Entre le skateur qui veut bitumer les plus beaux sites naturels, le savant fou voleur de personnalité, la clown maquilleuse qui fait rire jaune, la voleuse d’océan et la scientifique capable de contrôler les plantes, les Totally Spies ! ont encore beaucoup à faire dans ce quatrième tome de l’adaptation de la saison 6 de la célébrissime série animée !
D’autant que Mandy, Trent et les Dean sont toujours à l’affût et guettent la moindre occasion pour empoisonner la vie de Sam, Clover et Alex à l’université.
Heureusement, elles peuvent compter sur les gadgets du Woohp (World Office Of Human Protection) et le soutien de Jerry pour mener à bien leurs missions !
En ces années 1990, l’union soviétique s’est effondrée. La Russie, jetée en pâture au capitalisme sauvage, est en pleine décomposition. Dans ce monde sans foi ni loi, on se débrouille comme on peut, on monnaye ce que l’on trouve, et les destins se forgent à coups d’escroqueries et de trahisons.
Dans ce troisième et dernier tome, Lavrine est devenu un homme riche, mais seul. Car Slava, son ami de toujours, est resté auprès de Nina. Ouvrier le jour, peintre la nuit, Slava l’aide à maintenir à flots la mine qu’ils ont sauvé de la convoitise des oligarques. Mais dans le vaste foutoir qu’est l’économie russe, ce n’est pas si simple. Surtout quand on est plus artiste que mineur, qu’on a grandi selon les préceptes communistes, et qu’on ignore tout de l’économie de marché.
Dans un récit où le comique ouvre la porte au tragique, Pierre-Henry Gomont esquisse la destinée d’un peuple confronté à la furie de l’histoire. Ses personnages, épiques et profondément humains, éprouvent la difficulté qu’il y a à se tenir droit dans une époque tourmentée. Ils n’aspirent pas à autre chose qu’à continuer : continuer à vivre, à être ensemble, à s’aimer et même, à peindre.
1874. États-Unis d’Amérique, Washington. May Dodd est incarcérée de force par les siens dans un institut spécialisé dans les déficiences mentales et les troubles psychologiques.
Son tort : vivre avec un homme en union libre, contre l’avis de son père et de sa puissante famille.
Pour échapper à son supplice et à la violence sourde d’un enfermement qui la tue à petit feu, May accepte de participer à un programme gouvernemental qui prévoit l’échange de mille femmes blanches contre mille chevaux pour favoriser l’intégration des descendants de la nation Cheyenne dans la société américaine.
Les femmes qui se porteront volontaires quitteront l’institut et s’embarqueront pour un voyage aux confins du monde dit « civilisé », dans le but de fonder un foyer et de donner un à leur nouvel époux au moins un enfant
A nouveau libre, May commence sa nouvelle en consignant ses pensées et ses états d’âmes dans un carnet, puissant témoignage des étapes de son périple humain, intellectuel et sensoriel au sein de la nation Cheyenne, fière, brave, et humaine avant tout.
Adapté d’un livre de Jim Fergus, récompensé en 2000 par le Prix du premier roman étranger, Mille Femmes blanches est subtilement mis en scène, à partir d’un scénario de
Lylian, majestueusement dessiné par Anaïs Bernabé et teinté des couleurs fines et
précises d’Hugo Poupelin.
C’est un cri d’amour et de liberté – celle des femmes comme celle des peuples natifs – mais aussi une ode à la nature et un plaidoyer pour le respect de la vie sous toutes ses formes.
Année 2122, Espagne.
Azabache est une ex-taularde reconvertie en chanteuse de copla (quand elle ne joue pas les filles de l’air). Elle va se retrouver malgré elle embarquée sur la piste d’un tueur en série.
Ces meurtres ne seraient que le sommet de l’iceberg d’une conspiration au-delà des propres cauchemars de la jeune femme.
C’est en plongeant dans la psyché des victimes et dans son propre passé qu’Azabache découvrira la vérité !
Passé le choc de la découverte de la Cité Ancienne, Mycène et Roch s’installent au coeur de celle-ci pour poursuivre leur exploration.
Pendant que Mycène parcourt les quartiers un à un, Roch continue la traduction des textes antiques et ses recherches pour trouver l’antidote des Ombres. Roch, désireux de rejoindre Mycène sur le terrain pour l’aider à trouver des indices concernant leur quête, décide de partir avec elle dans les bâtisses proches du haut mur de la Cité… Derrière l’infranchissable muraille se cachent cercueils et golem ! Les deux protagonistes enchaînent révélation macabre sur surprise explosive autour de ce mal ancestral…
DÉCOUVREZ L’HISTOIRE DE CE MOUVEMENT MUSICAL QUI FAIT DU BRUIT !
À la fin des seventies, dans les pubs et arrière-salles du monde anglo-saxon, une musique provocatrice et rebelle encore jamais entendue déferlait sur le conformisme d’alors, dynamitant convenances et bon goût. Le punk rock venait de surgir – et personne ne sortirait d’ici vivant !
De ce tsunami, il subsiste aujourd’hui davantage qu’un son et une énergie : une manière radicale de vivre et penser, qui continue à séduire les esprits libres.
En images et en mots, redécouvrons l’histoire passionnante de cette révolution musicale, aussi mémorable qu’elle a été fulgurante.
Découvrez l’édition intégrale Momie x Petit à Petit de RIP :
– Tirage à 1500 exemplaires
– Couverture alternative
– Edition recolorisée en Noir et Jaune
Il s’agit de la deuxième intégrale RIP comprenant les 3 derniers tomes. La première intégrale est toujours disponible en venteici
C’est encore moi le Dédé et j’m’en va te présenter les trois marioles de ce volume 2.
Y a le petit Albert, il ne ferait pas de mal à une mouche, à condition de rendre l’âme sœur. La jolie barmaid, c’est Fanette. Elle compte les mouches dans ce bar miteux où elle se sent mal dans la peau des autres. Et enfin y a Eugène, le costaud qui prend la mouche pour rien, mais heureusement, toutes les bonnes choses ont une fin.
Ici, dans RIP, rien n’est ni tout noir, ni tout blanc et y a pas de quoi en rire… ou jaune peut-être !
1874. États-Unis d’Amérique, Washington. May Dodd est incarcérée de force par les siens dans un institut spécialisé dans les déficiences mentales et les troubles psychologiques.
Son tort : vivre avec un homme en union libre, contre l’avis de son père et de sa puissante famille.
Pour échapper à son supplice et à la violence sourde d’un enfermement qui la tue à petit feu, May accepte de participer à un programme gouvernemental qui prévoit l’échange de mille femmes blanches contre mille chevaux pour favoriser l’intégration des descendants de la nation Cheyenne dans la société américaine.
Les femmes qui se porteront volontaires quitteront l’institut et s’embarqueront pour un voyage aux confins du monde dit « civilisé », dans le but de fonder un foyer et de donner un à leur nouvel époux au moins un enfant
A nouveau libre, May commence sa nouvelle en consignant ses pensées et ses états d’âmes dans un carnet, puissant témoignage des étapes de son périple humain, intellectuel et sensoriel au sein de la nation Cheyenne, fière, brave, et humaine avant tout.
Adapté d’un livre de Jim Fergus, récompensé en 2000 par le Prix du premier roman étranger, Mille Femmes blanches est subtilement mis en scène, à partir d’un scénario de
Lylian, majestueusement dessiné par Anaïs Bernabé et teinté des couleurs fines et
précises d’Hugo Poupelin.
C’est un cri d’amour et de liberté – celle des femmes comme celle des peuples natifs – mais aussi une ode à la nature et un plaidoyer pour le respect de la vie sous toutes ses formes.
En ces années 1990, l’union soviétique s’est effondrée. La Russie, jetée en pâture au capitalisme sauvage, est en pleine décomposition. Dans ce monde sans foi ni loi, on se débrouille comme on peut, on monnaye ce que l’on trouve, et les destins se forgent à coups d’escroqueries et de trahisons.
Dans ce troisième et dernier tome, Lavrine est devenu un homme riche, mais seul. Car Slava, son ami de toujours, est resté auprès de Nina. Ouvrier le jour, peintre la nuit, Slava l’aide à maintenir à flots la mine qu’ils ont sauvé de la convoitise des oligarques. Mais dans le vaste foutoir qu’est l’économie russe, ce n’est pas si simple. Surtout quand on est plus artiste que mineur, qu’on a grandi selon les préceptes communistes, et qu’on ignore tout de l’économie de marché.
Dans un récit où le comique ouvre la porte au tragique, Pierre-Henry Gomont esquisse la destinée d’un peuple confronté à la furie de l’histoire. Ses personnages, épiques et profondément humains, éprouvent la difficulté qu’il y a à se tenir droit dans une époque tourmentée. Ils n’aspirent pas à autre chose qu’à continuer : continuer à vivre, à être ensemble, à s’aimer et même, à peindre.
Entre le skateur qui veut bitumer les plus beaux sites naturels, le savant fou voleur de personnalité, la clown maquilleuse qui fait rire jaune, la voleuse d’océan et la scientifique capable de contrôler les plantes, les Totally Spies ! ont encore beaucoup à faire dans ce quatrième tome de l’adaptation de la saison 6 de la célébrissime série animée !
D’autant que Mandy, Trent et les Dean sont toujours à l’affût et guettent la moindre occasion pour empoisonner la vie de Sam, Clover et Alex à l’université.
Heureusement, elles peuvent compter sur les gadgets du Woohp (World Office Of Human Protection) et le soutien de Jerry pour mener à bien leurs missions !