Ce treizième tome de l’intégrale Buck Danny réunit « La Nuit du serpent », « Sabotage au Texas », « Mystère en Antarctique » et « Porté disparu », les derniers albums par Bergèse.
Buck Danny peut se vanter d’être le héros le plus ancien de l’histoire du Journal de Spirou, hormis Spirou et Fantasio eux-mêmes. Toujours en activité depuis sa création en 1947 et vaillant après 72 années de publication : 56 albums vendus à des millions d’exemplaires, et toujours sur le fil de l’actualité !
Lorsque Jeremiah et Kurdy débarquent dans un patelin perdu entouré de prés où paissent des moutons, ils ne souhaitent que boire un coup et si possible se refaire un peu de blé au poker dans le premier bar potable.
Mais les terres agraires du coin ne sont rien d’autre qu’une lande immense laissée en friche et à peine surveillée par des bergers. Or, des bêtes sauvages et féroces dévastent les troupeaux et attaquent les humains depuis quelques temps.
Virna, jeune bergère qui semble être en froid avec la loi, emmène Jeremiah et son comparse dans le ranch familial. Alors que les deux hommes pensaient n’y rester qu’une nuit, ils se retrouvent embarqués en pleine guerre de territoire. Une part de la population décide de vendre ses terres à un riche notable du coin, alors que certains fermiers souhaitent continuer à faire paître leurs troupeaux. Mais les loups ne leur laissent guère de choix. Une fois le brouillard tombé, c’est une bête titanesque qui décime les moutons et leurs gardiens.
Pour les beaux yeux de Virna, Jeremiah va prendre parti et se battre pour remporter un combat au sein d’une guerre qui semble déjà perdue.
Lady S, espionne malgré elle, s’est enfin libérée de l’emprise des agences de renseignements qui l’employaient. Elle décide de rejoindre son père, réfugié politique aux États-Unis. Pour cela, il lui reste une dernière chose à faire : prouver qu’elle est bien sa fille en passant un test ADN. Mais rien n’est simple pour Lady S, et la CIA compte bien sur ses talents…
Gérard Mandon est un homme heureux. Directeur d’un grand magasin dans la région bretonne, il fait son jogging tous les matins dans ses rayons pour vérifier que tout est bien en ordre. Il encourage ses employés à fermer les yeux sur les petits délits et gère ses têtes de gondole d’une main de maître. Un véritable manager à l’ancienne. Un peu trop à l’ancienne, selon son chef de la sécurité, Mathias, qui est convaincu que cela ne plairait pas au siège social. Tellement convaincu qu’il va tout faire pour faire virer son directeur.
Gérard, lui, ne se doute de rien et cherche surtout à renouer une relation père-fille. Léa, un peu distante, refuse absolument son aide et ne veut pas monter travailler au siège social parisien de l’entreprise, préférant enchaîner les petits boulots. Ils trouveront un deal lorsqu’elle lui promet de partir une semaine là-bas si lui aussi sort de sa zone de confort. Il se retrouve alors à travailler chez un ferrailleur pas vraiment véreux mais vraiment mauvais en compta, pendant que Léa se retrouve par hasard au centre de la comptabilité illégale du siège social de l’hypermarché qui planque des bénéfices dans divers paradis fiscaux… Une semaine qui changera radicalement la vie du père et de sa fille.
Ne pas comprendre une chique, faire de son nez, frotte manche, chercher la shot… si vous n’y comprenez goutte, c’est qu’il est temps de vous procurer le fabuleux dictionnaire de la Minute belge. Ce ne sont pas moins de 250 belgicismes retrouvés par Dimitri Ryelandt et Fabrice Armand qui y sont illustrés avec beaucoup d’autodérision et d’humour par Mehdi Dewalle. Les trois compères de la web-série du même nom fournissent ici un guide obligatoire pour tout Belge qui accueille ses voisins, et tout Français curieux de mieux connaître ses illustres frontaliers !
Et si vous étiez seul et bénéficiez de l’appartement ou de la maison pour vous toute la journée, que feriez-vous ? Car c’est le cas pour tous les chats, chiens, hamsters ou lapins domestiques ! Dès que les humains partent travailler, ils ont tout l’espace pour eux et peuvent profiter pleinement de leur journée. Autant d’occasions pour eux pour vivre des aventures et de se retrouver. Bien évidemment, ils réalisent quelques bêtises au passage… mais ils sont tellement mignons que nous leur pardonnons tout !
Cette fois-ci, Pompon va s’improviser super-lapin. Daisy, une nouvelle venue, va d’ailleurs demander l’aide de Super Pompon. Max, stressé depuis l’arrivée d’un bébé à la maison, va devoir faire un tour chez un vétérinaire un peu spécial avant d’effectuer un petit stage au côté de Rooster, le chien de ferme qui n’a peur de rien. Gidget, quant à elle, va suivre les cours de Chloé pour devenir une véritable chatte. Et Pops, le vieux basset, a ouvert une « école de la désobéissance » pour tous les puppies du quartier. Bref… pas le temps de s’ennuyer !
Déjà célèbres grâce au premier film « Comme des bêtes » (« The Secret Life of Pets ») produit par Universal Pictures et Illumination Entertainment, on retrouve ici Max, Duke, Mel, Gidget, Pompon, Chloé, Ozone et les autres, dans une série de gags en une ou deux pages les mettant en scène.
Lorsque le Marsupilami dérobe au comte de Champignac une substance qui rend mous les métaux, le « métomol », il sème une énorme pagaille en ville. Spirou et Fantasio décident alors de le ramener en Palombie. Mais une fois sur place, ils découvrent qu’une dictature a pris place dans ce paisible pays. Et le responsable de cette tyrannie n’est personne d’autre que le cousin de Fantasio : Zantafio ! Ce dernier souhaite d’ailleurs envahir le pays voisin et réclame l’aide des deux aventuriers voyageurs.
Pacifistes dans l’âme, ces derniers veulent refuser, mais une idée pour éviter la guerre leur vient et ils décident de jouer double-jeu… Grâce à Seccotine et au comte, ils vont tout faire pour contrarier les plans de Zantafio !
Walter Appleduck est un jeune homme cultivé, poli et bien éduqué qui fait un « master cow-boy ». Le shérif de Dirtyoldtown et son adjoint Billy ont accepté de le prendre en stage pour lui apprendre les rudiments du métier. Les périodes de stage sont en général assez courtes, s’interrompant brutalement après le cours sur l’art du duel au pistolet. Mais Walter est bien décidé à s’accrocher et à apporter un peu d’humanité dans cette bourgade de ploucs. Sa tâche sera rude entre les évasions à répétition de Rascal Joe (qui revient à la prison parce qu’il a oublié son chapeau) et ses efforts pour aider Billy à draguer Miss Rigby (quand elle le traite d’« archétype du type rustre, macho, grossier et alcoolique aux idées dangereusement fascisantes », il croit qu’elle le drague).
Dans son désir de réformer la société qu’il découvre, Walter tentera de remplacer les duels au pistolet par des tournois de jeux de société (un bon Scrabble®, c’est quand même moins sanglant). Il sera également confronté à des problèmes d’une actualité brûlante comme quand il découvre que Billy, devenu addict aux nouvelles technologies, ne cesse d’envoyer des télégrammes bourrés de smileys à Miss Rigby et menace Rascal Joe de le virer de ses amis Facebook s’il ne se rend pas (ce qu’il fait illico).
Au final, Walter aura un bon rapport de stage mais, après son passage, l’Ouest aura bien changé.