L’Histoire des aquarelles

Cet ouvrage réunira les recherches à l’aquarelle de Juanjo Guarnido des trois albums de la série : Quelque part entre les ombres, Arctic-Nation, Âme rouge. Une véritable visite guidée grâce aux commentaires de l’auteur qui permettront au lecteur de découvrir les « petits secrets de fabrication » ! Ce livre, édité en partenariat avec la galerie Christian Desbois qui exposera ces aquarelles au moment de la sortie de l’ouvrage en novembre, sera imprimé au même format que les titres de la série (24 x 32 cm) tout en bénéficiant d’une fabrication soignée.


L’Embuscade

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.

Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin,  » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…

Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.

Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…


L’Ombre du démon

Habituellement, Barbe-Rouge fréquente peu les bibliothèques, mais dans celle de l’université de Coïmbra, il a trouvé quelque chose d’intéressant : un manuscrit qui décrit en détail (et en latin) la cité perdue du Machu Picchu, dernier refuge de l’Inca Atahualpa – et de son trésor royal. Barbe-Rouge ne parle pas le latin, mais pour trouver le fameux Or des Incas, il a de la ressource.

Il embarque donc de manière fort déloyale et clandestine sur le Dauphin, le bateau commandé par son fils Eric, qui est censé déposer aux Marquises un certain d’Alembert, très éminent astronome choisi par le roi pour observer un phénomène qui doit se produire le 28 avril : la rencontre de Vénus et du Soleil.

Barbe-Rouge, indifférent à cette rencontre céleste, tente de convaincre son fils de détourner le bateau vers le Pérou. Mais Eric est fatigué des magouilles de son père. Et puis c’est un honnête homme, qui ne trahirait personne – pas même l’odieux d’Alembert – pour tout l’Or des Incas. S’ensuivent quelques meurtres et une mutinerie orchestrée par Barbe-Rouge…

Dans la grande tradition du genre, Perrissin et Bourgne – qui reprend le dessin de la série avec vigueur et clarté – nous offrent une aventure digne de la légende Barbe-rouge : pleine de bruit et de fureur, épicée de cet humour cynique qui fait le charme du Démon rouge, avec ce qu’il faut de rebondissements, de tempêtes et de calmes plats.


L’Âne en atoll

Le jeune Philémon vit à la campagne et passe son temps à rêver en compagnie de son âne Anatole. Au cours d’une promenade, il rencontre Barthélémy le puisatier qui est à la recherche de son paradis perdu : la lettre A du mot Atlantique. Grâce au vieux Félicien qui sait comment se rendre là-bas, ils partent régulièrement pour ce monde parallèle. Malheureusement les manoeuvres sont parfois approximatives et ils se retrouvent dans d’autres lettres peuplées de curieux personnages.

Cet univers farfelu et merveilleux est imaginé par Fred pour PILOTE en 1965. Son trait imaginatif et nouveau, ses mises en page particulières, ses planches grouillantes de détails insolites, de clins d’oeil, de malices et de trouvailles graphiques ne laissent pas indifférent.


L’Escapade de Cloé

Les aventures de Sylvain et Sylvette, c’est tout un monde. D’abord, il y a les deux héros. Avec leurs petits sabots, leurs gentilles frimousses et leurs délicieuses taches de rousseur.

Au début, ils vivaient avec leur mère. Mais un jour, lors d’une cueillette de champignons, ils se sont égarés dans la forêt. Depuis, ils ont appris l’indépendance et la débrouillardise. Et aujourd’hui, ils mènent une vie paisible à l’abri de leur chaumière. Enfin,  » paisible « , c’est vite dit. Car les quatre Compères ne sont jamais bien loin ! Le renard, le loup, l’ours et le sanglier n’ont de cesse d’entrer chez eux afin de dérober leurs provisions… Heureusement, nos petits amis peuvent compter sur les autres animaux : Cui-cui l’oiseau, Raton le rat blanc, la chèvre Barbichette, l’âne Gris-gris et tous leurs fidèles compagnons…

Dans les albums de Sylvain et Sylvette, Jean-Louis Pesch laisse libre cours à son amour de la nature, figure centrale de ses histoires. Nostalgique de son enfance à la campagne, il met en scène un monde idéal où règne une douce harmonie entre les gens, les bêtes et l’environnement.

Quand il s’arrête de dessiner, il milite au sein d’une association pour la protection des éléphants et des rhinocéros, se bat contre les zoos ou part en guerre contre l’expérimentation animale. Et vit dans un manoir campagnard, entouré de brebis, de chevaux, de chiens, de chats, de poules et d’une chèvre. Une véritable arche de Noé, en somme. À l’image du petit monde de Sylvain et Sylvette, qu’il continue d’animer sans relâche depuis maintenant quarante-cinq ans…


L’École Abracadabra

Inutile de vous le dire, les cours dispensés dans cette école sont un peu incongrus. La matière dominante est la magie et tout ce qui s’ensuit. Longtemps prépubliée dans LE JOURNAL DE MICKEY, cette série humoristique est animée par deux des meilleurs gagmen de la BD.


L’Or et la gloire

Dans A nous la Tortue, Barbe-Rouge et son fils Eric se sont quittés en très mauvais termes, se traitant mutuellement de gibier de potence et de lèche-bottes – Eric, officier du roi, se battant pour la gloire, et Barbe-Rouge continuant de se battre pour l’or malgré sa promesse de renoncer à sa carrière de forban.

Eric a rempli la mission que lui avait confiée le gouverneur de l’île de la Tortue : il a intercepté le San Iago, brick espagnol recèlant dans ses coffres 400 000 piastres en or et en argent. Mais, apprenant par sa majesté Durruti 1er, roi français d’un archipel perdu, que son père projette d’attaquer le fameux convoi d’or de Puerto Bello et risque fort de se retrouver en mauvaise posture, il n’écoute que son coeur et décide de rallier Barbe-Rouge dans la baie de Minas.

En effet, Eric délivrera son père prisonnier des Espagnols dans les cachots de Puerto Bello, mais il ne le fera pas changer d’avis sur l’or et la gloire. Et chacun repartira vers son destin – Eric vers l’île de la Tortue, Barbe-Rouge vers le Brésil.

Aventures explosives, dessin classique et efficace – Ollivier et Gaty renouent avec l’esprit initial de cette série mythique imaginée par Charlier et Hubinon.


L’Ombre du triangle

On retrouve Iouri, Salima, Lé, Judith et leur 4×4 au Vietnam, en mission humanitaire, avec accréditation presque officielle de l’OMS.

En fait, ils sont embauchés par la brigade anti-drogue pour aller voir ce qui se passe du côté du fameux Triangle d’or. La mission est périlleuse, les premières tentatives d’infiltration se sont soldées par des échecs graves. Très graves. Il faut dire que le trafic est juteux : le kilo d’opium est payé 70 dollars au paysan, le kilo d’héroïne qualité « china white » vaut déjà 5 000 dollars à la frontière vietnamienne, et 30 000 quand il arrive à New York, Londres ou Paris. Inutile de dire que les trafiquants du coin n’ont pas envie de se faire avoir par quatre zigotos.

Mais les zigotos en question n’ont peur de rien et se montrent plutôt futés. Si bien qu’à leur retour en France, ils livrent à leurs employeurs une trouvaille de choix : un agenda électronique avec une foule d’adresses dans le monde entier. Un coup de maître. A un détail près : il n’y a pas une seule adresse en France…

Une aventure haletante dans le décor magnifique du Vietnam, une virée tout à fait intéressante dans les tours du XIIIe arrondissement de Paris – l’ombre du triangle – et un reportage passionnant sur les us et coutumes en vigueur dans le trafic de la drogue. Le tout raconté en images fortes, avec romanesque et humour, comme toujours. Et puis, l’amitié étant un moteur essentiel de cette série nominée à Angoulême, tout finit par un couscous chez l’oncle Ahmed…


L’Outlaw

Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres.

Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.


L’Orphelin des étoiles

La saga mouvementée de la famille Noland, imaginée dans les années quatre-vingt par Franz et Pecqueur, a fait l’objet d’une réédition agrémentée d’un cinquième volet inédit.