort de ses aventures tout couturé et cabossé, mais toujours frais et dispos pour repartir gaiement. Il est toujours Rantanplan, le prototype du clébard naïf et craquant, celui qui prend le père Noël pour un sale type, ça va de soi. Et avec sa dégaine dégingandée, ses mines abruties et l’air constipé que lui donne la moindre minute de réflexion, il reste notre chien préféré, à l’Ouest comme partout.
Bêtisier 2
Très attendue par les fans de Rantanplan, voici enfin la réédition avec une nouvelle couverture du deuxième tome des bêtisiers qui n’était plus disponible depuis des années. 48 pages d’éclats de rire.
La Vallée des Immortels – Menace sur Hong Kong
À Lhassa, le palais impérial du dictateur Basam-Damdu est anéanti par une escadrille d’Espadons, et le monde, soulagé, fête la fin de la troisième guerre mondiale.
Pendant que, dans la Chine voisine, les communistes de Mao affrontent les nationalistes de Chiang Kai-shek, le Seigneur de la guerre Xi-Li cherche à mettre la main sur un manuscrit qui lui permettra d’asseoir son pouvoir sur l’Empire du Milieu. Face aux menaces qui planent sur la région, le capitaine Francis Blake est chargé d’organiser la défense de la colonie britannique de Hong Kong. De son côté, à Londres, le professeur Philip Mortimer est amené à s’intéresser de près à une curiosité archéologique chinoise suscitant appétits et convoitises. Au même moment, le fameux colonel Olrik, ancien conseiller militaire déchu de Basam-Damdu, profite du chaos ambiant pour monnayer ses services auprès du général Xi-Li afin d’assouvir sa soif de vengeance…
Premier volet d’un diptyque, La Vallée des Immortels commence exactement là où Le Secret de l’Espadon s’achève. Les amateurs de Blake et Mortimer retrouveront quelques-uns des ingrédients qui ont assuré la renommée de la saga d’Edgar P. Jacobs : la grande aventure, l’exotisme, qui s’exprime ici dans les ruelles dangereuses de Hong Kong, l’atmosphère londonienne digne des plus belles pages de La Marque Jaune et la science-fiction, incarnée par le nouvel engin imaginé par le professeur Mortimer, le Skylantern, le tout relevé par quelques figures de traîtres et par un Olrik plus machiavélique que jamais. Écrit par Yves Sente, l’album est dessiné à quatre mains par Teun Berserik et Peter van Dongen. Inspirés par la « ligne claire » du Mystère de la Grande Pyramide, ils ont su relever ce défi graphique avec maestria et fidélité à l’esprit Jacobsien. Cet album devrait ravir les amateurs les plus pointus de la série.
La Vallée des Immortels – Le Millième Bras du Mékong
Inquiets pour Mortimer qui a été kidnappé par les hommes du général Xi-Li, le capitaine Blake, accompagné de l’agente nationaliste chinoise Ylang Ti, se lance à la recherche de son ami. Se servant des indices que Mortimer a eu l’intelligence de semer sur son chemin, ils remontent peu à peu la piste qui devrait les conduire jusqu’à lui.
De leur côté, Mortimer et Han-Dié, archéologue nationaliste qui a trahi son gouvernement pour vendre des documents historiques au général Xi-Li, sont emmenés de force vers le repaire du seigneur de guerre. Mortimer profite de ce voyage pour en apprendre davantage sur les documents qui apporteront la preuve à Xi-Li qu’il est bel et bien le descendant et l’héritier de Shi-Huangdi, le premier empereur de Chine…. dont la légende dit qu’il aurait été emmené à la fin de sa vie dans la Vallée des Immortels.
Arrivé au camp de prisonniers, Mortimer retrouve Nasir, prisonnier de Xi-Li et à l’agonie. Déterminé à sauver son ami grâce à une « perle de vie » miraculeuse, Mortimer s’évade en compagnie de Mister Chou à la recherche de la fameuse Vallée des Immortels où ces perles seraient cachées. Et si ce mystérieux endroit n’était pas qu’un mythe ?
Blake parvindra-t-il à rejoindre Mortimer à temps ? Nos deux héros pourront-ils sauver Nasir ? Surtout, parviendront-ils à sauver Hong Kong à temps des projets de destruction ourdis par le général Xi-LI et l’étrange ingénieur Chase… alias, le colonel Olrik ?
Intégrale tomes 7 à 12
Retour aux sources du travail de Jacobs avec la première intégrale de ses oeuvres comprenant les tomes 7 à 12 de la série. Éditée dans la collection Niffle (Thorgal, Comanche) sous le label des Éditions Blake & Mortimer, cette intégrale en noir et blanc met pleinement en valeur le trait de Jacobs et la qualité de son travail graphique. Les planches ont été rescannées et nettoyées et, pour parfaire le rendu visuel, l’album est édité en grand format sur un papier de qualité. Une couverture en noir et blanc de Blake et Mortimer, parue dans le Journal Tintin, ravira les amateurs qui pourront le mettre sous cadre. Vendu à un prix démocratique, ce beau livre est un magnifique complément à la série et permet de redécouvrir l’oeuvre de Jacobs avec un regard neuf.
Intégrale tomes 1 à 6
Retour aux sources du travail de Jacobs avec la première intégrale de ses oeuvres comprenant les tomes 1 à 6 de la série. Éditée dans la collection Niffle (Thorgal, Comanche) sous le label des Éditions Blake & Mortimer, cette intégrale en noir et blanc met pleinement en valeur le trait de Jacobs et la qualité de son travail graphique : les planches ont été rescannées et nettoyées et, pour parfaire le rendu visuel, l’album est édité en grand format sur un papier de qualité. Une couverture en noir et blanc de Blake et Mortimer, parue dans le Journal Tintin, ravira les amateurs qui pourront la mettre sous cadre. Vendu à un prix démocratique, ce beau livre est un magnifique complément à la série et permet de redécouvrir l’oeuvre de Jacobs avec un regard neuf.