Un nouveau client, nommé Warren Bullett, contacte Tony afin que ce dernier retrouve la trace de son fils disparu du côté du Bélize en Amérique Centrale. Petit détail : Sa progéniture est partie avec son conseiller financier, entraînant du même coup la disparition d’une somme rondelette. Pour Bullett, les investissements offshore se révèlent bien compliqués à récupérer !
C’est un Olivier Berlion inspiré que l’on retrouve aux manettes de cette série qui a su séduire rapidement ses lecteurs.
L’extraordinaire périple de Kim se poursuit sur la planète Bételgeuse. Captivantes de bout en bout, ses aventures sont devenues une référence de la BD de SF.
Pas de doute sur le contenu de cette série : nous sommes bien dans un genre policier ! Cliff Burton, sujet britannique, retrouve sur son chemin cadavres et autres réjouissances de ce type qui font toute la saveur et le charme de cette série ! Les amateurs du genre y découvre les sombres affaires de Scotland Yard, le brouillard londonien, les sinistres quartiers du bord de la Tamise, les « exploits » de Jack l’éventreur… Un suspense sanglant, de l’humour, un dessin efficace et le charme très british des scénarios de Rodolphe.
À noter que c’est le dessinateur Michel Durand qui a repris la série en cours à partir du 3ème titre (Les Dormeurs de Fleetwood).À partir de Catman, cette série a changé de format (grand format)et a bénéficié d’une nouvelle maquette mettant en évidence les prouesses graphiques de Durand.
John Forster est un jeune Américain tout ce qu’il y a de « normal », moderne et socialement florissant. Il est seulement victime d’une phobie de l’orage qu’il ne s’explique pas, jusqu’au jour où, hypnotisé par un toubib de rencontre, il développe une première vision qui, sous forme d’hallucinations répétées, va envahir son existence : il est un autre – un certain John Wilcroft, amoureux de Mary Hopkins, dans le New York du début de ce siècle. Ce John Wilcroft vit un drame : son père, une grosse fortune du pays, s’oppose à son mariage. Dans ses visions, il retrouve Mary pendue dans le Dock 21, sous l’orage, et la suit dans la mort.
A-t-il été ce John Wilcroft ? En tout cas, fasciné par le destin de son double, il mène une enquête serrée qui confirme ses visions et finit par gêner certaines personnes – bien vivantes, elles, et apparemment très concernées par ce passé trouble.
Un thriller remarquablement mené, où se mèlent la vie moderne et l’amour romantique, dans un double décor : le New York 1992, très « clean », tout en verre et acier, et les rives sinistres de l’Hudson en ce début du siècle.
Petit flash-back : Jack Forster est un jeune Américain sans problèmes, jusqu’au jour où il est pris de visions dans lesquelles il endosse la peau d’un autre : John Wilcroft, mort au début du siècle. Perturbé par ce double envahissant, il se lance dans une enquête qui finit par gêner les personnes concernées par ce mystérieux passé.
Interné de force par ses ennemis invisibles, il s’évade de l’hôpital psychiatrique grâce au docteur Boogie et coule des jours heureux dans la maison de ce dernier, sur la plage de Brigelow. Le voilà donc occupé à se prélasser au soleil, quand ses mystérieux adversaires se manifestent assez violemment. Dieu merci, il a un ange gardien, un drôle de type qui, pour le protéger, n’y va pas non plus avec le dos de la cuillere. On peut même dire qu’il fait un carnage.
Mais voilà que Jack Forster est à nouveau victime de cauchemars récurrents : il vit cette fois l’agonie de Jim, un gamin qui lutte contre la typhoïde un siècle plus tôt. Qui est-il? Jack, John ou Jim ? La malédiction prendra-t-elle fin un jour ? Nous le saurons peut-être dans le prochain épisode de ce thriller fantastique haletant qui, décidément, met le lecteur sur les nerfs…
Après la sortie de Lacolline aux yeux de Buick, nous retrouvons Jack Forster, un américain fortuné qui découvre peu à peu son « autre » existence. Schizophrénie ? sans doute ? sans doute pas. Apprendra-t-il qui il est vraiment ? La réponse sera livrée dans cet épisode qui clôt cette passionante série.
Ce nouveau tome voit le grand retour de Jean-Louis Pesch pour un récit complet de 88 pages qui entremêle deux histoires distinctes. En effet, alors que Sylvain et Sylvette partent pour un long voyage en Afrique qui les verra traquer le trésor d’un pirate, Basile le jeune ourson est enlevé par un cirque alors que l’hiver fait rage dans la forêt et pour une fois ce sont les compères qui feront une bonne action.
Cet album double de 88 pages est un merveilleux conte de Noël mettant en scène toute la magie et les animaux de l’univers fascinant de Sylvain et Sylvette.
Quand deux jeunes filles de province débarquent dans le Paris des années 30 pour chercher du travail, elles n’ont pas l’embarras du choix : elles deviennent bonnes à tout faire dans la haute société. C’est le lot d’Agathe et de Blanche, deux soeurs qui astiquent, lavent et récurent chez une patronne très comme il faut.
Autant Agathe est légère et insouciante, autant Blanche est prude et timide. Et quand sa soeur va guincher sur les bords de Marne à la recherche du prince charmant, Blanche l’attend dans leur chambre nichée sous les toits.
Une nuit, Blanche entend des bruits bizarres dans une pièce de l’immeuble mitoyen – chose étrange, le dit immeuble étant muré pour insalubrité. Curieuse comme pas deux, elle creuse un trou pour en savoir plus. Et découvre une scène horrible : une fille mutilée réduite à l’état de macchabée. Et si c’était un nouveau crime du sinistre «~Boucher des guinguettes~»~? A son retour, elle en parle à sa soeur. Mais Agathe a tout juste le temps de glisser un oeil à son tour avant de recevoir une balle… «~Suicide~», dit la police. Puisque c’est comme ça, Blanche mènera l’enquête toute seule.
Et voilà comment elle se fait engager dans une «~maison de joie~», le Pompadour, où elle est chargée des clients un peu spéciaux. Au moins, elle ne perdra pas sa chère virginité…
Enfin un nouveau cycle des Eternels ! En deux tomes (le second paraîtra en octobre), Yann nous emporte au coeur du Canada, dans cette contrée sauvage où la divine Uma va devoir récupérer une mallette pleine de diamants, perdue dans un crash aérien. Mais entre les tempêtes de neige, une horde de mafieux, des indiens révoltés, la balade en motoneige se transformera très vite en cauchemar. A noter que la première édition de l’album comprendra un cahier sexy et un poster exclusif de la belle Uma merveilleusement croquée par Félix Meynet.