L’Énigme de l’Atlantide

En vacances dans l’archipel des Açores, le professeur Mortimer fait une stupéfiante découverte. Lors de l’exploration d’un gouffre nommé  » O foro do diabo  » (le trou du diable), il trouve un métal inconnu aux étonnantes propriétés radioactive et luminescente. Il ne peut s’empêcher de penser à l’orichalque, ce mystérieux métal que les Atlantes, dans le récit de Platon, estimaient aussi précieux que l’or. La découverte est suffisamment importante pour qu’il prévienne son ami, le capitaine Blake.

Ce dernier vient le rejoindre à Saõ Miguel et les événements se précipitent. Quelqu’un dérobe le spécimen que Mortimer avait laissé dans sa villa. Blake et lui n’ont que le temps de voir un étrange engin traverser l’espace à la vitesse de l’éclair, disparaissant dans la nuit.

De plus en plus intrigués, les deux hommes décident de refaire une expédition au  » Foro do diabo  » pour y retrouver des échantillons.

Ils sont accompagnés d’un guide, Pépé et de son assistant sous les traits duquel se cache l’aventurier Olrik, leur plus mortel ennemi. Ce dernier a été embauché par une puissance étrangère pour récupérer le précieux minerai.

La descente dans les dangereuses caldeiras commence. Cette plongée dans les entrailles de la terre va les amener à vivre leur plus extraordinaire aventure. Élucidant un mystère vieux de plusieurs siècles, ils partiront à la découverte de l’Atlantide, de son peuple et de ses ennemis, exploreront le continent perdu et risqueront leurs vies pour sauvegarder la paix dans l’Empire Atlante. Ils braveront mille dangers pour revenir vers notre monde où l’Atlantide reste une énigme irrésolue… Le moindre de ces dangers n’étant pas Olrik…


L’Étrange rendez-vous

États-Unis, octobre 1777, une petite troupe de soldats britanniques en déroute erre à travers les épaisses forêts des monts Adirondacks. Traqués par les troupes américaines et les Indiens Oneidas, ils ont à leur tête le major Macquarrie, gentilhomme écossais sans fortune. Le soir, ils trouvent refuge dans une clairière isolée.

Durant la nuit, une lumière irréelle envahit la forêt. Le major Lachlan Macquarrie, cherchant la source de ce phénomène étrange, découvre trois rayons de couleur vive tombant du ciel. Il s’approche et disparaît dans un éclair en même temps que les rayons mystérieux.

177 ans plus tard, le corps du major est retrouvé dans l’État du Colorado. Il semble être mort par asphyxie quelques minutes auparavant. Il a sur lui des lunettes noires d’une matière inconnue sur terre ainsi qu’un message parlant de plutonium, de peupliers et d’un mystérieux roi jaune.

Blake et Mortimer, dont Macquarrie est le lointain aïeul, vont alors se rendre aux États-Unis, où ils découvriront l’une des plus effroyables machinations auxquelles ils auront été confrontés. Poursuivis par des hommes en noir armés d’étranges rayons verts, luttant contre des soldats venus d’un passé qu’ils croyaient disparu, nos deux héros pourront-ils sauver la terre d’une destruction programmée ?

Lorsque deux auteurs majeurs au sommet de leur art transcendent le mythe, le résultat ressemble à nos rêves d’enfant les plus fous.


Les Sarcophages du 6e continent – Tome 2

Alors que l’ouverture de l’Exposition Universelle de Bruxelles est compromise par les manifestations surnaturelles qui ravagent les différents pavillons, Blake, Mortimer et Nasir font route vers l’Antarctique afin de découvrir l’origine mystérieuse de ces terribles déluges électriques. Mais ils ignorent encore le terrible secret enfoui dans les glaces du 6e Continent.

Un deuxième tome époustouflant qui clôture en beauté l’aventure indienne des deux plus célèbres héros britanniques. Nous avions quitté Bruxelles et l’Exposition Universelle ravagée par des phénomènes électriques particulièrement inquiétants. Pressentant que la source de ce mystère pouvait être au pôle sud, Blake, Mortimer et le fidèle Nasir font route vers le 6e continent. Mortimer se demande surtout si sa route va à nouveau croiser celle d’Açoka, l’empereur indien millénaire, père de Gita, celle qui vit toujours dans le coeur du savant Écossais ?

Après une courte escale en Afrique du Sud, nos héros vont monter à bord de La Madeleine, et mettre le cap vers l’Antarctique. Dans ce territoire désertique et glacial, ils vont parcourir mille épreuves, lutter contre les éléments déchaînés, subir de terribles secousses sismiques et retrouver leur vieux ennemis. Ils vont aussi découvrir la fantastique invention du Professeur Labrousse, le Subglacior, un sous-marin révolutionnaire capable de se déplacer dans la glace.

Une aventure hors du commun scénarisée de main de maître par Yves Sente et superbement mise en image par le génie d’André Juillard.


L’Héritage Jacobs

Qu’avons-nous réalisé depuis la mort d’E. P. Jacobs ? C’est la question que se posent Jean-Luc Cambier et Éric Verhoest dans ce nouvel ouvrage, hommage à l’auteur, à la série et aux repreneurs. Au travers de nombreux documents – interviews, lettres, notes, dessins, croquis, etc. –, les auteurs rendent compte des différents chemins empruntés par les héritiers de Jacobs pour scénariser et dessiner les nouvelles Aventures de Blake et Mortimer .


Le Jour du Mayflower

Après avoir découvert la vérité sur son identité, XIII va tenter de percer les mystères de sa mémoire. Ce 20e album marque le début d’un nouveau cycle, où le héros cherche à retrouver ses souvenirs. Pour ce faire, une charmante psychiatre du Maine, le Docteur Suzanne Levinson, lui recommande la stimulation cérébrale. Grâce à cette expérience XIII croise la piste providentielle d’un vieux copain de classe, Jim Drake. Mais les tueurs de la USafe Incorporated empêchent les retrouvailles. Avant de mourir, Drake a néanmoins eu le temps d’évoquer devant son ami le jour du Mayflower. Voilà XIII face à un nouveau complot…
Yves Sente et Iouri Jigounov propulsent XIII dans l’histoire des pères de la nation américaine, avec la complicité amicale de William Vance.


Le Dossier Jason Fly

Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays.

Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l’histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.

Après un bref passage dans l’hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d’un album par an. Cette série s’impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.


Le Jour du soleil noir

Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays.

Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l’histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.

Après un bref passage dans l’hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d’un album par an. Cette série s’impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.


Le Jugement

Engagé dans de périlleuses aventures en Amérique Centrale, obsédé par la quête de son passé, XIII semble s’être accommodé de l’impunité de Wally Sheridan, le président assassin. Pas le général Ben Carrington. Il veut la vérité, il veut la justice… pour Kim, sa fille sacrifiée.

Inexorablement, un cycle lancé par  » Le Jour du Soleil Noir  » se termine. Le N°1 du complot a été identifié et puni. XIII sait qu’il est Jason Mac Lane, il a retrouvé son père biologique et sa chaotique biographie se complète lentement. Il reste des points obscurs, notamment sur les raisons de son engagement aux côtés de Cuba, mais il pourrait trouver la paix, s’il n’avait le goût de se fourrer dans des ennuis toujours renouvelés. C’est qu’au fond, sa quête d’identité s’est muée, pour lui aussi, en recherche de la vérité et de la justice. La victime sans mémoire est devenue un héros sans attache.

Profitant de la passation de pouvoirs avec Wittaker, le nouveau chef de l’Etat-Major interarmes, Benjamin Carrington a enlevé le Président des Etats-Unis et, avec lui, la mallette noire commandant la frappe nucléaire. Il ne veut parler qu’à Jones et Mac Lane et leur donne rendez-vous  » Là où va l’Indien « . Dans ce chalet connu de XIII, ils retrouvent Amos qui leur révèle les motifs de Carrington. Il veut au cours d’un procès télévisé confondre le président Wally Sheridan, prouver qu’il est un traître et un assassin. Mais il faut d’abord s’emparer aux Bahamas du principal témoin à charge, la Mangouste, et le ramener dans la base atomique où s’est planqué Ben.

Tout se passe comme prévu, mais Giordino, directeur de la NSA, glisse un revolver piégé à La Mangouste. Le procès commence avec, pour terrible pièce à conviction, le corps à peine vivant de Kim Rowland, fille unique de Carrington. La Mangouste se libère mais est abattu par le Président qui s’enfuit.

De son dernier souffle, devant une audience record, la Mangouste confirme les accusations de Carrington et indique où des preuves sont dissimulées. Croyant le faire taire, Giordino commande le dispositif d’explosion du revolver et tue en fait Wally Sheridan ! C’est fini. Ben débranche les appareils qui maintiennent Kim en vie et disparaît avec Jones et Amos. Seul XIII reste en arrière. Il a un compte à régler avec Giordino, ce fils de mafieux qui est aussi son oncle et le meurtrier de sa mère ! Mais, malgré les promesses du vice-président désormais appelé à la charge suprême, Giordino fait arrêter Jason sous prétecte qu’il est aussi Kelly Brian, terroriste de l’IRA.


La Nuit du 3 août

Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. De plus, il découvre que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent à lui. Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux Etats-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays.

Le scénario, qui mêle aventure et fiction à l’histoire de ces vingt dernières années, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.

Après un bref passage dans l’hebdomadaire SPIROU en 1984-85, les aventures de XIII paraissent directement en albums chez Dargaud à un rythme régulier d’un album par an. Cette série s’impose déjà en quelques années comme un best-seller et se positionne comme un classique.


L’Or de Maximilien

Pourchassés par la justice américaine, XIII et ses amis sont contraints de fuir le Costa Verde où ils ont découvert un mystérieux message devant les mener à 100 000 pesos-or à l’effigie de l’empereur du Mexique Maximilien. L’énigme résolue, parviendront-ils au trésor avant d’être trahis, devancés, voire éliminés ?

Accusés de l’assassinat du président des USA et pourchassés par la justice américaine, XIII et ses amis sont forcés de quitter le Costa Verde d’où leur extradition est exigée et où ils ont retrouvé la dernière des trois montres d’argent sur lesquelles est gravé un mystérieux message devant leur donner accès à un fabuleux trésor : 100 000 pesos-or à l’effigie de l’empereur du Mexique Maximilien cachés par les trois arrière-grands-pères supposés de XIII. Contraints d’emmener avec eux la perfide Felicity Brown recherchée pour meurtre, ils ont trouvé refuge dans une auberge isolée tenue par un ex-marine sur la côte mexicaine du Pacifique.
Toujours aussi déterminés à dénoncer les intrigues criminelles de Frank Giordino, le patron de la National Security Agency qui les poursuit sans relâche pour les réduire au silence, ils lui ont adressé un mail d’avertissement et de défi susceptible de le déstabiliser. Reste cependant à résoudre l’énigme du message gravé sur les montres. Pensant qu’il s’agissait d’un rébus en gaélique, le marquis de Préseau a trouvé à Mexico un traducteur irlandais qui a réussi à percer le secret.
Le trésor localisé, XIII et ses amis pourront-ils cependant en profiter ? Le passage de plaisanciers a en effet permis à Felicity Brown de s’échapper et de gagner la Californie. Pressentant une affaire juteuse, le traducteur irlandais a mis en piste ses complices de beuverie. Pendant ce temps, à Washington, Giordino est convoqué à la Maison-Blanche où il est confronté au témoignage accablant d’un officier qui a survécu à ses tueurs…