La Belle et le Bête

Le chien le plus stupide de l’Ouest a enfin sa propre bande. Il fut créée le 4 février 1960 en première planche de  » Sur la piste des Dalton « . On le retrouve dans ses aventures avec La Mascotte et Le Parrain.


Le Pont sur le Mississippi

Jusqu’en 1868, les trains et les caravanes voulant passer les Etats-Unis d’Ouest en est, ou d’est en ouest, se heurtent à un obstacle de taille : le Mississipi.

Pour le franchir à Saint-Louis, les voyageurs sont systématiquement rackettés par les frères Cayman, propriétaires des bacs, des hôtels et des bars.

Buchanan Eads, ingénieur passionné, a obtenu du congres de construire un pont reliant les deux rives du Mississipi. Les interruptions de travaux se multiplient sous l’impulsion des frères Cayman.

Grâce à Luke les travaux reprennent.

Pour défendre leurs intérêts, les frères Cayman suscitent : incendies, rébellion du personnel, mise au arrêts des ouvrier qualifies (avec la complicité du shérif ami). Ils empêchent l’approvisionnement du chantier en bois de construction. Ils ébranlent les piles du pont en faisant croire que les dégâts sont dus à des icebergs (A la solde des frères Cayman, le MISSOURI REPUBLICAIN titrera : Des icebergs en juin ! Il n’y a plus de saison.). Ils font stationner sous le pont, un bateau-vapeur dont la chaudière est poussée à fond. Les scories incandescentes sortant de la cheminée feront fuir les ouvrier et mettrons le feu au tablier du pont.

Malgré les actes criminels des deux frères, et grâce à Lucky Luke, le pont est inauguré en grande pompes, 4 juillet 1874, par le président Ullysse S.GRANT.

N.B : Cette histoire repose sur des faits véridiques. Le pont construit par James Eads a bien été inauguré le 4 juillet 1874.


Le Grand Voyage

Dans cette onzième aventure éditée par Lucky Production, Rantanplan tient une fois de plus, le haut de l’affiche avec son incorrigible bêtise et son insatiable appétit.

Comme très souvent avec lui, c’est la grain de sable dans la machine qui fait que tout dérape.une petite promenade aux abords du pénitencier, une course-poursuite après un agile crotale et voilà notre cher Rantanplan perdu.

Au fil des pages, sa bonne truffe et son air brave lui font côtoyer des maîtres plus sympathiques les uns que les autres, mais qui, malheureusement, se débarrassent très vite de ce chien au comportement peu orthodoxe.

Ainsi, ses pérégrinations l’amènent à voyager dans de nombreuses villes, dont Paris où il devient « Gérard Dupont », chien de race du comte Bloquay, illustre organisateur de concours canins.il rencontre aussi deux célèbre garçons, Tom Sawyer et Oliver Twist.

Un album idéal à lire en vacances pour partager les péripéties de ce chien à l’estomac ultra-dilaté et au cerveau plus que maigrelet !


La Ballade des Dalton et autres histoires

Ce personnage immortel parcourt depuis 1947 (44 ans !) l’histoire de l’ouest américain. Il y a rencontré des personnages célèbres (Jesse James, Calamity Jane, Billy the Kid, Sarah Bernhardt…). Lucky Luke est l’homme des missions impossibles, le défenseur des pauvres, des veuves et des orphelins, bref le parfait héros ! Son cheval, Jolly Jumper, est un parfait compagnon de ce « poor lonesome cowboy ». Les frères Dalton se dressent perpétuellement sur le chemin de Lucky Luke ce qui permet à ce dernier de les poursuivre continuellement et de les confier à la justice. Autre personnage traditionnel de la série : Rantanplan, le chien le plus bête du farwest qui a vécut de façon autonome 2 albums.

Lucky Luke est, avec Astérix et Tintin, le plus célèbre personnage de l’histoire de la BD : cette série, accessible à tous, est devenu un mythe grâce à Morris et Goscinny. Ce personnage a fait l’essentiel de sa formidable carrière dans les pages de SPIROU, PILOTE et LE JOURNAL DE LUCKY LUKE. Une exploitation merchandising et audiovisuelle (dont aux États-Unis) a permis d’introduire Lucky Luke auprès d’une très large couche de la population et auprès de plusieurs générations de lecteurs. A noter qu’après la disparition de Goscinny, plusieurs scénaristes ont travaillé sur la série : Vicq, De Groot, Fauche et Léturgie, Lodewijk, Lo Hartog Van Banda et Vidal. L’essentiel des albums se trouvent chez Dupuis et Dargaud., la nouveauté chez Lucky Productions.


Les Cerveaux

Les deux savants Frank et Stein ont besoin de cobayes pour tester leur dragée qui rend intelligent. Qui d’autre pourrait mieux faire l’affaire que les deux créatures les plus stupides de l’Ouest, autrement dit Averell et Rantanplan ? Peu après avoir été enlevé, le Dalton et l’animal commencent le traitement. Et l’inimaginable se produit : ils deviennent réellement très intelligent. Après avoir beaucoup discuté, les deux cerveaux mettent leur nouvelle intelligence au profit du mal. Et cette fois, ça risque de faire mal !


La Mascotte

Le 7ème de cavalerie, avait comme mascotte un chien nommé Fifi VI. Quand Fifi VI disparut le colonel ainsi que tous ses hommes sont dans tout leurs états et cherche le chien partout, car chaque fois qu’il ont été privés de mascotte, les pires calamités se sont abattues sur le régiment. Ils leur faut trouver au plus vite une autre mascotte et c’est ainsi qu’ils vont chercher Rantanplan au pénitencier. Le directeur leur conseil d’amener également Pavlov, le gardien qui s’en occupe, car Rantanplan est un chien aux réactions imprévisibles. La cavalerie passe la nuit à la belle étoile et confie la garde à Rantanplan, mais celui-ci dort tellement profondément qu’il n’entend pas les bandits qui dévalisent la cavalerie et la ligote. Il ne comprend pas non plus qu’il faudrait libérer les hommes. Il prend en chasse un lapin qu’il prend pour un renard et les hommes le suivent pensant qu’il a trouvé un raccourci. Ce n’est qu’une semaine plus tard que les hommes du régiment arrivent au fort, car Rantanplan les a complètement perdus. Le fournisseur en tous genre, M.Turner, qui avait fait disparaître Fifi VI, n’a qu’une idée en tête, c’est d’éliminer Rantanplan, mais ce dernier trouve que le fournisseur est fort sympathique et le suit. Turner mélange un somnifère puissant à la boite pour chien, mais c’est le colonel, en voulant donner la nourriture à la cueillere à Rantanplan qui s’empoisonne et s’évanouit. Rantanplan pour lui faire reprendre ses esprits ouvre le robinet du tonneau de rhum et fait ruisseler le rhum sur le colonel.

Le colonel veut aller inspecter les environs avec la mascotte à cause des indiens mais Rantanplan tombe dans un ravin et est incapable de retrouver le chemin. C’est assoiffé que les indiens le trouve à deux pas de la rivière. Au village des indiens Rantanplan aperçoit une araignée et de peur saute sur le totem. Les indiens sont alors convaincu que Rantanplan est le fils du grand Manitou et ils le dorlotent. Ils le prennent avec eux pour la chasse aux bisons, mais c’est la catastrophe. Rantanplan s’y prend tellement mal que le troupeau de bisons dévaste le village indien. Le fournisseur Turner passe chez les indiens et quand il jette se côtelette Rantanplan la rattrape et l’enterre au pied du poteau. Seulement en creusant un trou il déterre la hache de guerre. Quand il aperçoit le président qui sort de la diligence au même moment il comprend encore de travers et saute dans la diligence qui le ramène au fort. Les indiens attaquent le fort car ils veulent récupérer le fils du grand Manitou. La cavalerie et les indiens tombent d’accord pour jouer Rantanplan au poker, et c’est l’indien qui gagne. Rantanplan retrouve le président ligoté chez les indiens et le détache. Le président compte sur le chien pour le ramener au fort, mais Rantanplan le ramène tout droit chez les indiens. Heureusement que la cavalerie est là et il rejoue Rantanplan au poker. Suite à la tricherie du colonel une bagarre éclate, mais quand ils voient Rantanplan enterrer la hache de guerre, qu’il prend d’ailleurs pour un os, tout le monde se réconcilie. C’est alors que Turner prend en otage Rantanplan mais celui-ci dans un élan d’affection lui fait perdre l’équilibre. Turner avoue alors que pour sauver son commerce il voulait empêcher la signature du traité de paix et qu’il à donc enlevé Fifi VI. Fifi VI redevient alors la mascotte du régiment et Rantanplan retourne dormir au pénitencier.


Le Chameau

En 1855, sous l’impulsion du sénateur Jefferson Davis, la cavalerie U.S. conduit une expérience originale : remplacer les chevaux par des chameaux (*) dans les zones les plus arides de l’ouest américain.

Les cavaliers ne parviennent pas à s’habituer à cette nouvelle monture, et réciproquement. L’expérience est donc abandonnée.

Trente ans plus tard, l’administration affecte le dernier chameau survivant au pénitencier où « travaille » Rantanplan.

Flanqué de ce dernier, Pavlov est chargé de se rendre au Fort de Yuma pour prendre possession de l’animal.

Après un voyage tumultueux, Rantanplan et Pavlov font connaissance avec le chameau « Patchouli ». sa puissante odeur et son caractère ombrageux compliquent singulièrement la mission de nos deux héros. Ils finiront pourtant par s’y attacher d’autant que, grâce a lui, ils survivront au redoutable désert de la mort. Il n’en seront pas pour autant tirés d’affaire : Arizona John, machiavélique imprésario de Buffalo Bill, séquestrera nos amis pour offrir à des publics enthousiastes le numéro hautement comique de Rantanplan et Patchouli.

Dans cet album, Xavier Fauche-Eric Adam au scénario et Michel Janvier au dessin, donnent à Rantanplan un faire valoir à la mesure de sa légendaire et sympathique bêtise !

(*)Source : Camels in America by Albert II, Greenly. New York. The bibliographical Society of America 1952.


Le Fugitif

Le chien le plus stupide de l’Ouest a enfin sa propre bande. Il fut créée le 4 février 1960 en première planche de  » Sur la piste des Dalton « . On le retrouve dans ses aventures avec La Mascotte et Le Parrain.


Le Magot des Dalton

Ce personnage immortel parcourt depuis 1947 (44 ans !) l’histoire de l’ouest américain. Il y a rencontré des personnages célèbres (Jesse James, Calamity Jane, Billy the Kid, Sarah Bernhardt…). Lucky Luke est l’homme des missions impossibles, le défenseur des pauvres, des veuves et des orphelins, bref le parfait héros ! Son cheval, Jolly Jumper, est un parfait compagnon de ce « poor lonesome cowboy ». Les frères Dalton se dressent perpétuellement sur le chemin de Lucky Luke ce qui permet à ce dernier de les poursuivre continuellement et de les confier à la justice. Autre personnage traditionnel de la série : Rantanplan, le chien le plus bête du farwest qui a vécut de façon autonome 2 albums.

Lucky Luke est, avec Astérix et Tintin, le plus célèbre personnage de l’histoire de la BD : cette série, accessible à tous, est devenu un mythe grâce à Morris et Goscinny. Ce personnage a fait l’essentiel de sa formidable carrière dans les pages de SPIROU, PILOTE et LE JOURNAL DE LUCKY LUKE. Une exploitation merchandising et audiovisuelle (dont aux États-Unis) a permis d’introduire Lucky Luke auprès d’une très large couche de la population et auprès de plusieurs générations de lecteurs. A noter qu’après la disparition de Goscinny, plusieurs scénaristes ont travaillé sur la série : Vicq, De Groot, Fauche et Léturgie, Lodewijk, Lo Hartog Van Banda et Vidal. L’essentiel des albums se trouvent chez Dupuis et Dargaud., la nouveauté chez Lucky Productions.


La Guérison des Dalton

Ce personnage immortel parcourt depuis 1947 (44 ans !) l’histoire de l’ouest américain. Il y a rencontré des personnages célèbres (Jesse James, Calamity Jane, Billy the Kid, Sarah Bernhardt…). Lucky Luke est l’homme des missions impossibles, le défenseur des pauvres, des veuves et des orphelins, bref le parfait héros ! Son cheval, Jolly Jumper, est un parfait compagnon de ce « poor lonesome cowboy ». Les frères Dalton se dressent perpétuellement sur le chemin de Lucky Luke ce qui permet à ce dernier de les poursuivre continuellement et de les confier à la justice. Autre personnage traditionnel de la série : Rantanplan, le chien le plus bête du farwest qui a vécut de façon autonome 2 albums.

Lucky Luke est, avec Astérix et Tintin, le plus célèbre personnage de l’histoire de la BD : cette série, accessible à tous, est devenu un mythe grâce à Morris et Goscinny. Ce personnage a fait l’essentiel de sa formidable carrière dans les pages de SPIROU, PILOTE et LE JOURNAL DE LUCKY LUKE. Une exploitation merchandising et audiovisuelle (dont aux États-Unis) a permis d’introduire Lucky Luke auprès d’une très large couche de la population et auprès de plusieurs générations de lecteurs. A noter qu’après la disparition de Goscinny, plusieurs scénaristes ont travaillé sur la série : Vicq, De Groot, Fauche et Léturgie, Lodewijk, Lo Hartog Van Banda et Vidal. L’essentiel des albums se trouvent chez Dupuis et Dargaud., la nouveauté chez Lucky Productions.