Linette ne veut pas dormir… Tandis que Papa roupille, elle tente de s’éloigner furtivement, mais un drôle de petit personnage apparaît. C’est le Padodo ! Il peut être vraiment fatigant… mais qu’est-ce qu’il est rigolo !
La Vengeance de Zaroff
Depuis dix ans qu’il y a élu domicile, les États-Unis n’ont pas été à la hauteur des attentes de Zaroff. Quelques criminels, des vagabonds… menu gibier, bien indigne du plus grand chasseur du monde. Mais l’oncle Sam lui offre un nouveau terrain de chasse : sa Russie natale, envahie par les nazis. Zaroff devra y retrouver une physicienne perdue au beau milieu de ces prédateurs du IIIe Reich, dont la sauvagerie n’a d’égale que la sienne. Car plus le jeu est dangereux, plus Zaroff le devient…
Livre I
Josselin et Jehan sont deux chevaliers errants. De tournoi en tournoi, qu’il pleuve ou qu’il vente, ils tentent de gagner leur vie en triomphant de leur adversaire du jour.
Paulin, l’écuyer de Jehan, les accompagne. Malin et débrouillard, il se révèle d’une aide précieuse.
Ils sont en quête de fortune et de gloire, comme tant d’autres. Cependant, il y a tout de même un détail qui les distingue : sous le haubert, Jehan se révèle être une jeune femme…
Josselin, lui, rêve de défaire le Chevalier Noirci, un combattant anonyme qui ne retire jamais son heaume, fait bande à part et ne connaît pas la défaite.
À l’occasion d’un tournoi organisé par le comte de Joigny, il espère triompher enfin de lui. Hélas, vaincu et blessé par cet adversaire redoutable, il doit laisser sa place à Jehan. Sera-t-elle de taille à remporter la victoire ?
Après Ira Dei et La République du Crâne, Vincent Brugeas et Ronan Toulhoat, associés à Yoann Guillo, nous plongent au coeur de l’univers des tournois et de la chevalerie, revisités avec allégresse et empathie pour les personnages. Entre shônen et récit d’aventure, une vision enlevée et jubilatoire du monde médiéval.
Résidence Autonomie
Bienvenue dans la Résidence Autonomie !
Quoique le mot « autonomie » est un tantinet exagéré. En réalité, cet établissement pour personnes âgées est l’ultime étape avant l’entrée en Ehpad.
Envoyé par Pôle Emploi, Marc apprend les fondamentaux du métier. Se chausser d’une paire de baskets, parler fort en entrant dans la chambre des résidents (il a parfois l’impression qu’ils se livrent à un concours de surdité) et ne pas oublier de mettre le frein sur un déambulateur (pour éviter les chutes, c’est mieux).
Ensuite, il lui reste le plus difficile : gérer les relations avec les pensionnaires, entre ceux qui mettent la télé à fond, celui qui l’insulte et celui qui le drague gentiment, sans parler des embouteillages de déambulateurs devant l’entrée de la cantine (évidemment, ils ne sont pas équipés de marche arrière).
Entre rire jaune et humour noir, Éric Salch, l’auteur des Look Book, lève le voile sur le quotidien des pensionnaires de ce type de résidence, dans une tragi-comédie qui nous tend le miroir sans complaisance de la situation des vieux… pardon, des « seniors » dans notre société.
Le Passager du Polarlys
Février 1930. Dans un atelier d’artiste de Montparnasse, une jeune femme est retrouvée morte. Surdose de morphine. Elle s’appelait Marie Baron.
Quelques jours plus tard, le cargo mixte Polarlys quitte le port de Hambourg pour l’extrême nord de la Norvège. Voyage de routine, destiné à approvisionner les ports qui jalonnent la côte.
Quel rapport entre ces deux événements, distants de plusieurs milliers de kilomètres ? A priori, aucun.
Mais pour le capitaine Petersen, cette traversée ne sera pas comme les autres. Car il a de bonnes raisons de penser que le responsable de la mort de Marie se cache à bord de son navire.
Et quand un conseiller de police est assassiné dans sa cabine, l’ambiance se tend encore plus. Parmi les passagers du Polarlys, sur une mer battue par les vents et dans une atmosphère poisseuse où les faux-semblants règnent en maître, les coupables potentiels ne manquent pas…
Christian Cailleaux et José-Louis Bocquet s’emparent de l’un des premiers « romans durs » de Georges Simenon, cette facette littéraire où, sous le signe du roman noir, le créateur de Maigret met en scène sa propre comédie humaine.
Le Massacre de Tanque Verde
Quel point commun y a-t-il entre un garçon borgne, une jeune prostituée, un déserteur, un esclave en fuite, une nonne défroquée et un Indien renégat ?
En apparence, aucun. Rien ne les rapproche. C’est le hasard – et la chance – qui les ont amenés à se rencontrer, car rien ne les rapproche.
Rien, sauf peut-être la quête de l’or, promesse d’une vie meilleure et d’un avenir digne de ce nom dans l’Ouest américain, violent et sauvage, des années 1850.
Kid, le jeune garçon éborgné durant une agression qui a décimé sa famille, leur a promis « une montagne d’or » s’ils l’accompagnent dans les Black Hills, où il doit récupérer un document de la plus haute importance.
Avec ce premier tome d’une série en quatre volumes qui bouscule les codes habituels du western, Philippe Pelaez renouvelle notre regard sur l’Ouest ! Il place au premier plan des personnages d’habitude invisibles ou cantonnés à des clichés, comme les noirs, les femmes et les guerriers indiens, dans une fresque haletante et magnifiée par le graphisme expressif de Javier Casado.
La Voix des bêtes la faim des hommes
Brunehilde est meneuse de loups. Elle vit à la fin du Moyen Âge, cette période incertaine où le christianisme combat intensément pour gagner les populations, essentiellement rurales. Nomade, considérée comme une sorcière, elle doit se méfier des brigands, des bêtes, des esclavagistes, de l’accueil des villageois, parfois. Quand elle arrive dans cette vallée forestière du Sud-Ouest de la France, elle découvre une situation terrible : des gens sont atrocement tués dans les bois, mutilés, et le village est persuadé qu’un démon ou un loup-garou sévit. Première suspecte, Brunehilde, aidée de Paulin, un vague commerçant itinérant croisé en route, est vite obligée de mener l’enquête sur ces meurtres.
Adios Carlotta
Profitant de l’absence de son mari et épaulée par le colonel Alfred van der Smissen, dont le charme ne la laisse pas insensible, Charlotte de Belgique a pris les rênes de l’empire mexicain. Malheureusement pour elle, au retour de Maximilien, les choses se gâtent. Les révoltes prennent de l’ampleur et pire encore, l’armée française se prépare à quitter le Mexique. Par ailleurs, Maximilien cherche par tous les moyens à concevoir un héritier à la couronne. Refusant de partager sa couche avec lui, le sachant atteint de syphilis, Charlotte doit se résoudre à avoir recours à l’adoption. À moins qu’elle ne finisse par succomber à l’appel de la chair avec le ténébreux van der Smissen…
Darwin
Embarquez pour l’Atoll d’Astoria, à la recherche des secrets du Skywood ! Alors qu’il cherche des réponses sur son passé, Darwin brise le Skywood, un artefact sacré ayant appartenu à son peuple disparu : les Daï-Kinn. L’objet renferme une énergie inconnue et dangereuse aux multiples pouvoirs imprévisibles. Malheureusement, un fragment tombe entre de mauvaises mains. Accompagné par Wanda, sa demi-soeur colérique, Darwin sillonne l’atoll d’Astoria pour tenter de le récupérer et enfin lever le voile sur ses origines.
Toah’s Ark – Le livre des Anima – tome 1
« Que les Humains soient détruits ! »
C’est pour éviter cela que Toah part en quête, car l’arche de Noé de son aïeul ne renfermait pas des animaux, mais des Anima.
Ces âmes perdues qui répandent le Mal sur Terre ont été libérées.
Pour sauver sa soeur, il va devoir capturer et enfermer à nouveau toutes ces créatures maléfiques dans le grimoire de son ancêtre.