Le Secret de l’Espadon – Tome 3

Blake et Mortimer ont réussi à rallier la base secrète de la résistance dans les falaises du Makran, au Moyen-Orient. À l’abri de ses redoutables défenses et tandis que Blake s’occupe de la sécurité, le professeur Mortimer fini de mettre au point le premier prototype de l’Espadon : le SX 1.

Mais Olrik, que l’évasion de Mortimer a fait tomber en disgrâce auprès de l’Usurpateur, n’a pas dit son dernier mot. Il parvient à s’introduire dans la place forte souterraine en se faisant passer pour un ingénieur en énergie atomique, l’identité idéale pour se faire ouvrir les portes des points les plus stratégiques.

Sous terre et sous mer, une formidable course contre la montre s’engage alors entre Olrik et nos deux Héros. Sauront-ils déjouer la supercherie et empêcher le traître de nuire ? Parviendront-ils à terminer l’Espadon, dernier espoir du monde libre, avant que Basam Damdu ne lance ses troupes dans un assaut final et dévastateur des falaises du Makran ? Vous le saurez en lisant ce troisième et dernier tome du Secret de l’Espadon : SX 1 contre-attaque.


L’Art du cinquième bonheur

Refusant d’être une «mouche qui butine» et d’user de ses charmes, Alix Yin Fu, jeune et belle espionne chinoise, est envoyée à San Francisco en tant que «mouche qui pique» et tue froidement. S’avérant aussi incapable de «piquer» que de «butiner», elle est chargée de capturer un ex-officier nippon coupable d’horribles crimes de guerre. Lui seul sait où a coulé le bateau transportant l’or que les Japonais tentaient de soustraire aux Américains en 1945…


Peau de pêche et cravate de soie

Retrouvez la jeune et belle Alix dans le second volume de ce dyptique à la recherche d’une « grosse fille » qui attire aussi la curiosité d’un agent britanique sir Francis Flake.


Une espionne sur le toit

Entamé dans « L’Art du cinquième bonheur », le périple d’Alix Yin Fu à San Francisco se poursuit, mettant sa morale à bien rude épreuve. Quelle idée aussi de refuser que l’agent Yi Zi soit exécutée sous prétexte qu’elle n’a rien fait de mal ! Ses états d’âme de « petite-bourgeoise » provoquent la colère de Kan Sheng qui l’envoie illico sur le front pour qu’elle se rachète une âme d’agent communiste digne de ce nom.

Sa nouvelle mission : séduire le ministre des Finances de Tchang Kaï-Chek… Pour cela, elle doit connaître les 99 points de pression suprêmes sur le bout des doigts.

Si 63 d’entre eux provoquent un plaisir extrême, les 36 autres suscitent en revanche une douleur sublime…


Au service secret du grand timonier

Sur fond de guerre froide et de psychose atomique, les auteurs de « Tigresse Blanche » brossent avec un humour noir une galerie de portraits complètement atypiques. Cette nouvelle série qui se déroule à Hong-Kong enchaîne quiproquos délirants et situations rocambolesques.

Alix Yin Fu, agent secret communiste et membre de la secte taoïste féminine des Tigresses Blanches, est LA James Bond asiatique. Et c’est une bombe. Sa mission ? En récupérer une autre, atomique celle-là, avant tous ces diables d’étrangers.
Pour ce nouveau projet, le tandem Yann – Didier Conrad s’est inspiré du cinéma. Conrad a dessiné chaque séquence jusqu’au bout, sans interruption. Les auteurs se sont ensuite occupés des raccords, puis du « montage ». L’histoire, qui nous raconte une époque troublée et riche en rebondissements, gagne en fluidité.
A lire dans le noir le plus total !


L’Année du Phénix

La triade des Tigresses Blanches n’a jamais été en si grand danger. D’une part, le secret du tatouage invisible est dévoilé suite à l’assassinat de leur grand maître tatoueur. Les Tigresses Blanches peuvent donc être facilement identifiées. D’autre part, sur l’ordre de Kang Sheng, Alix doit démasquer des espionnes nationalistes infiltrées parmi les Tigresses. Lors de sa mission, les Tigresses de Shanghai sont toutes exécutées. Étant la seule survivante, Alix est accusée d’être la traîtresse que tous recherchent. Nous retrouvons l’agent français « Dragon aux trois couleurs » qui l’escortera jusqu’à Zizhu.

Une nouvelle aventure palpitante de la sublime Alix qui nous permet de retrouver tous les personnages jubilatoires de Conrad et de Wilbur.


L’Ombre du démon

Dans « L’Ombre du démon » et « Le Chemin de l’Inca », Marc Bourgne au dessin et Christian Perrissin au scénario, emmènent Barbe-Rouge et son fils Éric dans une chasse au trésor en Amérique du Sud, produisant une histoire à la tonalité plus sombre et plus adulte, mais toujours respectueuse de l’univers créé par Jean-Michel Charlier et Victor Hubinon. Publiés pour la première fois en intégrale, ces récits sont agrémentés d’une interview des auteurs dans un cahier fourmillant de visuels inédits.


Le Secret d’Elisa Davis

« Le Secret d’Elisa Davis » raconte la vie d’Anny Read avant qu’elle devienne la complice de Barbe-Rouge dans « L’Ombre du Démon ». En s’inspirant des Contrebandiers de Moonfleet, Christian Perrissin et Marc Bourgne signent un récit envoutant où le Démon des Caraïbes s’il est bien présent reste cependant en retrait. Une histoire singulière qui conclut en beauté cette nouvelle édition de « L’Intégrale Barbe-Rouge », tous les albums y étant maintenant regroupés… Et toujours un dossier passionnant de Brieg Haslé-Le Gall, avec une interview des auteurs, des illustrations jamais parues de Dominique Bertail sur la série.


Le Sabre du désert

Au Dahman, le roi Haroun est confronté à la convoitise du Nijaq qui amasse ses troupes aux frontières. C’est le premier mouvement d’une guerre qui menace la stabilité de la région, et que Tanguy et Laverdure vont chercher à empêcher à tout prix. Suite et fin de Diamants de sable, riche d’action et de combats aériens haletants, Le Sabre du désert confirme de façon éclatante la reprise de la série par les scénaristes Frédéric Zumbiehl et Patrice Buendia, et par le dessinateur Sébastien Philippe.


Opération Tonnerre

Dans La Mystérieuse Escadre Delta, Opération Tonnerre et Plan de vol pour l’Enfer, Tanguy et Laverdure sont chassés de l’armée, et doivent accepter de devenir pilote pour la Delta Airways, une compagnie aérienne qui sert de couverture à des opérations de barbouzerie en Afrique. L’immense Jijé décédera en 1980, et c’est Patrice Serres qui achèvera ce triptyque placé sous le signe de l’aventure et scénarisé par un Jean-Michel Charlier toujours au sommet de son art.