Buck Danny – L’intégrale – Tome 13

Ce treizième tome de l’intégrale Buck Danny réunit « Les secrets de la mer Noire », « L’escadrille fantôme », « Zone interdite » et « Tonnerre sur la cordillère », ainsi que le récit complet « La mascotte ».

Une nouvelle époque s’ouvre pour Buck Danny. Bergèse a repris la série en solitaire depuis le décès de Jean-Michel Charlier. Jacques de Douhet l’accompagne sur un épisode, avant de céder la main. Bergèse renoue cependant avec les éléments connus de la série, mais modernité oblige, Buck Danny, Tumbler et Tuckson poursuivent leurs aventures sur de nouveaux théâtres d’opération, au gré de l’évolution de la scène géopolitique, depuis la chute du mur de Berlin jusqu’au conflit serbo-bosniaque.


Silbervogel

La destruction de New York est imminente. Plus déterminée que jamais, en dépit de ses récentes découvertes sur les traitements infligés aux Juifs par ses compatriotes nazis, Hanna se dit prête à voler aux commandes du Silbervogel, le tout dernier bombardier issu des hangars allemands. Cette merveille de technologie larguera la bombe atomique sur la « Grosse Pomme », telle une vengeance secrète à laquelle personne n’aurait pu se préparer.
S’il est encore un homme qui puisse interrompre les opérations et couper court à ce massacre programmé, c’est sans conteste Werner. Certain d’agir pour le bien, il n’en doit pas moins assassiner son amie d’enfance. Un acte terrible auquel il ne peut se résoudre…

Pendant ce temps, les soldats de l’O.S.S. rencontrent les représentants de l’armée de libération polonaise et de la résistance polonaise communiste. Leur objectif ? Saboter le Silbervogel avant qu’il ne soit trop tard, grâce à l’aide d’un scientifique infiltré dans la base ennemie. Une mission des plus périlleuses, d’autant plus qu’encore deux mille Juifs sont retenus prisonniers dans ses sous-sols.


Tendre Violette L’Intégrale – Tome 2/3

Fière et secrète, irrésistiblement libre, Violette n’écoute personne d’autre qu’elle-même. Elle, la belle d’aucun homme, n’a que peu l’intention de se laisser guider par les calomnies des uns et les jalousies des autres. Les insultes des épouses aigries et les rumeurs grivoises n’atteignent guère son coeur d’alouette. Pourtant, un événement inattendu risque de perturber son existence sylvestre, entre la douceur de la vie dans les bois et la curiosité à l’égard du monde moderne.

En 1982, Jean-Claude Servais déclarait son amour à la femme tendre et libérée, à sa sensualité sauvage et à sa fierté farouche : Violette était née. Son héroïne, qu’il voulut forte et indépendante, se moque des qu’en-dira-t-on, des rumeurs et des sournoiseries de la société bien-pensante.

L’on retrouve dans ce deuxième volume de l’intégrale en noir et blanc tout l’esprit audacieux d’un roman graphique qui embrasa ses lecteurs. Ode naturaliste à la femme dans toute sa splendeur, Tendre Violette n’a décidément rien perdu de sa fraîcheur.


Pauvre Jean-Pierre

Ce volume comprend les albums suivants : « Corps à corps », « Incognito » et « Leçon de choses » : des récits uniques et intimistes qui ont fait la reconnaissance de leur auteur.

Grégory Mardon publia pour la première fois des récits de quatre planches dans le Journal Spirou en 1998, récits qui reflétaient déjà la remarquable finesse avec laquelle il est capable de rendre compte des existences humaines. Son entrée sous l’égide du label « Aire Libre », en 2004, avec « Corps à corps », confirma son talent pour peindre avec une authenticité à la fois rare et originale les trajectoires d’êtres qui se croisent et se décroisent constamment. Car ainsi s’écoule la vie et ainsi Mardon la décrit-il, pleine de douceur et d’amertume, d’incertitudes et d’aspirations, ainsi nous imprègne-t-il de cette marée multicolore que compose la foule de ses personnages, se jouant d’eux comme de son lecteur à travers une oeuvre-puzzle riche d’humour et de fantaisie.

Cette première intégrale inédite est un juste hommage à cet auteur complet et à la vaste fresque qu’il entreprit de dessiner en l’honneur des petites gens de l’ordinaire, parmi lesquels ce « pauvre » Jean-Pierre. Un ouvrage proche de nous, qui prouve que les voix et les récits contemporains ne sont pas en reste au sein du label « Aire Libre ».


Le meilleur ami de l’homme

Vincent Renard a tout pour être heureux : une femme charmante, une fillette formidable, un vaste appartement et un métier de médecin-proctologue reconnu. À ceci près que son aide domestique déteste le PSG (manque de chance lorsqu’on regarde les matchs au Stade de France), qu’il a quelques soucis d’ordre éthique à cause de sa maîtresse et que, pour couronner le tout, il cache autant qu’il peut à sa fille qu’il est sur le point de divorcer. Alors, lorsque débarque Kévin Delafosse, un ancien camarade avec qui il jouait au foot à Villetaneuse, Vincent ne se doute pas que tout ce qu’il a connu va subir un immense chambardement. Et que les fantômes du passé, bousculés par ce retour, l’entraîneront dans une redoutable spirale.

Prenez un cadre propret et confortable, ajoutez-y une catastrophe ambulante, une généreuse touche de quiproquos et une ironie ravageuse, et vous obtiendrez tous les ingrédients qui font de ce récit, scénarisé par Tronchet et illustré par Nicoby, une satire à la fois savoureuse et enlevée, émouvante et caustique des relations sociales. Un « feel good book » qui affirme le goût de la collection Aire Libre pour les tragi-comédies contemporaines.
Un conseil : méfiez-vous de vos meilleurs amis…


Spécial humour

Le Petit Spirou, Tamara, Les Nombrils, Les minions, Kid Paddle, Zizi chauve-souris, Dad, Roger et ses humains, Les chevaliers de L’Apocalyspe, Boni… Depuis 75 ans, Le journal de Spirou concentre le meilleur de la bande dessinée d’humour pour toute la famille, et l’année 2015 n’a pas fait exception à sa réputation.
Ce printemps, tous ces personnages vous donnent donc rendez-vous dans cette compilation exceptionnelle. Près de 200 pages de gags, une quinzaine de séries, des strips, des histoires courtes ou longues, des aventures à retrouver ou à découvrir, le tout est réuni dans un seul objectif : vous faire rire, par tous les moyens !


Sur les traces de l’épervier bleu

Poursuivant la lecture du journal de sa grand-mère, Natacha fait revivre les aventures de son aïeule, tout aussi sexy que sa petite-fille, et du grand-père de Walter, dans l’immédiat après-guerre. « L’Épervier Bleu », c’est le bateau qu’empruntent nos héros afin de venir en aide à Jane, dont Blackmoon a tué le frère pour lui dérober le plan localisant la fameuse « île aux Perles ». Natacha et Walter se retrouvent à Tuatupuri, où vit une communauté de Canaques, mais aussi Lee Kong, complice des malfrats. Mais ça, Natacha ne le sait pas. Entre vestiges japonais d’une guerre pas si éloignée, nature luxuriante et règlement de comptes, c’est une aventure à la Howard Hawks que nous sert François Walthéry, sur un scénario posthume de Sirius, jadis auteur d’une série appelée… « L’Épervier Bleu » !


Eva

Début mai 1945. Côte est du Canada. Sous le couvert d’une station météo officielle, l’équipage du sous-marin allemand U-867 installe une balise prénommée « Eva ».
Lorsque le sous-marin est repéré par un Catalina, l’officier SS qui commande l’expédition ordonne de tester les « nebelwerfer » : les lance-roquettes ne laissent aucune chance à l’hydravion des malheureux garde-côtes canadiens.

Cette mystérieuse balise à laquelle l’officier SS semble attacher autant d’importance doit en fait permettre de guider le « Silbervogel », l’aile volante qui doit larguer une bombe atomique sur New York. Sans ce radioguidage, il ne restera plus que l’option « pilotage humain » pour guider l’oiseau d’argent nazi…

Et le seul équipage qui semble capable d’accomplir cette mission suicide se trouve à des milliers de kilomètres de là, au château Fürstenstein, en Basse-Silésie : la flugkapitän Hanna Reitsch, une nazie exaltée, et son copilote, l’oberleutnant Werner Zweiköpfiger, espion US infiltré dans l’aviation allemande et ami d’enfance d’Hanna.
Et malgré la chute imminente du IIIe Reich, Hanna n’a pas renoncé à mener à bien l’ultime mission du Führer.


Les cloueurs de nuit

Yvan s’est réfugié en Bretagne, dans la maison de vacances de ses parents… du temps où il était vivant. Il survit en récupérant des boîtes de conserve dans les maisons vides et en pêchant des araignées de mer. Pour retrouver ses amis, il ne sait où aller : à Néosalem où le psychopathe Saul a pris le pouvoir ? Ou à Fortville, avec ses Terres-Basses et ses horreurs paranormales ?

Un soir, Camille lui rend visite. Par ses propos étonnants et sa connaissance incroyable des quinze familles, Yvan comprend qu’elle est l’Enfant-Minuit, l’élue des familles du mal. Camille le menace : il doit rejoindre ses amis à Fortville sous peine d’avoir la visite des cloueurs de nuit. Puis elle disparaît aussi soudainement qu’elle était arrivée.
La nuit suivante, un bus à impériale sort de la mer et déverse une horde d’enfants zombies qui, armés de clous et de marteaux, attaquent le manoir où s’est réfugié Yvan.
Commencent alors pour Yvan des nuits de veille, de fuite et de cauchemar dans l’épisode le plus glaçant d’effroi de la série.


Presque tout sur ma mère

Elle sait faire fuir les monstres sous les lits à coups de ventouse, devine les bêtises avant qu’elles ne soient accomplies, menace d’échanger son garnement contre un enfant plus sage et se transforme souvent en bourreau du rangement de chambre… Une chose est sûre : la mère du Petit Spirou est une femme de caractère ! Une qualité indispensable lorsque l’on partage avec son fils une chevelure flamboyante et un sens de l’humour dévastateur, à défaut d’un amour inconditionnel pour les costumes de groom, car pour vivre entre un enfant si turbulent et un grand-père qui l’est tout autant, il faut avoir le coeur bien accroché !

Ce septième volume de la collection « Le Petit Spirou présente » s’attarde cette fois sur la mère du célèbre petit garçon et sur les relations (conflictuelles mais toujours tendres et affectueuses) entre les deux personnages.