Ce volume comprend les albums « 20 mille lieues sous les terres », « Bonne fête, maman ! », « Duels », « Fesses d’argile & fils », « Bingo » et « Miss Persil ».
Après plus de trente albums, Pierre Seron conserve intact son plaisir à jouer avec ses Petits Hommes, comme avec autant de figurines.
L’oeuvre de ce pilier du Journal Spirou ne cesse de faire des chassés-croisés entre l’expérimentation artistique et l’autobiographie. Tout ceci, bien entendu, sous couvert d’histoires légères et amusantes, en apparence… C’est en tout cas ce que démontre Vivian Lecuivre dans la préface de cet ouvrage, laquelle nous donne les clés que Seron s’était bien gardé de nous confier jusque-là.
Le regard sensible et pertinent de Vivian Lecuivre nous aide à mieux appréhender le travail de Pierre Seron et à découvrir le caractère ô combien pudique et intimiste de ses histoires. Avec une telle mise en lumière, il sera difficile de continuer à lire « Les Petits Hommes » comme avant…
Spirou et Fantasio sont bien décidés à trouver un emploi, qu’importe la qualification recherchée. Pour arriver à leurs fins, ils ne ménagent pas leurs efforts : d’ambassadeurs à pompistes, d’artistes à pompiers, tout est bon à prendre. Engagés en dépit de leur incompétence, ces deux-là n’hésitent pas à prouver qu’ils ont de la suite dans les idées ! Péripéties rocambolesques et humour décapant font le sel de ces mini-aventures, bâties comme une histoire complète, mais dont chaque partie peut se lire indépendamment des autres.
Grâce à son style délicieusement vintage, vif et échevelé, Alec Severin signe plusieurs saynètes qui feront le régal des lecteurs de tout âge. Son trait dynamique et sa plume euphorique rendent hommage à Spirou ainsi qu’à son acolyte de toujours, sans oublier leur inséparable compagnon à la queue en panache. Après « Spirou Sous le manteau », qui revisitait l’univers du célèbre groom sous la forme de journaux clandestins parus durant la Seconde Guerre mondiale, AL se lance cette fois-ci dans de brèves aventures humoristiques, pleines de verve. Un coup de maître !
Groom, le journal de décryptage d’actu en bande dessinée des Éditions Dupuis, va s’intéresser de près aux réseaux sociaux !
Oui, ça va liker dur. Car Groom, va s’intéresser de près aux réseaux sociaux !
Ils sont au coeur de nos vies. Ils y font rentrer du fun et du ludique. Mais pour d’autres, ils sont une arme de résistance. Certains s’y mettent en scène. D’autres y révèlent des vérités. Ils savent tout de nous. Mais souvent, nous ne savons pas grand-chose d’eux.
C’est pour toutes ces raisons que Groom va explorer l’univers tour à tour cool ou opaque des réseaux sociaux, à travers des dizaines de récits BD. Au programme : des histoires drôles, dramatiques, frissonnantes. Des histoires de gros sous. Des e-réputations gâchées. Des défis rigolos. Des révolutions par écran interposé. De la propagande terroriste. Des heures à échanger avec ses meilleurs amis. Bref, la vie telle que nous la vivons à travers nos écrans, vue par la crème des auteurs BD !
Les aventures de Spirou et Fantasio ne se déclinent pas que sous la forme d’histoires longues. La série compte aussi des histoires courtes tout à fait réjouissantes où Yoann et Vehlmann donnent libre cours à leur imagination débridée.
Les voici enfin réunies dans un album avec un bonus : « Le Spip magazine ».
Dans « Spirou à la Rédac », notre groom favori plonge au coeur des archives du Journal Spirou et découvre, dans les caves abandonnées de l’hebdomadaire, un ancien combattant de la guerre Tintin-Spirou qui ignore que celle-ci est finie depuis des décennies.
Dans le conte illustré « Le cadeau de Fantasio », la Rédaction doit faire dans son numéro de Noël une publicité pour une poupée qui parle. Suite à une gaffe de Spirou, c’est une tronçonneuse dont on chantera les louanges dans l’hebdomadaire pour enfants sages…
Dans « La chevauchée sauvage », Spirou, Fantasio et Spip sont envoyés dans le passé par une invention d’Aurélien, le neveu du comte de Champignac, et devront chercher des portes spatiotemporelles dans les différents siècles qu’ils visiteront pour revenir au XXIe siècle.
Dans « Destins contrariés », Spirou ne se sent pas à sa place comme héros titulaire du journal édité par les éditions Dupilon. Dans cette uchronie, Fantasio est gendarme, Zorglub garçon de café et Champignac un grand savant mégalo capable de manipuler l’espace-temps par l’usage de trous quantiques !
« Dans Supergroom » Spirou croit pouvoir rivaliser avec les superhéros américains. Mais un costume ridicule ne suffit pas pour égaler Superman…
Un album hors série exceptionnel qui compile des histoires courtes parues depuis une petite dizaine d’années dans le beau Journal Spirou !
Après avoir été publiée uniquement sous forme de nombreux récits complets dans les pages du Journal Spirou, la série Bizu accède enfin à la publication en album avec des aventures développées sur 44 pages.
Fournier enrichit l’univers poétique et fantaisiste de Bizu avec une galerie de personnages en harmonie avec la forêt de Brocéliande.
Dans cette ultime volume de l’intégrale de Bizu sont publiées les dernières histoires : « Le chevalier Potage », « Le trio Jabadao », « La croisière fantôme » et « La houle aux loups ».
New-York. Les valeurs du Dow Jones sont en chute libre, provoquant une perte de plus de 1000 milliards de dollars, avant de subir une remontée tout aussi spectaculaire. Tous les regards se tournent aussitôt vers Mary Striker, tradeuse pour le Groupe Winch, considérée responsable de ce qui apparaît comme une manipulation de cours sans précédent sur lequel le FBI et la SEC s’empressent d’enquêter.
Yucatan. Cet incident n’est pas fait pour arranger les affaires de Largo. Il ignore encore ces faits lorsqu’il se présente au forum de Talos en compagnie de Cathy Blackman afin de lever des fonds pour la Winch Fondation for War Children. Ces soudaines accusations, que de véhémentes manifestations enveniment, surviennent alors qu’il se prépare à prendre de lourdes décisions pour l’avenir de son Groupe.
De Saint Pétersbourg à Tulum. Largo affronte un nouveau péril : les maitres occultes de la finance internationale. Aux commandes de cette histoire, un nouveau tandem : Philippe Francq dont la maitrise graphique est plus époustouflante que jamais, et Éric Giacometti qui relève brillamment le défi de succéder au scénario, à l’immense Jean Van Hamme.
Mastodonte n’est certainement pas un atelier comme les autres. Lewis Trondheim, Guillaume Bianco, Jérôme Jouvray, Nob, Obion et toute leur bande de joyeux drilles s’y donnent la réplique à travers des gags courts pleins de dérision, de moquerie et de vannes, des plus subtiles aux plus loufoques.
Au fil de gags jubilatoires, cette guilde cosmopolite dévoile à ses lecteurs le quotidien mouvementé de ses membres, entre fiction et réalité.
Avec les frasques des uns et les productions des autres, les commentaires parfois mordants et les vannes savoureuses, bienvenue dans les coulisses de la création bédéphile. Les styles, les blagues, les références y passent et ne se ressemblent pas, pour un plaisir de lecture toujours renouvelé. Alors, qu’elle soit colosse, molosse ou boloss, impossible de résister à la déferlante Mastodonte !
Lorsque Uhuru Lomumbo, colonel mawalite, est soumis à un mandat d’arrêt international pour des soupçons d’exécutions sauvages dans la province du Bohuri, en Afrique, il trouve refuge à Paris dans l’ambassade de son pays. Intouchable tant qu’il sera à l’intérieur des murs diplomatiques, il ne craint rien de la justice, d’autant qu’il bénéficie du soutien de son président, Ernest Batanko. Rien, sauf Shania Rivkas qui, dans le cadre d’une mission locale pour Action 19, a la ferme intention de le livrer à la Cour de justice européenne. La voici donc en train d’organiser une opération d’infiltration pour sortir le colonel de son ambassade : une mission à hauts risques, qui ne se déroule pas sans de douloureux revers. Surtout que les motivations de la CIA ne sont pas des plus limpides – il semblerait même qu’elle ait quelque intérêt à renvoyer Lomumbo au Mawali…
Le cabinet du docteur Médard est comme toujours le lieu de rencontre des personnes les plus farfelues que la Terre puisse porter. Mais ce sera la dernière fois, car après des années de bons et loyaux services, il est bien décidé à prendre sa retraite. Il est prêt à tourner la page et à profiter d’un repos bien mérité.
Un dernier album qui vient clôturer une série incontournable du journal Spirou. Imaginée en 1992 par Cauvin et Bédu et publiée pour la première fois en album en 1994, elle se termine après 25 années de rires.
Ruppert et Mulot sont des inventeurs graphiques. Depuis leurs débuts à l’Association jusqu’à leurs récents succès dans la collection « Aire Libre » ‒ « La technique du périnée » ou encore « La grande odalisque » et « Olympia » en collaboration avec Bastien Vivès –, en passant par leurs travaux plastiques et expositions diverses, les dessinateurs de ce binôme n’ont eu de cesse de réinventer, avec humour et légèreté, le langage de la bande dessinée.
Initialement prépubliés dans le supplément « Culture & idées » du journal Le Monde, Les week-ends de Ruppert & Mulot sont leur nouvelle trouvaille narrative : des strips verticaux qui jouent sur l’espace et les habitudes de lecture, émaillés d’un ton absurde et d’un sens aigu du dialogue.
Avec un format inédit dans la collection « Aire Libre », ces perles d’humour y trouvent pourtant très logiquement leur place, et ne donnent qu’une envie : passer tous nos week-ends avec Ruppert et Mulot !