Tout le monde meurt un jour ou l’autre et se retrouve « de l’autre côté ». Et cela fait plus de vingt-cinq ans que Stuf et Janry nous racontent ce qui se passe après la mort. Et l’accueil au paradis (ou en enfer) n’est pas triste : on y retrouve pêle-mêle les chaussettes célibataires, les dinosaures (grosse affluence il y a 65 millions d’années) ou encore Atchoum, Prof et Timide (ça, c’était la fois où Blanche-Neige avait décidé de faire une tarte aux pommes…). Quant aux chanteurs de charme et autres princes charmants, ils risquent fort de finir en enfer, Saint Pierre supportant mal la concurrence de ces bellâtres…
Bref, en attendant que votre dernière heure soit venue, Passe-moi l’ciel est une saine lecture rigolote vivement recommandée !
Dans un souci de repérages tout à son honneur, Stuf a décidé de partir explorer le paradis. C’était en 2015. Depuis, Janry continue la série seul…
1943. La Seconde Guerre mondiale bat son plein dans le Pacifique. Buck Danny brille particulièrement par son talent et son engagement, accrochant à son tableau de chasse plusieurs appareils ennemis. Entre deux missions dangereuses, le pilote dort comme il peut et repense à la fin de son adolescence, alors qu’il découvrait un cirque aérien avec des cascadeurs qui allaient lui procurer ses premiers frissons de vol. Sans parler de la belle Moira, qui allait provoquer ses premiers frissons amoureux. Une époque avec sa part de noirceur, toutefois. Puisque Buck allait y apprendre que son père aurait eu un comportement honteux pendant la Première Guerre mondiale. Mais une mission capitale, des années plus tard, visant à neutraliser un général japonais, pourrait pousser Buck à se demander s’il n’a pas jugé son père trop durement…
Ce tome 7 du Royaume est une compilation d’histoires courtes et de gags parus dans le journal Spirou. On y retrouve tout le charme, la légèreté et l’humour de la série créée en 2008 par Benoît Feroumont.
La vie n’est pas un long fleuve tranquille au Royaume : le forgeron François n’a qu’un but dans la vie : épouser la jolie tavernière Anne. Mais ses tentatives de séduction manquent cruellement d’originalité et de romantisme puisqu’elles se font en général à base de bouquets de fleurs en acier… Et puis Anne a d’autres ambitions, plus sociales que conjugales d’ailleurs : elle veut réussir sa vie professionnelle et toute son énergie est dirigée vers la bonne gestion de son auberge. Jusqu’au jour où un (trop) beau ménestrel débarque au Royaume.
Avec ses nouveaux frères d’armes, les Cosaques, Karlis a vaincu les hussards ailés. Nul n’ignore le rôle décisif que le jeune déserteur a joué dans cette bataille. Cela fait de lui un héros autant qu’une cible de choix. Peu lui chaut. Une vie sans dieu ni maître est à ce prix. Mais il est des puissances auxquelles tous répondent, Cosaques ou non : les sentiments, la frustration et la jalousie. Karlis va comprendre que les champs de bataille sont infinis, et tous appellent le sang.
Après sa défaite contre les Sorcières commandées par Sanctus, et les Aguries menées par son demi-frère Vivien, Elgar brûle de retrouver sa place légitime !
Il décide d’évincer le nouveau champion de la reine Jamaniel, sa mère, en la personne de Tête Noire, le démon qu’elle a ramené à la vie pour s’assurer la victoire.
Mais Tête Noire a d’autres desseins, dont celui de régler ses comptes avec son passé.
Oriane, quant à elle, compte bien retrouver son père en suivant la piste des cadavres qui jonchent son ténébreux chemin…
Avec ce troisième tome du cycle des Sorcières, Jean Dufaux abat les nouvelles cartes de son fabuleux jeu épique, mêlant tragédies, trahisons, luttes de pouvoir et combats de l’amour contre le mal.
Au service de cette Grande Fresque, entre Shakespeare, Tolkien et George R. R. Martin, les enluminures de Béatrice Tillier, aujourd’hui une des seules autrices réalistes, atteignent des sommets de précision et de souffle épique !
Une stèle de plus vient s’ajouter à cet édifice fantastique qu’est « La Complainte des landes perdues » !
– Moi je veux bien un porte-bonheur comme Martis.
– Quoi ? Ne me dis pas que tu crois à ces trucs ?
Décidément, blaireaux et renards ne sont pas pareils. Et quand il s’agit des croyances, évidemment, ils ne sont jamais d’accord. Quand leur ami Martis arrive avec un porte-bonheur, Carcajou se moque et décide de prouver à tout le monde qu’il n’y a rien de magique dans ces amulettes en bois. Mais l’affaire n’est pas simple, l’expérience tourne mal et le doute s’installe. Si tout ça n’est qu’une question de hasard, comment se fait-il que certains semblent clairement plus chanceux que d’autres ? Avoir de la chance, finalement, à quoi ça tient ?
Six doudous, c’est beaucoup ! Et quand arrive l’heure de se coucher, pas simple de trouver sa place dans le lit. D’autant que tous les doudous aimeraient dormir à côté de Ana Ana. Mais entre le sommeil agité de Baleineau, les grandes oreilles de Zigzag, et les pattes glacées de Pingpong… Comment faire pour contenter tout le monde, tout en permettant à chacun de bien dormir ? Ana Ana n’est jamais longtemps à court d’idées et, grâce au concours de tous les doudous, ils sauront trouver ensemble leur équilibre et passer ainsi une jolie nuit.
Paris, 1920, Elisabeth, une petite orpheline bretonne débarque à la capitale avec pour seul bagage une photo de ses parents et un maigre baluchon. C’est au dernier étage d’une minuscule chambre de bonne qu’elle trouve refuge. Là, sous les toits de Paris, elle rêve de retrouver ses parents. Mais elle ignore que l’immeuble est envahi de Schmolls ! Heureusement, Élisabeth n’est pas une froussarde.
La petite Sam a un don : elle parle aux esprits. Ce qui complique un peu la vie de Tim, son grand frère qui s’occupe d’elle depuis la mort de leur père… Surtout quand Sam rate l’école pour suivre Malo, un chat fantôme qui l’emmène chez son défunt maître, Guy, un esprit en transit ! Car Guy veut terminer une mission avant de partir vers l’au-delà : remettre au conservateur du musée ses recherches au sujet d’un mystérieux trésor. Problème : le dossier du vieil homme a disparu. Et sa mort n’est peut-être pas si naturelle que ça…
Le deuxième épisode de la nouvelle série de Carbone (La Boîte à musique, Dans les yeux de Lya, La Sentinelle du Petit Peuple), toujours accompagnée de Julien Monier. Une saga jeunesse à la fois inventive, palpitante touchante et pleine d’humour !
Jusque-là, pour Victor, une année scolaire, c’est du saut à l’élastique sans l’élastique.
Ce qu’il préfère ? Écouter les Rolling Stones, se gaver de loukoums avec son copain Haïçam, parler mécanique avec son drôle de père… Mais lorsque Marie-José, génie absolue, déboule dans sa vie un beau jour de contrôle de maths, c’est tout son univers qui implose…
Pourquoi, soudainement, cette intello et violoncelliste de talent, a-t-elle besoin de lui ?
Une amitié étrange va naître entre ces deux ados que tout oppose. Vont-ils pouvoir cacher le secret de Marie-José jusqu’au bout ?