Où l’on retrouve le môme Soupetard, (7 ans, blond comme les blés, complètement craquant) en vacances chez les éléveurs de moules, avec sa soeur à lunettes qui essaie de vamper l’affreux Millemouches.
Le petit port est en effervescence : il est arrivé malheur à Gabriel, on a retrouvé son chien tout seul sur la barque. Aussitôt, à l’Auberge des pêcheurs, les légendes remontent : le fantôme de l’Irlandais et le trésor qui va avec…..D’autant plus qu’on retrouve un 2ème cadavre enlisé dans la valse. Et puis il y la boucholeuse – la femme d’Anatole, morte depuis longtemps. Personne ne l’a oubliée et surtout pas Anatole l’inconsolable, qui vit en ermite quelque part sur la côte.
Soupetard mène son enquête à hauteur de gosse, avec ses trouilles et ses grands courages. Et finalement, tout s’arrangera, les faux fantômes et les vrais chagrins. On fêtera le 14 juillet et, les vacances finies, Soupetard retrouvera son lapin Cerfeuil, occupé à ronger une vieille photo – le dernier souvenir de la boucholeuse…
Corbeyran et Berlion nous donnent du mystère, de la tendresse et le parfum vrai de l’enfance. Tout sonne sensible et juste : les ambiances du petit port, les complicités de mômes et le temps des vacances – de nos vacances quand on avait 7 ans et qu’on n’avait pas le temps de s’ennuyer.
Les Contrebandiers de l’Atome
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure.
Dernier Convoi pour l’Orégon
Jonathan Cartland n’est qu’un paisible trappeur jusqu’au jour où sa vie bascule : sa femme Petite Neige, qui vient de lui donner un fils, est assassinée. Passé le goût de la vengeance, Cartland s’engage comme éclaireur de l’armée américaine et part à la découverte des espaces sauvages de l’ouest. Ce western tout à fait particulier est en plus un témoignage qui fait foi d’hommage au peuple indien. Le dessin de Blanc-Dumont, d’une rare finesse, excelle à reconstituer les paysages grandioses et à dessiner les chevaux dont qu’il apprécie particulièrement. Le scénario de Laurence Harlé est documenté, humain, riche en situations originales pour un western.
Cartland échappe aux conventions du « cow-boy », c’est un personnage qui lutte et doute, apportant ainsi une dimension supplémentaire à cette série. Le rythme de parution depuis 1974 est d’environ un album tous les 2 ans.
La Rossée du matin
Eugène Lacrymo exerce le métier de CRS. Sa mission : faire régner l’ordre, quitte à distribuer quelques coups de matraque ici et là sur les individus qui viendraient troubler l’ordre public. Bien sûr le quidam n’est pas à l’abri de quelques bavures ou d’excès de zèle, mais dans l’ensemble les CRS décrits par Achdé sont plutôt sympathiques ! Une série humoristique qui se présente sous forme de gags en une planche. Alors lisez et circulez.
Le 7ème cri
Le premier enlève son manteau et se jette dans la fosse aux ours du Jardin des Plantes. Le deuxième se précipite dans le vide du haut d’un phare breton. Le troisième se révolvérise sur un banc du jardin du Luxembourg.
Détail, ces trois honorables personnes ont toutes participées à une expédition au Tibet. Disparus lors du crash de leur avion dans les neiges éternelles, les chercheurs sont réapparus deux ans plus tard, indemnes.
Aucun n’a jamais voulu donner la moindre explication sur ces deux années. Comment ont-ils survécu ? Qui les a recueillis ? Mystère.
Autre événement pas croyable: les corps des suicidés se décomposent à vitesse grand V… Et une belle enquête de plus pour Dick Hérisson, une ! Le flegmatique détective, entre Paris, Saint-Brieuc et Arles, va devoir trouver le fin mot de l’histoire.
Première piste : l’un des membres de l’expédition a ramené du Tibet de bien étranges tablettes. Elles révèlent comment, en commerçant avec des démons innommables, il serait possible de faire revivre les morts.
Mais aucune d’elles ne peut expliquer comment un gaucher, socialiste bon teint, a pu virer soudainement Croix de feu et se retrouver droitier dans la foulée…
A côté de ce mystère-là, la résurrection des morts, c’est de la petite bière !
Meurtres à la pelle, décors magnifiques, ligne claire pour illustrer des histoires très très noires des années trente, les recettes de Savard, le cuisinier du mystère, sont toujours aussi succulentes.
Avis aux amateurs : des locomotives à vapeur de toute beauté traversent ces pages.
La Rivière du vent
Jonathan Cartland n’est qu’un paisible trappeur jusqu’au jour où sa vie bascule : sa femme Petite Neige, qui vient de lui donner un fils, est assassinée. Passé le goût de la vengeance, Cartland s’engage comme éclaireur de l’armée américaine et part à la découverte des espaces sauvages de l’Ouest. Ce western tout à fait particulier est en plus un témoignage qui fait foi d’hommage au peuple indien.
Le dessin de Blanc-Dumont, d’une rare finesse, excelle à reconstituer les paysages grandioses et à dessiner les chevaux qu’il apprécie particulièrement. Le scénario de Laurence Harlé est documenté, humain, riche en situations originales pour un western.
Cartland échappe aux conventions du « cow-boy », c’est un personnage qui lutte et doute, apportant ainsi une dimension supplémentaire à cette série. le rythme de parution depuis 1974 est d’environ un album tous les 2 ans.
Les Yeux du Brouillard
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure.
Le 9e Cartel
Tout le monde le sait : impossible de faire une bonne omelette sans casser des oeufs. Enfin au moins un. Pas de pot pour Don Cenetonne, 12 ans, nouveau parrain de la mafia : l’oeuf sacrifié est celui dans lequel a pris place sa mère pour fuir son avion attaqué par une redoutable tueuse russe. Voilà qui ternit la joie du gamin, tout guilleret d’avoir pulvérisé jusqu’au dernier yakusa de la mafia japonaise. Après quelques grosses larmes, le charmant enfant n’aura plus qu’un désir : réduire en pulpe la mafia russe. En réservant un sort très particulier à la brunette qui a envoyé la capsule de secours de sa maman au fond de l’océan. Sans vouloir tout vous révéler, disons que la pauvre fille, à la fin de l’explication, ne sera pas la poubelle pour aller danser…
Remonté comme c’est pas possible, le minot finira le ménage sans même l’aide de la belle Nadine, son garde du corps adoré qui sait pourtant éliminer tout être vivant de 432 façons différentes. Après un happy-end qui verra la morale et le bon droit triompher (ça vous semblait impossible ? Froideval l’a fait !), Don Francesco pourra souffler en attendant sagement d’avoir l’âge nécessaire pour faire une flopée de bambinos à Nadine. Emouvant, non ?
Pour le dernier album de cette série cruelle, décapante et provocatrice commencée en 1996, le dessinateur Francard s’est offert une petite récréation, jonglant encore plus avec les dessins s’étalant sur deux pages, privilégiant le mouvement plutôt que la recherche systématique de la petite bête. Les lecteurs de mangas apprécieront.
Le Trésor des Chartreux
Une auberge au fin fond des montagnes de Haute-Savoie. C’est la fin de la saison de ski et les habitants du lieu se croient enfin délivrés des « Parigots ».
Pas tout à fait… Voilà que Mel, jeune guide de montagne, est chargé de mission : trimballer sur les pentes enneigées une insupportable snobinarde prénommée Mirabelle. Dans une ambiance de scène de ménage chronique, Mel et Mirabelle – Double M – buttent à chaque pas sur un nouveau mystère : le Trésor des Chartreux, le Loup des Chartreux, un chercheur de trésor et le gardien du trésor. Mais rien n’est simple : très vite, on ne sait plus qui sont les bons et qui sont les méchants. Même cette Mirabelle raconte des histoires : ce n’est pas une touriste snobinarde, c’est une journaliste snobinarde – ce qui ne change pas grand-chose aux humeurs de Mel…
Une histoire pleine de fantaisie, de mystère et d’oxygène dans le cadre de la France des années 60. Pendant que Youri Gagarine se promène dans l’espace, le Trésor des Chartreux disparaît à jamais sous un éboulement de rochers. A jamais ? Rien n’est moins sûr.
Les Poupées de l’Ombre Jaune
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure.