Les soldats unionistes n’ont pas la vie facile : en guerre contre les Confédérés, ils se font harceler sur leurs arrières par une bande de mercenaires aux ordres du capitaine Miller, un esclavagiste notoire, prêt à tout pour empêcher la victoire du Nord abolitionniste. Rapides, silencieux, efficaces, ces mercenaires n’ont qu’un point faible : il faut les payer. Soucieux de mettre au plus vite un terme aux agissements de cette canaille et de sa bande, l’état-major décide d’envoyer deux hommes pour les infiltrer et découvrir la source de leur financement. C’est surtout de trouver l’endroit où ils se cachent. Une mission à hauts risques, tout à fait dans les cordes de Blutch et de Chesterfield, déclarés volontaires pour jouer les agents doubles.
Basée sur des faits historiques avérés, cette aventure des « Tuniques Bleues » s’inspire d’un épisode peu connu de la guerre de Sécession et quitte momentanément la ligne de front pour les forêts du Colorado. Espionnage et humour font bon ménage dans ce nouvel opus d’une série qui conserve toute sa fraîcheur et tout son piquant.
Stalingrad, hiver 1942. L’équipe de tournage envoyée à Stalingrad, au coeur de la bataille qui y fait alors rage, pour filmer la grandeur de l’armée soviétique, accumule les catastrophes : non seulement Simon et Yaroslav se haïssent, mais une des précieuses bobines du film a disparu. Or Kazimir, censé superviser ce calamiteux tournage, ne peut absolument pas se permettre la perte d’une bobine. Comble de malchance, il se fait tirer dessus, tandis que le reste de l’équipe tombe aux mains de soldats soviétiques persuadés d’avoir affaire à des déserteurs. S’il est vital pour Kazimir de récupérer la fameuse bobine, dérobée par Yaroslav le cinéaste, il est tout autant primordial pour Simon de l’intercepter. Le bout de film qu’elle contient pourrait en effet condamner à mort l’ancien directeur du centre cinématographique tombé dans la disgrâce.
Avec 200 auteurs de BD et 400 pages, cet ouvrage rend hommage à l’univers de Spirou et aux héros célèbres nés dans le Journal de Spirou, de Gaston Lagaffe aux Schtroumpfs en passant par Lucky Luke. Cet ouvrage constitue un véritable florilège des auteurs essentiels de la bande dessinée franco-belge. Chacun d’eux a exprimé en une planche l’émotion, l’amour, la surprise, le délice, la réflexion que leur ont apportés le plus célèbre groom de la bande dessinée, son journal et ses héros. Chacune des planches est accompagnée d’un entretien avec son auteur et de ses références bibliographiques. Un must pour les 75 ans de Spirou et un phare pour tout lecteur de BD.
Barbu, grognon, sympa, un peu ogre et franchement breton, 45 ans de métier, formé par Franquin, et auteur, entre autres, de 9 tomes des aventures de Spirou, Jean-Claude Fournier est incontestablement une légende de la bande dessinée. Et c’est dans l’antre de cette légende que Joub et Nicoby ont eu le bonheur de se transformer en archéologues d’un jour, en compagnie du Maître. Une exploration inédite et pleine d’humour de l’univers de Jean-Claude Fournier, dont on (re)découvre toute la richesse à travers anecdotes, récits, dessins et documents d’archives.
Avec cette édition en fac-similé des premiers albums de la série Gaston Lagaffe, les amateurs de l’oeuvre de Franquin vont se régaler ! Publiés une première fois entre 1964 et 1967 dans un format à l’italienne, ces cinq albums sont réédités à l’identique, mais remastérisés sous la supervision d’Isabelle Franquin pour une qualité d’impression et de lecture incomparable.
Avec cette édition en fac-similé des premiers albums de la série Gaston Lagaffe, les amateurs de l’oeuvre de Franquin vont se régaler ! Publiés une première fois entre 1964 et 1967 dans un format à l’italienne, ces cinq albums sont réédités à l’identique, mais remastérisés sous la supervision d’Isabelle Franquin pour une qualité d’impression et de lecture incomparable.
Avec cette édition en fac-similé des premiers albums de la série Gaston Lagaffe, les amateurs de l’oeuvre de Franquin vont se régaler ! Publiés une première fois entre 1964 et 1967 dans un format à l’italienne, ces cinq albums sont réédités à l’identique, mais remastérisés sous la supervision d’Isabelle Franquin pour une qualité d’impression et de lecture incomparable.
Ce nouveau volume de l’intégrale réunit des histoires au long cours telles que « La Marquise d’Aubray », « Les Avatars de M. de Saint-Émilion », « Le Vaisseau des brumes » et « L’Affaire des fuites », des histoires courtes « Guerre et Paix », « Les Gardes du cardinal » ou « M. de la Pétaudière », ainsi que des gags, des illustrations et des couvertures parus dans Le journal de Spirou.
Créé par Raoul Cauvin et Mazel pour Le journal de Spirou en 1969, l’inénarrable duo formé par le mousquetaire Calebasse et la jument Câline emporte rapidement l’adhésion des lecteurs du Journal de Spirou. Leurs aventures s’installent dans le journal : gags et histoires longues ou courtes offrent à Raoul Cauvin l’occasion de laisser libre cours à son imagination débridée. Sur fond d’aventures historiques, dont les décors sont scrupuleusement mis en images par Mazel, intraitable avec le moindre anachronisme, situations loufoques et trouvailles cocasses se succèdent pour le plus grand plaisir des lecteurs.
Après Mlle Chiffre, Grand-Papy, M. Mégot, c’est cette fois Suzette la star de cette compilation des meilleurs gags du Petit Spirou. Dotée d’un caractère bien trempé, la fiancée du Petit Spirou dévoile pour nous un pan savoureux du mystère féminin. Un album thématique pour (re)découvrir le meilleur du Petit Spirou.
Jean Dupuis savait ce qu’il voulait : créer un journal pour la jeunesse, afin de lui procurer une distraction saine et non dénuée de préceptes moraux. Il en avait trouvé le nom, « Spirou », ce qui signifie roux et espiègle en patois de Charleroi. Il lui restait à trouver l’auteur qui pourrait donner à son personnage une personnalité graphique. Il choisit un auteur parisien, du nom de Robert Velter, déjà auteur au Journal de Toto. C’est sous la signature de Rob-Vel que paraissent de 1938 à 1943 « Les aventures de Spirou », soit plus de 200 pages. Hormis une édition confidentielle en noir et blanc en 1975, ces planches ne sont jamais parues en album. Cette intégrale est donc le parfait complément graphique à « La Véritable histoire de Spirou ».