Pour Vicky, l’été s’annonce plutôt bien : vacances, soleil et plage. Mais surtout, surtout, elle a un nouveau voisin hyper-canon. Et pour une fois, elle sent qu’elle a sa chance. Elle en oublierait presque que Jenny lui fait toujours autant d’ombre quand il s’agit de draguer des surfeurs musclés ou que Karine est bien trop occupée à répéter avec le groupe de musique d’Albin pour passer du temps avec elle…
Et puis, catastrophe : dénoncée pour tricherie par un camarade de classe, Vicky se voit obligée par son père d’intégrer un camp d’anglais. Elle laisse ainsi le champ libre à Rebecca, sa grande soeur, qui s’intéresse également de très près au beau James. Vicky va passer d’atroces semaines dans ce camp où la seule fille de son âge est la soeur de James, Mégane, une insupportable peste gothique. Pour sa première grande histoire d’amour, Vicky pouvait rêver mieux. Sans compter qu’un tueur en série rôde toujours dans la chaleur de la nuit…
Certes, on ne peut pas tout lire ! Il y a trop ! Malgré cela, le libraire de BD-Boutik essaie de faire son métier le mieux possible, de conseiller efficacement ses clients en fonction de leur profil et de leurs goûts et envies, de déballer les caisses le matin et d’emballer les retours le soir (souvent avec les mêmes albums…), de gérer une trésorerie de plus en plus fragile et de ne pas insulter les dizaines de gamins qui confondent sa librairie avec une papeterie et ce, la veille de la rentrée des classes !
De temps en temps, notre héros craque et envoie tout péter ! Mais même quand il se retrouve sur une plage, il ne peut pas s’empêcher de vendre aux vacanciers les albums qu’il a emportés avec lui. Quand on a le commerce et la bande dessinée dans le sang, c’est pour la vie !
Parti sur les traces de ses ancêtres, nés dans la lointaine et mystérieuse Patagonie, Alejandro va découvrir que l’histoire des hommes est aussi celle du territoire qui les a vus naître, grandir, espérer et mourir. Par touches sensibles qui explorent toute la palette des sentiments, de la noirceur à la lumière, Jorge González nous entraîne avec lui dans le tourbillon de l’histoire argentine.
La vie en société présente sans doute bien des avantages. Mais ils ont un coût : Le Voisin. Sournois, procédurier, pingre, hypocrite, bruyant ou râleur, il a l’air d’avoir été conçu pour nous pourrir la vie. Ce qu’il fait d’ailleurs avec une belle constance et un talent qui force l’admiration ! Et si quelques malheureux espéraient encore que l’invention de la machine à remonter dans le temps saurait les sauver des griffes belliqueuses de cette hydre insatiable, Dal et Bercovici rappellent une dure réalité : les voisin ont toujours existé !
Dans les années 1960, Starter donnait chaque semaine rendez-vous aux lecteurs du Journal de Spirou. Grand connaisseur des dernières nouveautés de l’industrie automobile, parfois intransigeant, souvent enthousiaste, il faisait partager aux petits comme aux grands son amour des belles mécaniques.
Né sous le pinceau de Jidéhem en 1957, le petit personnage Starter emprunta sa voix au chroniqueur Jacques Wauters, en décortiquant pour les lecteurs du Journal de Spirou les avantages et les inconvénients des auto, à une époque qui vit l’essor de la voiture pour tous, avec des modèles aussi populaires que l’Ami 6, la Fiat 125 ou encore la Peugeot 504.
Après « 60 voitures des années 60 » et « 60 sportives de Starter », ce recueil propose une nouvelle plongée graphique et nostalgique au coeur des sixties. On y retrouve la verve et l’entrain légendaire de Starter, et les fameuses illustrations de Jidéhem, le dessinateur qui fait bondir les plus belles voitures !
Adolescents dans les années 1960, Benoît et Mady vivent à Bouillon, ville du célèbre croisé Godefroid de Bouillon. De père inconnu et orphelin de mère, Benoît est souvent pris pour cible par ses camarades. Lorsque l’école organise un spectacle retraçant la vie de Godefroid de Bouillon, le rôle du sarrasin adversaire du croisé échoit à Benoît, alors que Thierry, un des garçons les plus vindicatifs à son égard, incarne Godefroid de Bouillon.
Défendu par la jolie Mady, Benoît connaît une brève idylle avec la jeune fille, avant de quitter Bouillon avec sa grand-mère. Lorsqu’ils se retrouvent, des années plus tard, les blessures de l’adolescence ne sont pas totalement cicatrisées. Sans même s’en rendre compte, ils reprennent le fil de leur propre histoire là où les circonstances l’avaient laissée inachevée. Devenue mère de famille rangée, Mady vit toujours à Bouillon, où elle a épousé Thierry.
Étrange mission que celle confiée à Kogaratsu : un kidnapping ! Mais le loyal samouraï va accepter la tâche quand il va en découvrir le mystérieux commanditaire : la princesse Ishi que Kogaratsu a jadis aimée et qu’il n’a jamais oubliée. L’enfant à kidnapper, Taro, n’est autre que le propre fils de la princesse. Officiellement confié à un riche parent pour veiller à son éducation, il n’est en fait que l’otage, pour raisons économiques, de son oncle Zenjiro.
Un habile subterfuge de Kogaratsu va emmener les hommes de Zenjiro sur une fausse piste et déforcer la garde de l’enfant. C’est le moment que va choisir le héros pour passer à l’action et enlever l’enfant. S’ensuit une impitoyable course poursuite, compliquée par le fait que le gamin libéré n’est pas des plus faciles…
Le Roman de Renart, illustré par René Hausman a été publié pour la première fois en 1970.
Illustrateur de fabuleux bestiaires réalistes et fantastiques qui ont fait sa réputation, René Hausman a publié de nombreux ouvrages chez Dupuis, qu’il s’agisse d’ouvrages illustrés (« Les Fables de La Fontaine », « La Forêt secrète », « Les Contes de Perrault », etc.) ou de bandes dessinées (« Layïna », « Le Prince des écureuils », « Le Camp-Volant », etc.).
Créateur d’un univers graphique poétique et volontiers truculent, René Hausman est le chantre de la nature et du règne animal.
Avec cette nouvelle édition d’un des joyaux de son oeuvre illustré, qui vient compléter celle des « Fables de la Fontaine » et des « Contes de Perrault », c’est toute la magie du monde de René Hausman qui s’ouvre à nous.
Drame à Towerville : Mercure, un des plus puissants super-héros en charge de la protection de la cité, vient d’être assassiné. Il faut dire qu’il y a quelque chose de pourri dans la corporation des super-héros de Towerville. Trop occupés à gérer l’exploitation commerciale de leur image de marque, ils ont de plus en plus tendance à négliger leur devoir et à se comporter comme s’ils étaient au dessus des lois. Un reniement qui n’est pas du tout du goût d’une poignée de super-héros fidèles à l’esprit d’origine de la corporation.
Pas de trêve des confiseurs pour l’Agent 212, le champagne peut couler à flots et le fumet de la dinde rôtie lui chatouiller les narines, pas question de baisser la garde : le devoir (et les gaffes) avant tout ! Un best of plein de cotillons, de gags et d’éclats de rire, à consommer sans modération en période de fêtes.