Le Brouillard pourpre

Une adolescente de 14 ans, He Pao, assiste au massacre de ses parents adoptifs par Yu Kong, un fils de bourgeois qui a subitement sombré dans la démence. Cachée sous des vêtements masculins et décidée à retrouver et à punir l’assassin, elle se met à parcourir seule les routes de la Chine médiévale du XIIème siècle. Hébergée quelques temps par des nonnes, elle finit par retrouver Yu Kong devenu disciple du Moine Fou. He Pao, fascinée par ce moine, décide de découvrir ses secrets. L’adolescente grandit et avec elle le désir de percer le mystère de sa petite enfance.

Vink raconte et illustre avec brio l’histoire de ce personnage complexe, original et indépendant qui refuse de s’intégrer aux différentes sociétés rencontrées au cours de ses aventures. Le dessin aux couleurs de pastel, tout de suite reconnaissable, fait surgir avec chaleur et exotisme une Chine mystérieuse, peuplée de brigands sauvages, de religieux fanatiques, de nobles oisifs et de pauvres paysans. C’est en 1984, dans les pages de CHARLIE MENSUEL qu’a été crée cette série.


Les Ogres

Après avoir maté la révolte des objets dans Hop Frog, Hiram Lowatt se trouve confronté à un juge intraitable aux prises avec une tribu d’Indiens anthropophages, les « Coeurs-de-bête ». Une histoire « fantastique » de David B (Alph’Art du Meilleur Scénario Angoulême 2000) magnifiée par le trait sauvage et acéré du virtuose Christophe Blain (Alph’Art coup de coeur Angoulême 2000).


La Malle aux Sortilèges

Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres.

Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.


Le Désert des fous

Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres.

Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.


Les Collines de la peur

Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres.

Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.


Le Canyon du diable

Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier parmi les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer la dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres.
Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel Lucky Luke que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans Tintin, Pilote et Charlie Mensuel.


Le Triomphe de Mac Coy

Alexis Mac Coy porte l’uniforme gris de l’armée des Confédérés. Fait prisonnier par les nordistes, il est réhabilité à la fin de la guerre et, en raison de son courage, nommé sergent-major à Fort Apache où il retrouve son vieux copain Charley. Mac Coy fait la guerre, se conduit parfois en héros, mais ce qu’il préfère finalement, c’est siroter une bonne bouteille au calme. Il tente toujours d’entamer le dialogue plutôt que de foncer tête baissée et d’obéir aveuglement aux ordres.

Avec son visage de jeune premier, le lieutenant Mac Coy est un personnage très nuancé. C’est dans le mensuel LUCKY LUKE que sont publiées pour la première fois les aventures de Mac Coy (1974) avant de paraître dans TINTIN, PILOTE et CHARLIE MENSUEL.


Les Jolis Pieds de Florence

Les copains, le boulot, les amours. Surtout les amours.

Côté boulot, Jérémie (une sorte de Duduche 2003) oeuvre chez Concept Video Games. Jean-Jacques rame dans la BD et Sandrine vend des viennoiseries au métro Robespierre. Et puis il y a Florence, qui tient l’accueil de Concept Video Games.

Côté amour, par un dimanche de pluie, Florence aborde Jérémie. Ça le trouble affreusement, car Florence a un truc qui le rend fou : ses pieds. Et aussi ses fesses quand elle se penche pour ranger des dossiers, mais surtout ses pieds.

Pourtant, rien n’est simple. Florence veut et Jérémie voudrait, mais Jérémie se noie dans ses maladresses pathétiques, jusqu’au moment où, enfin, il atterrit mort de trouille dans le lit de Florence. Et pourquoi voulait-elle tant sortir avec lui ? Parce qu’il est gentil et rigolo, et donc, capable de comprendre si elle lui dit qu’elle est frigide. Gros moment d’émotion : Jérémie ne sait pas ce que ça veut dire. Alors elle lui explique.

Désormais lancé dans la quête laborieuse de l’orgasme — Florence aimerait mieux qu’il la lâche, avec ses orgasmes —, Jérémie s’en va consulter le Pr Ollambébé, grand marabout de Barbès. Lequel gentil marabout lui livre une recette formidable, mais incomplète pour cause de descente de police assez brutale. (Ce qui nous vaudra une merveilleuse fin d’épisode.)

Il y a les amours des autres, aussi. Trop rapides pour Jean-Jacques ( » On a à peine parlé deux mots et paf « ) et jetables pour Sandrine ( » C’est ma faute, t’es génial, on reste amis « ), mais toujours touchantes.

Si on ajoute les galères de boulot, le hip-hop et les castagnes, on a le portrait d’une génération qui, comme les précédentes — mais avec son propre langage, hilarant de vérité — patauge dans la méthode  » erreurs et tâtonnements « . Le tout porté par un dessin craquant et un humour aussi percutant que sensible.

Si bien que Riad Sattouf (copain d’atelier de Sfar et Blain, lauréat du Prix Découverte au festival de Chambéry) confirme son talent avec une série qui s’annonce particulièrement novatrice et attachante.


Le Col du vent

Une adolescente de 14 ans, He Pao, assiste au massacre de ses parents adoptifs par Yu Kong, un fils de bourgeois qui a subitement sombré dans la démence. Cachée sous des vêtements masculins et décidée à retrouver et à punir l’assassin, elle se met à parcourir seule les routes de la Chine médiévale du XIIème siècle. Hébergée quelques temps par des nonnes, elle finit par retrouver Yu Kong devenu disciple du Moine Fou. He Pao, fascinée par ce moine, décide de découvrir ses secrets. L’adolescente grandit et avec elle le désir de percer le mystère de sa petite enfance.

Vink raconte et illustre avec brio l’histoire de ce personnage complexe, original et indépendant qui refuse de s’intégrer aux différentes sociétés rencontrées au cours de ses aventures. Le dessin aux couleurs de pastel, tout de suite reconnaissable, fait surgir avec chaleur et exotisme une Chine mystérieuse, peuplée de brigands sauvages, de religieux fanatiques, de nobles oisifs et de pauvres paysans. C’est en 1984, dans les pages de CHARLIE MENSUEL qu’a été crée cette série.


La Jungle en folie – Intégrale – tome 3

C’est  » la Crise  » dans le petit monde de la  » Jungle en Folie « … Une crise de rire en découvrant les trois albums réunis dans ce troisième volume d’un classique de la série animalière humoristique. Une vache maigre, et pas vraiment folle, et Perrette affrontant le grand méchant Loulou figurent également au coeur de cette nouvelle série de gags.