Et si vous étiez seul et bénéficiez de l’appartement ou de la maison pour vous toute la journée, que feriez-vous ? Car c’est le cas pour tous les chats, chiens, hamsters ou lapins domestiques ! Dès que les humains partent travailler, ils ont tout l’espace pour eux et peuvent profiter pleinement de leur journée. Autant d’occasions pour eux pour vivre des aventures et de se retrouver. Bien évidemment, ils réalisent quelques bêtises au passage… mais ils sont tellement mignons que nous leur pardonnons tout !
Cette fois-ci, Pompon va s’improviser super-lapin. Daisy, une nouvelle venue, va d’ailleurs demander l’aide de Super Pompon. Max, stressé depuis l’arrivée d’un bébé à la maison, va devoir faire un tour chez un vétérinaire un peu spécial avant d’effectuer un petit stage au côté de Rooster, le chien de ferme qui n’a peur de rien. Gidget, quant à elle, va suivre les cours de Chloé pour devenir une véritable chatte. Et Pops, le vieux basset, a ouvert une « école de la désobéissance » pour tous les puppies du quartier. Bref… pas le temps de s’ennuyer !
Déjà célèbres grâce au premier film « Comme des bêtes » (« The Secret Life of Pets ») produit par Universal Pictures et Illumination Entertainment, on retrouve ici Max, Duke, Mel, Gidget, Pompon, Chloé, Ozone et les autres, dans une série de gags en une ou deux pages les mettant en scène.
Lorsque le Marsupilami dérobe au comte de Champignac une substance qui rend mous les métaux, le « métomol », il sème une énorme pagaille en ville. Spirou et Fantasio décident alors de le ramener en Palombie. Mais une fois sur place, ils découvrent qu’une dictature a pris place dans ce paisible pays. Et le responsable de cette tyrannie n’est personne d’autre que le cousin de Fantasio : Zantafio ! Ce dernier souhaite d’ailleurs envahir le pays voisin et réclame l’aide des deux aventuriers voyageurs.
Pacifistes dans l’âme, ces derniers veulent refuser, mais une idée pour éviter la guerre leur vient et ils décident de jouer double-jeu… Grâce à Seccotine et au comte, ils vont tout faire pour contrarier les plans de Zantafio !
Walter Appleduck est un jeune homme cultivé, poli et bien éduqué qui fait un « master cow-boy ». Le shérif de Dirtyoldtown et son adjoint Billy ont accepté de le prendre en stage pour lui apprendre les rudiments du métier. Les périodes de stage sont en général assez courtes, s’interrompant brutalement après le cours sur l’art du duel au pistolet. Mais Walter est bien décidé à s’accrocher et à apporter un peu d’humanité dans cette bourgade de ploucs. Sa tâche sera rude entre les évasions à répétition de Rascal Joe (qui revient à la prison parce qu’il a oublié son chapeau) et ses efforts pour aider Billy à draguer Miss Rigby (quand elle le traite d’« archétype du type rustre, macho, grossier et alcoolique aux idées dangereusement fascisantes », il croit qu’elle le drague).
Dans son désir de réformer la société qu’il découvre, Walter tentera de remplacer les duels au pistolet par des tournois de jeux de société (un bon Scrabble®, c’est quand même moins sanglant). Il sera également confronté à des problèmes d’une actualité brûlante comme quand il découvre que Billy, devenu addict aux nouvelles technologies, ne cesse d’envoyer des télégrammes bourrés de smileys à Miss Rigby et menace Rascal Joe de le virer de ses amis Facebook s’il ne se rend pas (ce qu’il fait illico).
Au final, Walter aura un bon rapport de stage mais, après son passage, l’Ouest aura bien changé.
« En matière de rêve, j’ai appris à être patient. J’ai fini par admettre qu’il existe bien une sorte d’harmonie du hasard, plus ou moins favorable aux accomplissements. J’ai fini par admettre qu’un simple coup de fil peut vous installer à l’arrière d’une limousine du Tour de France, avant même de réaliser que l’enchanteur s’appelle Pierre Christin et qu’il vient de se servir de sa baguette d’éditeur magique.
C’était en 1989. J’étais ce môme qui avait suivi jadis les exploits du Tour au transistor et qui voyait enfin les figurines de plomb rouler à 60, tomber dans des ravins et manger comme des ogres, le soir, en chantant victoire dans des hôtels hallucinés.
30 années plus tard, les repentirs flottent, comme un rêve à reprendre. »
Voici comment Max Cabanes parle de sa boucle magique réalisée en 1989. Un vrai rêve d’enfant qui se réalise ! Lui qui suivait le Tour dans les années 60 en déplaçant des figurines sur un jeu de l’oie va pouvoir le vivre en personne. Il en tirera un récit d’une soixantaine de pages, racontant les anecdotes qui l’ont marqué, ému, frappé. Mille choses qui permettent de mieux appréhender cette épreuve fabuleuse qui existe depuis 1903 !
Et, par un coup du sort, cette épreuve de 1989 sera incroyable. Qualifiée par la presse de l’époque de « Tour le plus fou », force est de reconnaître que le contexte est parfait pour une dramaturgie sportive de haut vol. Un plateau de favoris exceptionnel, des épreuves à suspens, et un final qui reste encore dans les esprits aujourd’hui. Un récit à revivre à travers les superbes illustrations dessinées dans la caravane par l’auteur-reporter.
La famille Vaillant se remet à peine du vide laissé par la disparition de Jean-Pierre. Finalement innocenté, Michel reprend la tête de l’écurie et compte bien la mener au rang qu’elle a connu par le passé. Il contacte Renault pour équiper les futures Vaillante d’un moteur français mais, en pleine réunion, le directeur général de Renault F1 apprend qu’un de ses pilotes lui fait faux-bond pour le Grand Prix de France de Formule 1. Il propose alors à Michel de prendre part à la course et de renouer avec le monde de la F1. Prenant peur devant l’ampleur de la tâche, d’autant qu’il ne dispose que de treize jours pour se préparer physiquement et mentalement, Michel refuse… avant de se laisser convaincre par Françoise et de démarrer un entraînement intensif. Entre deux séances dans le simulateur F1, Michel va devoir battre des records d’apnée, nager des kilomètres, s’exercer à contrôler sa peur et ses émotions. Car c’est sur ce Grand Prix que l’avenir de l’écurie Vaillante se jouera. En cas de victoire, le retour sera légitime et la revanche éclatante, mais en cas de défaite…